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Cornus rex-populi
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23 octobre 2014

Brèves cornusiennes (31)

Dimanche, nous sommes allés dans un restaurant étoilé que nous ne connaissions pas. A l’occasion de son départ en juillet dernier, les anciens collègues de Fromfrom nous avaient offert un chèque cadeau dans cet établissement. Un restaurant qui ne paye pas forcément de mine. Pas aussi inoubliable que les repas des 40 bougies cornusiennes ou des 45 fromfromiennes, mais une cuisine qui se tient fort bien. Entre bien d’autres choses, nous avons mangé, sans doute la seule fois de notre vie, de la grouse ou lagopède d’Écosse.


Un petit peu de bûcheronnage en perspective, du repos, des bricoles, sûrement quelques visites et une fête (pas la mienne, pas la notre, enfin pas encore) durant ces vacances.


Encore quelques fleurs du jardin.
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21 décembre 2014

Bretagne 2014 (1)

Samedi, passage sur le Pont de Normandie.

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Dimanche matin, passage traditionnel à Pont-Aven. Pas un chat dans la cité des peintres.

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L’église de Nizon est ouverte tous les jours, sauf le dimanche !

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Passage au moulin à marée au Hénan.

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Deux rigolos.

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Les mêmes rigolos au même endroit il y a 8 ans et demi.

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Pas loin, le château du même nom (visiblement, il n’était pas visible de la route autrefois).

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Pas très loin.

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Le port de Kerdruc.

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Après avoir mangé des araignées à pinces en compagnie de la duchesse mère, départ pour Roscoff dont je découvre l’église une nouvelle fois de nuit (pour l’instant, du moins).

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4 janvier 2015

Bretagne 2014 (2)

Le lendemain, il fait jour à l’église de Roscoff, mais la lumière n’est pas vraiment là.

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Le port.

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Nous gagnons Saint-Pol-de-Léon pour retourner voir la fameuse chapelle du Kreisker qui possède le plus haut clocher de Bretagne. En fin de visite, nous avons même eu droit à un demi-rayon de soleil. Lintérieur de la chapelle est plus beau que celui de mon souvenir (je lavais découvert à nuit tombée, il est vrai).

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En octobre 2006, nous avions été invités à la cérémonie religieuse du mariage d’une copine de Fromfrom. La fête qui suivit se déroulait à Brignogan. J’en avais gardé un très bon souvenir des « grosses caillasses » sur les plages et au milieu des habitations. J’avais très envie de retourner voir ça.

Dans les environs de l’anse du phare de Pontusval.

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Un menhir christianisé monumental (8 m de haut), prétendument unique en Bretagne (?).

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Et au milieu des rochers, la chapelle Pol.

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Une maison et quelques autres rochers.

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5 janvier 2015

Bretagne 2014 (3)

Après le repas (un restaurant ouvrier à vivement conseiller à « La gare » de Plounéour-Trez, direction Le Folgoët et sa célèbre basilique. Karagar et Fromfrom y ont là-bas chacun des souvenirs importants et riches en émotions. Fromfrom y a été guide le temps d’un été. Et moi, j’avais découvert ce lieu sur une gravure qu’elle avait exposée chez elle. Voir cette représentation m’avait fait un drôle d’effet. Et puis voir cette fontaine issue d’une source captée sous l’église me paraissait tellement exotique. J’avais découvert le lieu la première fois début janvier 2007 (voir photos, entre autres, ici). Hélas, cette fois encore, le ciel n’était pas avec nous.

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Nous poursuivons ensuite à Locronan (découvert le 1er janvier 2006 lors de ma seconde visite en Bretagne occidentale, alors que notre union avec Fromfrom n’était pas encore scellée dans le granite, même si elle était déjà inéluctable). Le village médiéval était encombré par un de ces envahissants marchés de Noël que l’on voit désormais fleurir presque partout en France. Des chalets où l’on vend systématiquement des merdouilles inutiles hors de prix. Je ne possédais aucune photo de l’intérieur de l’édifice, et en particulier des nombreuses statues.

 

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Les statues sont majoritairement du XVIe siècle, mais d’autres sont du XVe s., souvent du XVIIe s. et une du XIIIe s. (la première représentant saint Fiacre).

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« Trop courtes tes jambes, mon fils »

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Nous avons bu deux coups dans la crêperie-bar et avons attendu le début, encore bien timide, de la nuit et l’éclairage des guirlandes électriques multicolores, illuminations dont Fromfrom avait entendu parler la semaine précédente. Cela n’a rien d’exceptionnel par l’originalité (partout le même motif), mais c’est surtout la longueur cumulée de ces guirlandes qui est plus impressionnant (la place et plusieurs rues sont concernées). On aime ou pas. Personnellement, cela ne m’a pas fait défaillir d’admiration. Mais force a été de constater qu’à l’éclairage de 17 h 30, la population arpentant les rues avait été multipliée par trois ou quatre.

 

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Nous avons ensuite gagné le cap où nous attendaient nos hôtes. En passant, coucou rapide au calvaire de Confort-Meilars.

 

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Et nous sommes arrivés chez Jehan Marc’hkar et Volaskell Karagar et Vladimir que nous avions hâte de retrouver.

6 janvier 2015

Bretagne 2014 (4)

Le lendemain, nous avons quelque peu bayé aux corneilles une partie de la matinée et effectué une nouvelle visite guidée du jardin. Entre bien d’autres choses bien plus intéressantes, Karagar nous a montré ses Pennissetum (n’allez pas vous imaginer des choses post-vingt-deux heures, il s’agit de graminées auxquelles j’ai été allergiquement sensibilisé par certains responsables d’espaces verts qui en mettent partout comme s’ils avaient trouvé la vivace universelle). En début d’après-midi, j’emprisonne moi aussi sur le capteur un pivert comme l’avait fait Karagar quelques jours plus tôt.

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Nous nous rendons ensuite à la chapelle Saint-Tugen autour de laquelle nous avions déjà fait des tours mais pour laquelle nous n’avions jamais fait de halte. Nous savions en revanche que nous ne pourrions pas la visiter, surtout en cette saison.

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Nous nous interrogeons aussi sur la fonction de certains anciens bâtiments d’élevage. Nous concluons que les curieuses ouvertures devaient correspondre à des mangeoires pour les porcs qui étaient garnies depuis l’extérieur, avec une pierre en biais pour empêcher les animaux, même de petite taille, de s’échapper.

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La fontaine.

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Nous faisons un tour pour voir des vagues. Au moment de partir, un soleil couchant inattendu. Avec mon nouvel appareil photo, je ne savais pas trop comment effectuer les réglages (déjà que ce n’est pas évident sur l’ancien), mais sur l’insistance de Karagar, je vous livre ceci.

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Après quelques petits détours dans les presque extrémités occidentales, nous revenons à la base où Plume ne tarderait pas à nous rejoindre.

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La buche noëllienne, tenue secrète jusqu’au bout, à base de praliné de la maison Karagar dont nous fumes obligés de reconnaître la qualité.

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Et c’est sur cette photo du club des cinq que je me permets de vous souhaiter une belle et heureuse année 2015. Et ceci ne s’adresse bien sûr pas qu’aux seuls protagonistes de l’image, en espérant que ces rires puissent en contaminer beaucoup d’autres.

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7 janvier 2015

Bretagne 2014 (5)

Le lendemain, nous nétions pas pressés pour quitter nos hôtes. Depuis la veille au soir, nous avions appris que notre jeune nièce (celle dont j’ai déjà parlé dans ces pages) avait été hospitalisée en urgence suite à une crise d’asthme la nuit précédente chez son père. Les parents ne s’occupent pas de la faire soigner pour ses allergies, ni sur le fond, ni pour les symptômes (« ventoline » et autres bronchodilatateurs), ce qui est déjà révoltant. Mais je ne vais pas revenir sur le sujet. En tout état de cause, les médecins constatant que la gamine n’était pas suivie, ont fait un signalement aux services sociaux.

En quittant donc à regret le cap, nous sommes donc passés voir la gamine à l’hôpital où se trouvaient ses deux sœurs, deux jeunes filles formidables qui ont eu la chance de s’en sortir a peu près bien semble-t-il, malgré les difficultés familiales qui ne datent pas d’hier. La « petite » allait plutôt beaucoup mieux, même si elle a fait deux jours d’hôpital supplémentaires notamment afin de débuter probablement un vrai traitement.

Le soir, nous avons néanmoins réveillonné avec la duchesse mère. Une pensée à elle ce soir, car elle s’est cassée l’épaule ce matin en tombant dans les escaliers. Il y a des moments où les années commencent mal. Cela ne va pas être simple à gérer pour elle, même si cela n’a pas l’air extrêmement grave. Fromfrom est évidemment encore affectée de ne pouvoir rien faire.

Après ces éléments peu réjouissants, je mets quand même la photo du gâteau fromfromien du 24, à savoir un bavarois à la clémentine.

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3 novembre 2014

Concours des anniversaires

Il est de tradition, pas toujours respectée, de proposer, en guise d’introduction, un petit concours de devinettes au retour d’une période de vacances.

1) Sur quel édifice ou dans quelle ville trouve-t-on ce vitrail ? [indice : nous n’y étions pas le troisième dimanche de novembre]

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2) Dans quelle ville trouve-t-on cette fontaine ? [indice : cela n’a rien à voir avec un certain Satyre puant]

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3) Où peut-on voir cette statue ? [indice : déjà montrée il y a longtemps dans ce blog]

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4) D’où vient ce chat ? [indice : sept]

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5) Où se trouve cet édifice [indice : pas très loin de mes anciennes terres favorites]

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6) A quelle espèce appartiennent ces arbres ? [indice : magnifiques pionniers abritant Narcissus pseudonarcissus L. (Jonquille)]

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Sinon, pour rire samedi, à l’occasion de la fête en avance des 60 ans d’un ami, et alors que je célébrais moi-même ma Loire armoricaine, j’ai été à nouveau amené à me compromettre en public en trinquant avec un breuvage girondin, exactement comme il y a tout juste sept ans aujourd’hui. Du coup ce soir, vengeance avec un breuvage issu d’un affluent du grand fleuve.

8 novembre 2014

Vacances de bois et de Beauce (2) : Beaune

Il avait été décidé de nous rendre à Beaune (nous nous rendons désormais assez souvent dans cette ville très chic - et trop friquée par certains aspects, malheureusement). Une ville qui attire énormément de touristes français et étrangers, pour son patrimoine et ses vins. Notre premier objectif était d’aller déguster des vins dans les caves Patriarche, dans l’ancien couvent des Visitandines. Cela faisait un moment que j’avais envie d’y aller. En fait, on trouve là-bas des caves dont les plus anciennes datent du XIIIe s. et du XIVe s. On serpente ainsi dans les caves, en passant sous plusieurs rues de la ville, sur seulement une petite partie des 5 km de galeries (les plus importantes de Bourgogne). Un parcours mi-promotionnel, mi-muséographique. Mais surtout, des dégustations libres à la manière de ce que l’on connaît au Marché aux vins dont j’avais parlé ici. Car l’idée était bien là : acheter quelques bouteilles de vins différents après les avoir goûté pour de vrai. Or les endroits où l’on peut faire cela sont assez rares. Bien que chez un négociant en vue, on y trouve des vins typiques ou surprenants. Un excellent Mercurey blanc qui m’a fait oublier la dégustation désastreuse de l’été dernier (ici). Il y a des choses à oublier : un Hautes-Côtes de Beaune blanc pas vraiment à la hauteur et surtout un horrible Chorey-lès-Beaune qui avait une forme de forme de goût plat faussement métallique. Bons points en revanche pour un Meursault (je n’en ai jamais bu de mauvais jusque là), des premiers crus de Pernand-Vergelesses et de Pommard et pour un Gevrey-Chambertin. Passable en revanche pour un premier cru de Nuits-Saint-Georges, pourtant mis en avant part les sommeliers et excessivement cher.

Ensuite, Fromfrom a pu aller dans le magasin d’habillement qu’elle fréquente tous les ans. Il était alors bien tard pour entamer la visite de la collégiale Notre-Dame car la nuit commençait sérieusement à tomber. La précédente visite remontait à 2006 (voir ici).

Quand le jour était encore là.

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L’intérieur.

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Avant la fermeture, on a renforcé l’éclairage du chœur. Je n’ai pas compris pourquoi sur le coup.

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Depuis la rue.

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Et le chevet, avec les vitraux illuminés de l’intérieur (j’avais compris le pourquoi du comment).

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10 novembre 2014

Vacances de bois et de Beauce (4) : champignons et voûte

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Il me semble que l’année 2014 a été une bonne année à champignons forestiers.

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En général, quand on arrive à la Toussaint, on n’a plus guère de chances de trouver des Boletus edulis Bull. : Fr (Cèpe de Bordeaux), car le froid lui coupe l’envie de pousser. Ce n’a pas été le cas cette année, puisque avec la douceur, j’ai pu en faire trois petites cueillettes dans mes coins secrets que seul mon père connaît.

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Pas de risque en revanche de planquer les coins à Leccinum aurantiacum (Bull.) S.F. Gray (Bolet orangé) que personne ne ramasse et qui est pourtant bon (sauf le pied filandreux), à chair blanche mais qui noircit violemment, surtout à la cuisson (pas de photos). En revanche je ne trouve pas bon le Leccinum cf. roseofractum Walting (Bolet à chair rosissante).

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Je passe sur les autres bolets rudes, des bouviers, livides, jaunes qui sont soit immangeables ou avec lesquels je ne me régale pas (je les ai tous testé il y a 25 ans).

Assez peu de Hydnum repandum L. : Fr. (Pied-de-mouton)

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Assez peu de Cantharellus tubiformis Fr. : Fr (Chanterelle en tube) car pour le coup, c’était sans doute un peu tôt. En revanche, j’ai retrouvé quelques pieds de Lactarius deliciosus (L. : Fr.) S.F. Gray (Lactaire délicieux), champignon que je n’avais pas retrouvé au domaine du dragon terrassé depuis une dizaine d’années.

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Et puis Amanita muscaria  (L. : Fr.) Pers. (Amanite tue-mouches). Je ne vais pas vous faire croire que j’en ai déjà mangé et que cela expliquerait bien des choses…

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Quelques photo forestières (inutile de chercher, ce ne sont pas mes coins à champignons).

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Et de cette voûte de trembles dorée au soleil couchant. Je n’en suis pas revenu de voir ça sans doute au meilleur moment, tellement cela m’a semblé irréel mais beau et parmi les meilleurs styles cathédraliens.

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11 janvier 2015

Bourges (2/5)

La dernière visite à la cathédrale de Bourges, du moins en ce qui me concerne, remontait à juillet 2007 (j’en avais parlé ici).

Il est extraordinairement très difficile de photographier la façade occidentale, vue  sa largeur imposante et surtout le très faible recul dont on dispose. Il faudrait disposer d’un bon objectif ultra-grand angle pour arriver à quelque chose de potable. Voici néanmoins la photo que j’ai pu assembler à partir de 4 photos verticales. Évidemment, c’est très déformé, mais cela reste regardable je pense.

 

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Suivent des vues des extérieurs.

 

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14 janvier 2015

Bourges (4/5)

En 2007, j’avais été subjugué par les vitraux de la cathédrale des  (XII), XIII et XIVe siècles, d’autant que je ne me souvenais pas de leur importance ni de leur beauté. Avec mon premier appareil photo numérique compact, je n’avais pu réussir que quelques photos, la sensibilité du capteur ne permettant probablement pas de faire des miracles dans les intérieurs sombres. Je me souvenais de ma frustration que confirme la numérotation des photos que j’avais faites : la majorité étaient ratées.  Les deux premières photos représentent un vitrail plus récent : XVe ou XVIe s.

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14 janvier 2015

Bourges (5/5)

Il était aussi question pour nous de visiter la crypte de la cathédrale qui n’est pas librement ouverte au public. Quand je parle de crypte, c’est en partie faux. D’abord parce que la partie la plus orientale (sous le chœur et le déambulatoire), il y a de vastes fenêtres. Il s’agit d’un étage inférieur, d’une église basse construite pour compenser la pente du terrain naturel et parce qu’on avait agrandi l’édifice précédent vers l’est. Se trouve là les restes de l’ancien jubé, saccagé pendant les guerres de religion et retiré au XVIIIe s.

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Le vrai tombeau (le dessus uniquement) du duc Jean Ier de Berry vu au palais Jacques Cœur. Cest un ours au pied du gisant.

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Cependant, sous le chœur au centre plus à l’ouest se trouve bel et bien une vraie crypte romane plus ancienne.

 

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Et en position intermédiaire entre la vraie crypte et la « fausse », une sorte de chapelle avec une mise au tombeau.

 

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8 octobre 2014

Orléans

L’autre jour, en allant piocher une photo des débuts de ce blog, Plume m’a remis en mémoire mon dernier passage* à Orléans au printemps 2006 à la suite duquel je n’avais pas rédigé de note spécifique. On m’avait en effet invité à donner une conférence sur la végétation du « dernier grand fleuve sauvage d’Europe ». Je me souviens que j’avais eu un retard considérable à cause d’une manifestation sur les voies à Paris et qu’au lieu du restaurant auquel j’étais invité en arrivant le soir à Orléans, j’avais dû me contenter d’avaler en vitesse un vulgaire sandwich de gare avant de m’installer, à peine arrivé, dans l’auditorium.

Le lendemain, en attendant mon train pour le retour, j’ai rendu visite à la cathédrale Sainte-Croix. Après plusieurs églises, une cathédrale romane est achevée au XIIe s., avant de s’écrouler. Elle est remplacée par un édifice gothique construit entre la fin du XIIIe s. et le XVe s. Elle est détruite par les Huguenots au XVIe s. puis reconstruite entre le XVIIe s. et le début du XIXe s. avant de nouvelles destructions à la fin du même siècle (sans compter les fragilisations de la Seconde Guerre mondiale). La silhouette des deux tours de la façade est aisément reconnaissable.

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Et la place du Martroi, avec la célèbre statue équestre de Jeanne d’Arc.

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*Pour rappel, j’ai vécu presque deux ans à Orléans et environs en 1997-98.

7 décembre 2014

Brèves cornusiennes (34)

Je me dis depuis quelques années, que nombre de personnes ne portent désormais plus de montre au poignet. Ils regardent l’heure sur leur ordinateur ou sur leur téléphone portable, notoirement sur leur smartphone. En tout cas, il en est ainsi pour une majorité de collègues. Du coup, c’est un peu comme s’ils avaient « régressé » à l’époque des montres à gousset, du moins pour ceux (rarement chez les collègues, mais vu ailleurs) qui ont toujours un œil sur leur aïe-faune ou autre concurrent. En revanche, quelle ne fut pas ma surprise de constater l’autre jour qu’un informaticien, encore assez jeune arbore une montre au poignet. Voir ça chez des « geeks », me rassure un peu, moi qui ne sais pas m’en passer, sauf peut-être pendant les vacances estivales. En revanche, mon téléphone portable qui n’est pas « smart » reste systématiquement dans ma veste suspendue au porte-manteau.


 

Fromfrom a fabriqué pas moins de 120 madeleines cet après-midi. Il y en a aussi pour faire goûter aux collègues.

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18 décembre 2014

Hier, c’était concert (4)

Comme nous le faisons désormais, nous quittons le travail, nous nous rendons à Lille en voiture (on trouve un parking souterrain au prix pas exorbitant en soirée sous la salle de concert), nous prenons un sandwich et hop, on va au concert.

J’ai voulu faire quelques photos de la Grand’ Place et ses annexes qui sont à proximité immédiate.

La grande roue est installée depuis quelques temps.

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Un manège pas très loin.

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Sur la Grand’ Place, le théâtre

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Pas loin, l’opéra.

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En face, la vieille bourse.

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A côté, la chambre de commerce.

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Pas loin, l’hôtel rendu célèbre par DSK.

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Nous sommes ensuite rentrés pour le concert intitulé « Noël à Vienne ». Nous avions été alléché par le programme prévisionnel, bien qu’incomplet et manquant de précision. Je suis pour ma part un grand fan de la musique viennoise de Johann Strauss & Co. En dehors des grands orchestres internationaux qui à mon niveau excellent sur le sujet, il existe aussi quelques merdouilles commerciales mielleuses à la André Rieu dont certains savent se satisfaire. Nous n’avions pas les meilleures places (nous nous y étions pris un peu tard pour les réservations), mais nous en avons profité très convenablement compte tenu de l’excellente acoustique de la salle. Nous avons aussi été impressionné par le souffle de l’orchestre, pourtant doté d’un plus faible nombre de musiciens que pour l’orchestre de Vienne à l’occasion du Nouvel An. D’ailleurs, en dehors des paillettes, des fleurs, de l’accès et du prix des places et du caractère supérieur bourgeoisement coincé, ce que nous avons entendu supportait probablement largement la comparaison avec Vienne.

Il s’agissait des musiciens de l’Orchestre national de Lille sous la baguette de Wolfgang Doerner. Un Viennois qui a néanmoins largement travaillé en France et est actuellement, entre autres, directeur musical à l’Orchestre de Cannes. Le programme a été le suivant :

  1. Baron Tzigane, ouverture (Johann Strauss)
  2. Wilde Rose, Polka Mazur op. 201 (Josef Strauss)
  3. Neujahrsgalopp (Joseph Lanner)
  4. Delirien Valse, op. 212 (Josef Strauss)
  5. Danse diabolique (Josef Hellmesberger)
  6. Fata Morgana, Polka Mazur op. 330 (Johann Strauss)
  7. Unter Donner und Blitz, Polka rapide (Johann Strauss)
  8. Entracte
  9. La Belle Galathée (Franz von Suppé)
  10. Frühlingsstimmen, Valse op. 410 (Johann Strauss)
  11. Winterlust, Polka rapide op. 121 (Josef Strauss)
  12. Kaiserwalzer, op. 437 (Johann Strauss)
  13. Orphée aux enfers, ouverture [version Binder] (Jacques Offenbach)

Je connaissais peu certaines œuvres ou pas du tout comme la 1, la 5 ou la 9. J’ai été enthousiasmé par tout (Fromfrom également). Évidemment, beaucoup sont des « tubes » que j’apprécie énormément. Je n’en cite qu’un, parce que c’est ancré profondément en moi : La Valse de l’Empereur.

Sinon, après ce programme officiel, nous avons eu droit à trois interprétations complémentaires dont les incontournables Beau Danube bleu et la Marche de Radetzky.

Bref, une excellente soirée de deux heures de musique, en terre connue, mais avec le souffle de l’orchestre, la vraie texture des instruments et les vibrations directes de la salle.

La salle et l’orchestre avant le commencement.

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Et en action après l’entracte (photos clandestines).

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19 décembre 2014

Vive les vacances !

Les vacances sont là. Une fois de plus, il me tardait qu’elles arrivent. Les mois qui viennent de s’écouler ont été pesants, non pas par une quantité exceptionnelle de boulot, mais par le fait que je pilote un navire dans le brouillard, avec plusieurs matelots de mauvaise volonté. Un d’entre eux a été remis dans le droit chemin, mais l’autre pourrait se jeter par-dessus bord dès le début de l’année prochaine. J’en suis presque à me dire que son « suicide » serait la meilleure chose qui pourrait nous arriver à tous. Les deux semaines qui viennent vont être l’occasion de se détendre pour de bon.

Nous voilà partis pour des contrées occidentales.

L’église du siège materno-ducal.

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Roscoff qu’il faudrait visiter autrement que de nuit.

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Et plein d’autres bricoles.

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Puis passage par le grand côté du triangle en plusieurs étapes, via notamment la capitale berrichonne.

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Et les flancs de la montagne qui m’ont vu naître.

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A bientôt. Pas de bêtises, je vous surveille.

21 janvier 2015

Brou (4/6)

Voici à présent l’intérieur, surtout la nef et le jubé pour l’instant. Depuis peu, on peut monter sur le jubé. Je ne vous dirai pas que c’est une « véritable dentelle de pierre » comme on l’entend trop souvent, mais force est de constater que c’est ouvragé. Et j’aime beaucoup aussi (c’est sans doute ça et les voûtes qui m’avaient plu étant gamin).

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22 janvier 2015

Brou (5/6)

Nous entrons dans le chœur. Nef comme chœur n’ont jamais fait l’objet de véritable restauration, juste de des nettoyages (vitraux compris).

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Les stalles, réalisées en chêne, bien plus nombreuses que les moines. Pour moi, il s’agit des plus belles que j’ai vues après celles de la cathédrale d’Amiens, qui restent largement indépassables à ce jour.

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Tombeau de Marguerite de Bourbon.

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Tombeau de Philibert de Beau.

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Tombeau de Marguerite d’Autriche.

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Les vitraux du chœur.

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La chapelle de Marguerite d’Autriche. Avec un monumental retable d’albâtre. Avec une annonciation (pour Calyste, cinquième photo à gauche).

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Et le vitrail d’une finesse d’exécution remarquable (rendu du velours et de l’hermine).

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8 janvier 2015

Bretagne 2014 (6)

Le lendemain, comme nous étions à Concarneau, j’ai exprimé le vœu de voir de bon matin le château de Keriolet (XIXe s. mais d’origine médiévale), non ouvert à la visite en cette saison.

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J’ai ensuite encore voulu aller à la pointe de Trévignon et ses environs.

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Puis nouvelle visite au hameau de Kerascoët avec ses chaumières dont certaines remontent au XVIe s. et d’autres à « pierres levées » (de ces dernières, on en observe quelques-unes dans les environs – il s’agit le plus souvent, pour les « vraies », de maisons assez petites et basses).

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L’après-midi de Noël, les « grandes » nièces étaient attendues, avec leurs compagnons respectifs chez la Duchesse mère. C’est finalement la sœur de Fromfrom, elle aussi invitée, qui est arrivée la première. Fromfrom et moi avons été choqués de la voir. En quelques années (vérification faite, un peu plus de 4 ans) que nous ne l’avions pas revue, elle a pris un épouvantable coup de vieux. Elle refuse de se soigner ou de se faire prendre en charge. Il serait étonnant qu’elle aille encore très loin à ce train là. Journée de Noël mitigée, donc.

Promis, juré, c’était la dernière fois que je plombais l’ambiance pour la suite du récit. Voici donc pour finir, la charlotte royale de Fromfrom, au gâteau roulé fourré à la crème de marrons, le tout recouvrant une mousse au chocolat agrémentée de framboises.

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9 janvier 2015

Bretagne 2014 (7 et fin)

Puis, la plupart des invités ayant regagné leurs domiciles respectifs, nous sommes partis en car à Vannes (oui, je sais, elle est facile, on m’a piégé deux fois et je me suis vengé deux fois sur d’autres). A l’hôtel, après avoir enfin trouvé une chambre non préparée, puis une seconde dans le même état, nous nous sommes effondré dans la troisième jusqu’au lendemain. Je n’ai pas bien dormi car j’avais la gorge en feu et cela allait me rendre dans un état pitoyable pendant plusieurs jours.

Le lendemain, nous allons à la découverte du centre historique de la ville (je n’y avais encore jamais mis les pieds). Le ciel n’est encore pas de la partie. La cathédrale ne nous a pas fait pas rêver, loin de là (Fromfrom m’avait prévenu). La crèche est installée, installée dans une chapelle ronde Renaissance et couverte de voiles de bateau lui conférait un aspect joyeux.

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Puis, après un repas alsacien, nous avons mis cap au Centre.

25 février 2024

Rediffusion pour Calyste... et les autres.

Sur la rive gauche (orientale) du Rhône, près de l’extrémité nord-ouest du département de l’Isère, non loin de Vienne et de Condrieu, se dresse, sur la commune de Les Côtes-dArey, la chapelle Saint-Mamert dont Calyste a parlé hier. Nous l’avions découverte avec Fromfrom le 31 décembre 2013 (voir ici). Nous avions passé un très bel après-midi de la Saint-Sylvestre dans le secteur. Je publie trois photos dans de nouvelles versions améliorées. Le Pilat en toile de fond sur la troisième.

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2 mars 2024

De 2023 à 2024 (7)

Nous nous retrouvons finalement dans la Loire. Le lendemain, nous sommes invités chez ma cousine. Le matin, je prépare les brochets congelés depuis l’été dernier. Puis après avoir retiré l’épine dorsale, je reconstitue les poissons comme je peux. Comme d’habitude, on nous dit que cela fait de gros bout, mais on y revient avec un peu de mayonnaise et il ne reste rien.

Le Jour de l’an, en rentrant de la boulangerie en milieu de matinée, je me rends compte que la pluie de la nuit avait fait un saupoudrage de neige au sommet du Pilat. Après le repas encore une fois bien garni, nous partons y faire un tour. La neige a déjà pas mal fondu, mais il en reste.

Voici donc des photos prises au Col de l’Œillon puis à la Jasserie près du Col de la Perdrix. A noter que les photos de la fontaine sont manipulées dans la mesure où les propriétaires de l’établissement de la Jasserie ont installé assez récemment pour l’été des barrières en bois et de vilains montants pour des stores pour avoir de l’ombre sur les tables. Nous irons d’ailleurs boire des café / chocolat dans la grande salle bien connue et qui ne change pas décennie après décennie. Nous n’avions pas remarqué jusqu’à cette année qu’ils vendaient des saucissons secs maison. Bon, cela ne change rien, nous avons déjà nos fournisseurs attitrés.

 

Puis, en redescendant, deux petits arrêts dont le premier montre le grand champ de chirats (évoqué l’an dernier ici) et sur lequel on devine le saut du Gier.

Et des photos prises dans la Jasserie. On vous salue bien !

 

7 mars 2024

De 2023 à 2024 (8)

Quelques jours plus tard, direction La Chaise-Dieu. L’abbatiale (l’abbaye, plus généralement) est très connue à plusieurs titres :

  • pour son festival de musique classique qui a lieu en août ;
  • pour sa salle de l’écho (où nous ne sommes allés cette fois) ;
  • pour sa danse macabre (1470) sur trois murs et les piliers du bas-côté nord dans le chœur. Il s’agit à la fois de fresques et de peintures murales (un premier pan pour l’aristocratie et le haut clergé, un pour la bourgeoisie et le clergé intermédiaire et un troisième pour le bas peuple) ;
  • pour ses tapisseries du XVIe s. (tenture de chœur présente dans celui-ci jusqu’en 2013). Elles ont été restaurées et installée dans la chapelle Notre-Dame du Collège (dans laquelle il y avait auparavant plusieurs logements privés) depuis 2019. Des déshumidificateurs ont été ajoutés depuis et les conditions de conservation sont à présent excellentes. Malgré les conditions difficiles qui régnaient dans le chœur auparavant (très froid et humide en hiver notamment), elles restent bien conservées (ce que nous en avions vu lors de notre précédent passage en 2006 en témoigne) ;
  • pour son architecture défensive ;
  • pour servir de tombeau gisant du plus célèbre pape d’Avignon (selon moi) : Clément VI, ancien moine Pierre Roger, recueilli ici et pris d’affection par l’abbé dans son jeune âge (c’était un orphelin).

 

Des photos de l’extérieur et du cloître.

La Bentley rouge de la marquise de Fromulus.

En vrai, la photo est comme cela (c’est le seul écart que je me permets).

 

10 mars 2024

De 2023 à 2024 (9)

Voici l’intérieur de l’abbatiale.

 

 

Le gisant du pape Clément VI.

 

La danse macabre (1470) avec pour rappel trois murs et les piliers du bas-côté nord dans le chœur. Il s’agit à la fois de fresques et de peintures murales (un premier pan pour l’aristocratie et le haut clergé, un pour la bourgeoisie et le clergé intermédiaire et un troisième pour le bas peuple).

 

17 mars 2024

De 2023 à 2024 (10 et fin)

Pour rappel, les tapisseries sont du XVIe s. (tenture de chœur présente dans celui-ci jusqu’en 2013). Elles ont été restaurées et installée dans la chapelle Notre-Dame du Collège (dans laquelle il y avait auparavant plusieurs logements privés) depuis 2019. Des déshumidificateurs ont été ajoutés depuis et les conditions de conservation sont à présent excellentes. Malgré les conditions difficiles qui régnaient dans le chœur auparavant (très froid et humide en hiver notamment), elles restent bien conservées (ce que nous en avions vu lors de notre précédent passage en 2006 en témoigne).

 

L’Annonciation.

 

La Nativité.

 

Les rois mages.

 

Les prêtres mis à mort par Saül pour avoir aidé David – Les massacre des saints innocents – Athalie fait tuer ses petits-enfants.

 

David Victorieux de Goliath.

 

L’entrée de Jésus à Jérusalem.

 

Jésus vendu par Judas.

 

L’apparition du Christ à Marie-Madeleine ou noli me tangere (ne me touche pas).

 

Le roi Salomon honore sa mère.

 

Le couronnement de la Vierge.

 

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