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Cornus rex-populi
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30 juin 2022

Les effets du covidage

La journée de mardi a été consacrée au repos presque intégral, celle de mercredi au télétravail, sans problème, mais aujourd’hui en début d’après-midi, j’ai été frappé par une énorme fatigue comme je n’en avais pas eue depuis longtemps, m’obligeant à une sieste d’une heure. Les effets de la COVID-19 sont donc encore là. Demain, je retourne au travail en présentiel ; je suis redevenu négatif à l’autotest.

Voilà les ravages provoqués par la maladie.

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Mais à choisir, je préférerais quand même ça, d’autant que cela me donne un bon coup de jeune.

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Photos garanties sans trucages en post-traitement !

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27 juin 2022

Brèves cornusiennes du lundi 27 juin 2022

Fromfrom a repris aujourd’hui le travail, donc sept jours à peine après les premiers symptômes et cinq jours après avoir été positive. Elle est revenue sur les rotules, sans mauvais jeu de mots. Heureusement qu’elle ne retravaille pas avant vendredi à présent.

De mon côté, j’étais positif à l’autotest samedi, qui a été ma plus mauvaise journée avec la fièvre qui tangentait 39 °C. Aujourd’hui, j’ai fait une demi-journée de travail et demain je ne travaille pas du tout (RTT) parce que suis encore très fatigué. Ce matin, test PCR positif. Je l’ai fait faire pour ensuite m’exempter d’un rappel vaccinal et conserver l’intérêt du passe vaccinal en particulier pour aller dans certains établissements de santé.


 

Ma mère est sur liste d’attente dans deux EHPAD. J’aimerais bien qu’elle puisse y entrer à l’automne, le temps que mon père se fasse à l’idée. Cela le préoccupe énormément. Il y a des hauts et des bas.

25 juin 2022

Pont ascensionnel

Pour le pont de l’Ascension, débuté un peu plus tôt dans la semaine, nous sommes allés voir mes parents à RDG dans la Loire, en ne restant que guère plus de 24 heures. Cela nous a néanmoins permis de déguster de splendides cerises Burlat qui étaient plus abondantes que jamais alors qu’au moment de la floraison, il avait neigé et fortement gelé, laissant craindre, comme l’an dernier à un absence totale de récolte. Des cerises assez petites à cause de leur nombre et de la sécheresse qui règne là-bas depuis l’automne. En contrepartie, des fruits très sucrés, même pour les moins mûrs.

Puis direction le domaine du Dragon terrassé pour :

  • apporter des cerises aux voisins et amis ;
  • désherber le potager (les pommes de terre, elles, ont été butées magnifiquement bien par les voisins) ;
  • tondre les espaces intra et extra-muros ;
  • débroussailler le pourtour de l’étang, chose que je n’avais pas pu faire l’été 2021. J’ai un peu forcé, ce qui m’a valu un mal de dos non aigu mais qui ne passait pas, d’où passage chez l’ostéopathe, quinze jours plus tard.

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Nous avons quand même pu profiter du beau temps et de fleurs qu’on ne voit jamais dans le jardin : pivoine et le rhododendron le plus tardif, celui à fleurs rouge carmin.

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Et puis, l’étang bien entendu.

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Cette année, contrairement aux années passées, la Linaigrette à feuilles étroites (Eriophorum angustifolium) fait son retour à l’étang.

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23 juin 2022

Vacances d’avril (4 et fin)

Après Vézelay et Saint-Père, passage en coup de vent près du château de Sébastien Le Prestre de Vauban, autrement dit Bazoches. Il n’était pas question d’aller le visiter une nouvelle fois.

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Le Chou colza m’attire toujours l’œil même si je le photographie jamais.

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À cette période, le Morvan atlantique se pare de ses atours d’Endymion penché ou Jacinthe des bois entre autres multiples noms dont le « Bluebell » anglais (Hyacinthoides non-scripta).

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Pour conclure les vacances d’avril (il serait temps !), quelques vues du domaine du Dragon terrassé prises sur plusieurs jours.

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22 juin 2022

Brèves cornusiennes du mercredi 22 juin 2022

Fromfrom est plus ou moins « enrhumée » depuis dimanche. Lundi, elle fait un autotest « SARS-CoV-2 » négatif. Elle avait 7 élèves covidés absents sur 29, et les autres étaient tous masqués. Hier et aujourd’hui, elle ne travaillait pas, mais était toujours « enrhumée ». Nouvel autotest positif cette fois. Et moi, avant même ce nouveau test, j’ai ressenti des signes en rentrant du travail. Je pense que je suis atteint, mais j’attends demain pour faire l’autotest. Conclusion : Karagar nous a refilé sa COVID-19 par le blog ! Plus sérieusement, c’est sûrement une infection jeudi dernier à l’école.

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18 juin 2022

Brèves cornusiennes du samedi 18 juin 2022

Hier, ma mère a fait deux visites chez les médecins. Le matin à Saint-Chamond pour sa vésicule caillouteuse. Il a été décidé que dès lors que cela ne la fait pas souffrir, il n'y aura pas d’opération. Néanmoins, en cas de pépin, on prévoira de l’opérer en urgence.

L’après-midi, rendez-vous à Saint-Étienne au sujet de son cancer du sein (bien confirmé au stade 1). Compte tenu de ses traitements anticoagulants (importants à ce stade notamment à la suite de son embolie pulmonaire et de la découverte d'un caillot calcifié dans la cuisse à dissoudre à la longue et des risques de phlébites...) et de son état général, pas de radiothérapie dans les six mois qui viennent, juste un traitement médicamenteux visant à limiter l’expansion de la tumeur. J’imagine qu’à son âge, ça évolue lentement.


Mardi, on organisait au travail un nouveau comité des financeurs qui est désormais obligatoire dans le cadre du nouveau cahier des charges national de nos structures aggréées. De notre côté, nous n’y sommes pas encore soumis, mais c’est la deuxième année que nous le réunissons. Le ministère a pris exemple sur nous pour mettre en place les mêmes choses chez les autres en l’intégrant dans l’arrêté ministériel publié en mars 2022. Outre ce comité, il y a une stratégie scientifique (réalisée début 2020) et une stratégie d’établissement (réalisée dans les grandes lignes il y a un an). Au moins, pas de surprise, pas de stress pour le futur renouvellement de notre agrément. J’ai bien d’autres sujets d'inquiétudes (rien de très grave à ce stade), mais je pense que dans l’ensemble, ça marche plutôt pas mal. Évidemment, pour ne pas reculer, il faut toujours aller de l’avant et nous le faisons. Cela en énerve peut-être certains, mais peu importe, on n’a pas le choix !

16 juin 2022

Vingt ans et quelques

Une forme de note anniversaire car aujourd’hui, cela fait exactement vingt ans, un mois et deux jours que j’ai soutenu ma thèse (je n’avais pas la tête à rédiger cela le mois dernier). Le mois de mai est une période où l’on ne soutient généralement pas de thèse (cela se fait plutôt entre septembre et décembre), mais ce n’est qu’une étrangeté parmi beaucoup d’autres…

Comme j’ai eu sans doute plusieurs fois l’occasion de le dire ici, je voudrais rappeler qu’avant le bac, je n’avais jamais imaginé faire de longues études. Lors de mes années au lycée, je me souviens très bien d’un rendez-vous, en compagnie de ma mère, chez la conseillère d’orientation où elle disait que des poursuites d’études après un bac + 2 (BTS, DUT) étaient possibles, notamment vers des bac + 4 (MST) et qu’elles connaissait pas mal d’étudiants qui avaient emprunté ce chemin-là.

En classe de terminale, le proviseur avait dit : « dans cet établissement, vous (s’adressant à nous, futurs bacheliers), partez peu pour des études longues, alors que vous en avez largement les capacités ». Cela m’avait marqué. Cependant, je trouvais qu’un DUT ferait bien l’affaire dans un premier temps et ce serait déjà bien si je parvenais à obtenir ce diplôme (je doutais beaucoup de moi à l’époque). Et il fallait déjà rentrer à l’IUT compte tenu de la forte sélection à l’entrée. La première année d’IUT me plongea dans une vie d’étudiant que je ne soupçonnais pas, mais je restais concentré sur mon objectif, aidé en cela, par un grand nombre d’heures de cours/TD/TP. Aucune participation à une fête estudiantine durant mes études (après, si).

Et puis ce fut la MST et après le service militaire. L’occasion me fut donnée de poursuivre (je n’y songeais pas, je me suis fait un peu forcer la main). Enchainer sur une thèse me paraissait aussi très long, difficile à concevoir… alors que ce fut finalement presque « facile ». Il fallut le sujet. Contrairement aux usages, c’est moi à 99 % qui avais proposé et rédigé le sujet de thèse. Il fallut aussi trouver le financement et, le plus délicat, la structure d’accueil (pour ne pas dire le laboratoire), etc. C’est bien ça qui a finalement été le plus difficile et long à mettre en place. Je n’y serai pas arrivé sans la complicité de mon directeur de thèse et du président de l’université avec lequel j’échangeais directement et qui m’a sauvé la mise. J’ai dû m’accrocher, certes et insister, mais ça a payé. Je me demande vraiment si au final, je me serais engagé pour une thèse dont je n’aurais pas moi-même défini le sujet ? Enfin, la question ne se pose pas puisque cela s’est passé autrement.

Les premiers mois de mon travail de thèse avaient notamment consisté à faire de la bibliographie et je dois dire que je n’avais pas été énormément aidé à ce niveau. Certes, ma codirectrice de thèse m’avait bien orienté du côté des forêts (alluviales), mais pas grand-chose au sujet des autres végétations, notamment aquatiques (je n’ai pu récupérer des choses modernes que tardivement auprès de l’un de mes rapporteurs de thèse). D’une manière générale, ma thèse pèche par un relatif manque de références bibliographiques internationales, ce qui a été (vite) dit en soutenance et j’en suis pleinement d’accord. J’ai souffert d’une forme d’isolement et d’un mauvais accès à la littérature scientifique internationale. Cela dit, n’exagérons pas, il y a de la matière… et parfois, il ne faut pas aller chercher sur les rives du Mississipi, du Congo, du Yang-Tsé-Kiang ou de l’Amazone, quand on a de la matière sur le Rhône, le Rhin et quelques bricoles sur la Loire…

Je ne vais bien sûr pas parler du fond de ma thèse, puisqu’il suffit de la lire (sur la HAL science ouverte – thèses en ligne) et je pense vraiment qu’elle est relativement accessible, blague à part. En revanche, quelques anecdotes.

L’un des rapporteurs de ma thèse, hélas décédé en 2020, de l’Université de Marseille, que j’avais eu comme intervenant lors de mon DEA passé là-bas, avait notamment écrit dans son rapport autorisant la soutenance : « L’ampleur des collectes de données pour établir ce modèle est à mettre au crédit de Monsieur Cornus. Il concerne tant les bases floristiques que les paramètres écologiques. L’échantillonnage stratifié, le maillage conséquent des stations donnent à ce travail une marge de sureté qui tourne le dos aux méthodes souvent estimatives utilisées par nombre de chercheurs pour établir et construire des modèles structuro-fontionnels ». Pour être plus clair, il se réjouissait que mon travail se base sur de vraies données recueillies précisément sur le terrain (relevés semi-quantitatifs d’espèces de plantes) et non sur de vagues estimatifs. Il est notoire de constater que nombre de travaux scientifiques sur la flore se basent sur des « méthodologies simplifiées » alors même que les études de fond, non simplifiées, n’ont pas été menées et qu’elles ne le seront probablement jamais. D’un point de vue scientifique et épistémologique, c’est sacrément problématique. Et effectivement, j’ai vu depuis pas mal de travaux qui sont menés ainsi et arrivent à des conclusions merdiques. Cela n’a sans doute pas d’importance puisque presque personne dans la communauté scientifique académique ne s’en rend compte, dès lors que la forme de l’article scientifique dans la revue Machin coté Truc au rang international, que l’on a produit ses statistiques bien comme il faut et qu’on en sait pas beaucoup plus après qu’avant… Et comme c’est merdique, il vaut mieux faire de la génétique et de la biologie moléculaire, il n’y a que ça de vrai, de préférence sur des plantes qu’on ne connaît pas, qu’on na jamais vues dans la nature. Aujourd’hui, il n’existe pratiquement plus d’universitaires naturalistes en botanique. On ne sait pas reconnaître un Pâturin à feuilles étroites d’une Fétuque rouge (ou si vous voulez pour être plus parlant un pissenlit d’une laitue… cela n’a pas d’importance puisque tout est de la salade !). Je pense qu’au contraire, c’est très grave puisque les chercheurs n’ont pas tous conscience de leurs lacunes ou alors les minimisent. À quoi bon reconnaître les plantes, c’est la science des ânes, puisqu’il y a PlantNet (voir ici : c’est vrai que c’est un outil intéressant et performant pour l’avoir testé, mais qu’il faut savoir utiliser et ne pas forcément écouter en retournant bien sûr aux fondamentaux).

Après la soutenance, en attendant le retour du jury parti délibérer, un ancien professeur de chimie qui avait assisté à ma présentation et aux questions, et que je n’appréciais guère (mais avec lequel j’étais toujours resté poli) était venu me voir pour me balancer, entre autres, une vacherie du genre : « je n’ai pas bien compris telle chose, tu aurais dû mieux expliquer… ». Ce jour-là, je n’étais pas dopé, mais remonté comme un coucou et hypersensible. Je lui ai répondu un truc du genre : « Comme l’a dit le professeur C. (président du jury), ce travail s’adresse à un public averti et compétent ». Du coup, il avait fichu le camp. Il est clair qu’en 45 minutes, on ne peut pas détailler les résultats des travaux d’une thèse en allant réexpliquer ce qu’est un type biologique, une communauté végétale, un transect…). Je suis 100 % partant pour expliquer le contenu de ma thèse à des gens qui n’y connaissent rien et je pense que je sais le faire sans souci, mais aller expliquer ça aux cons, persuadés détenir la vérité, alors qu’ils sont eux-mêmes des billes en pédagogie, il ne faut pas pousser ! Une connaissance, aujourd’hui perdue de vue, avait eu ce triste individu comme directeur de thèse. Lors de sa soutenance à laquelle j’avais assisté, cette andouille malfaisante n’avait pas trouvé d’autre saloperie à dire à la fin que : « C. est têtue, elle a fait ceci et cela… ». Cela aurait pu être de l’humour, mais cela ne l’était pas du tout. Et après délibération, c’était la plus faible appréciation, « honorable », qui lui avait été donnée. Alors je ne suis pas compétent pour juger de la qualité du travail qui avait été mené, mais je pense que le travail avait été réalisé avec beaucoup de rigueur. Je pense que l’appréciation ne l’a pas énormément aidée dans les années qui ont immédiatement suivi sa thèse.

Contrairement à ce que j’avais imaginé ou ce qui était prévu initialement, peu d’étudiants dans les formations dont j’étais issu ou dans lesquelles j’avais enseigné, car ils étaient partis en sortie. Mais quelques amis dans la salle et quelques inconnus que je revis néanmoins plus tard. L’un d’eux dira plus tard à plusieurs occasions que ma thèse était son livre de chevet. Je pense quand même qu’il faut avoir un grain pour ça !

Après les remarques constructives formulées par l’un des rapporteurs, à la fois dans son rapport et oralement, j’avais remanié légèrement ma thèse pour y répondre autant que possible dans le temps qui m’était imparti. Sans pouvoir tout remanier en si peu de temps, cet effort avait été apprécié dans le document final. Néanmoins, je reste persuadé que la thèse comporte certains défauts de naissance auxquels je n’ai jamais su répondre. Parmi ces défauts figurent pas mal d’éléments d’analyse qui n’ont pas été menés jusqu’au bout notamment faute de temps et un défaut de structure puisque je commence à fournir des résultats et des analyses personnels avant les résultats « officiels » principaux. Cela ne m’a pas empêché d’obtenir l’appréciation maximale du jury et l’année suivante le prix des thèses de la Société botanique de France (le premier de la série) ; le plus fort a été que je n’avais pas candidaté à ce prix (uniquement honorifique à l’époque).

Finalement, je suis heureux de cette aventure que fut la thèse (pas uniquement le temps du travail, mais aussi les années qui ont précédé). Cela m’a permis de faire la connaissance de pas mal de personnes, parfois pas du tout conventionnelles et tranchantes mais néanmoins très intéressantes quand on a su faire le tri, mais aussi des belles personnes, modestes et riches que l’on n’oublie jamais, et des amitiés. Bref, une aventure structurante dont je puis dire que j’avais sans doute besoin, à deux niveaux non disjoints : une partie de ma personnalité et la reconnaissance de ma valeur professionnelle voire de ma valeur tout court. Il m’a fallu encore bien des années pour dépasser en partie certains de mes complexes et un certain besoin de reconnaissance. Ce besoin est encore là, même s’il est souvent mis en sourdine, quitte à rejaillir. J’essaye cependant de ne pas succomber à l’orgueil, mais peut-être que cette note dit le contraire…

12 juin 2022

Vacances d’avril (3)

Et puis comme Calyste et Karagar (et pas comme moi précédemment), nous sommes allés, la même journée, voir la fameuse église de Saint-Père(-sous-Vézelay). La fois précédente, c’était en 2007 (voir ici), il était donc temps. La troisième photo est un assemblage assez horrible, mais je la conserve surtout pour rire.

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11 juin 2022

Vacances d’avril (2)

J’ai passé une partie de la semaine à diverses tâches, en particulier au jardin. Heureusement, le voisin a pu passer la charrue avec le motoculteur, mais j’ai dû motobiner ensuite pour casser les grosses mottes. Il faut préciser qu’il commençait à faire sec, mais ce n’était que le début, l’hiver et le début du printemps ayant été humide là-bas. Puis j’ai planté quatre variétés de pommes de terre, deux de carottes, du persil, de la batavia, des échalotes et 5 espèces/variétés de Cucurbitacées.

Nous avons pu cependant aller nous balader à Vézelay (la dernière visite à la basilique datait déjà de 2015).

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L’intérêt a été de voir cette fois la façade occidentale complètement nettoyée/restaurée ; en revanche, les travaux sont toujours en cours ou à venir presque de tous les autres côtés. Pour les photos extérieures en couleur, la colorimétrie différente sexplique par lheure à laquelle a été faite la photo.

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6 juin 2022

Vrai ou faux : les réponses

1. Des personnes non identifiées ont lâché trois lapins domestiques devant l’entrée de mon lieu de travail. Des collègues en ont récupéré deux à des fins d’animal de compagnie. Le troisième, je m’en suis chargé, il est au congélateur. D’autres collègues ont continué à le chercher en vain…

Les deux premières phrases sont VRAIES mais le reste est FAUX. En effet, il y avait quatre lapins en tout et surtout je n’ai pas cherché à en attraper un, bien que je fus tenté.

2. Enfant, j’ai pris plaisir à cogner un élève pour me venger du fait qu’il me tapait régulièrement et que j’avais réussi à coincer et à mettre à terre.

Le contexte est VRAI (école primaire) mais le plaisir pris est FAUX. Au contraire, à cette occasion, j’ai pris conscience qu’il m’aurait été aisé de lui faire extrêmement mal (voire pire) car il m’aurait suffit de lui cogner la tête contre le bitume de la cour de récréation. Après cet épisode, je ne fus plus embêté par cette peste.

3. J’ai conduit à trois reprises dans ce que l’on peut appeler clairement un état d’ivresse.

C’est VRAI, dont une fois à Autun et une fois à Chinon. Heureusement, il n’y avait que quelques kilomètres à faire.

4. J’ai contribué à faire un sale coup le dernier jour de mon service militaire en introduisant un virus dans l’ordinateur de ma compagnie.

C’est FAUX pour le virus, mais si je n’en ai pas été l’acteur direct, c’est VRAI pour le sale coup. Mon complice était le gars avec lequel nous tenions les différents fichiers informatiques, en particulier les effectifs et autres âneries que nous avions créés sur un PC plus qu’à bout de souffle. Nous considérions qu’ils ne devraient pas nous survivre après notre départ…

5. J’ai pris le café avec le préfet de l’Aisne dans son bureau.

C’est VRAI, durant l’été 2015. Nous étions quatre en tout. Ce type était pas mal vis-à-vis de la prise en compte des enjeux environnementaux et pour l’écoute. Hélas, certains de ses successeurs n’ont pas été à la hauteur.

6. J’ai salué Ro*se*ly*ne Bac*he*lot dans le jardin lors des portes ouvertes.

C’est FAUX. Je ne l’ai qu’une fois en vrai à Tours lors d’un colloque en 2000 ou 2001.

7. Je suis intervenu avec des collègues dans une enquête de police sur une affaire d’homicide dans laquelle la présence d’un fragment de plante sauvage constituait un élément de preuve déterminant.

C’est FAUX. Néanmoins, des collègues d’un autre organisme homologue d’une autre région ont eu à intervenir comme je le dis.

8. Je suis le récent co-auteur d’une publication typifiant plusieurs nouvelles et proches espèces végétales pour la science, présentes uniquement en France pour l’instant.

C’est FAUX. Néanmoins, je suis co-auteur d’une publication typifiant plusieurs nouvelles associations végétales pour la France : saulaies et autres forêts ou fourrés alluviaux comportant des saules.

9. Nous avons désormais cinq ruches dans les jardins au travail. En début de semaine dernière, je me suis approché trop près en faisant des photos de plantes sans faire attention et je me suis fait piquer par une dizaine d’abeilles et je n’ai eu aucune réaction allergique.

C’est FAUX, je ne me suis jamais fait piqué par la moindre abeille (contrairement aux guêpes, que je ne compte pas), mais il est VRAI que nous avons désormais cinq ruches.

10. Une vieille dame très aisée avait décidé de nous octroyer un don important qui a servi à nous former et à lancer les premiers inventaires sur les lichens de la région.

C’est FAUX. Néanmoins, un organisme homologue au nôtre, a eu cette chance.

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