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Cornus rex-populi
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28 mars 2011

Un feu dans la cheminée

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27 mars 2011

Photo du milliardaire

Il voulait rentrer dans la maison. C’était seulement la deuxième fois que cela arrivait depuis que nous habitons ici (qu’un chat rentre à la maison).

Voici le milliardaire dans notre jardin.

 

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27 mars 2011

Sortir du nucléaire

Cette note montre peut-être une certaine naïveté de ma part, mais je crois être sincère avec moi-même.

 

Au printemps 1985, avec le collège, j’avais eu l’occasion de visiter une centrale nucléaire en construction dans la vallée du Rhône (voir ici). On nous avait expliqué l’intérêt et la force de cette technologie, sa sûreté compte tenu de la double enceinte de confinement (une enveloppe en béton armé, l’autre en béton précontraint, le double circuit d’eau…). Tout était sous contrôle, tout allait bien.

Et puis, moins d’un an plus tard, boum, un des réacteurs de la centrale de Tchernobyl en Ukraine, explosait, à cause de l’emballement de la réaction et d’un défaut de refroidissement. Et peu de temps après, on se prenait le « nuage » radioactif sur le nez sans que les autorités nous ai engagé à prendre des précautions particulières. Je me souviens très bien de la pluie qui était tombée la nuit lorsque le « nuage » était à son maximum. Franchement, à l’époque, personne n’avait vraiment cru qu’il s’était arrêté à la frontière.

Cet épisode m’avait profondément marqué (je n’étais pas le seul, assurément) et j’avais à l’époque lu beaucoup de choses dans les revues scientifiques de vulgarisation. C’est à cette époque que mes parents m’avait abonné à une de ces revues.

Et puis le temps a passé. Me voilà en 1991 quand dans le cadre de mon Diplôme universitaire de technologie en Génie de l’environnement, j’avais eu des cours de physique nucléaire et de radio-protection. L’enseignement était prodigué par un ingénieur du CEA en radio-écologie. Il était du genre à plaisanter lors de chaque cours et à charrier à peu près tout le monde (j’y avais échappé). Cela avait été le seul enseignant à nous payer un pot pour la nouvelle année, mais auparavant, il avait décerné des prix Nobel de physique pour les plus belles boulettes des uns et des autres qu’il avait relevé dans les copies des partielles. Pour les travaux pratiques, il était secondé par un de ses collègues qui m’avait intrigué. Outre le fait qu’il me paraissait très vieux, ce collègue, au caractère bougon mais bon enfant, semblait brulé sur le côté, avec une oreille atrophiée, presque absente. Conséquence d’une exposition accidentelle aux rayons γ, accident plus « conventionnel » ou malformation congénitale, nous ne l’avons jamais su. Ce cours n’avait pas été de la propagande pro-nucléaire, mais ce qu’on apprenait en terme d’expositions aux rayonnements et de ce qui se passait en réalité dans une centrale nucléaire était déjà dépassé. Dépassé par la compétitivité et la libéralisation au sein des centrales nucléaires qui commençaient à employer des intérimaires. Des intérimaires qui avaient le droit d’aller se faire exposer aux rayonnements et qui le reste du temps, pour ne pas dépasser les doses annuelles maximales admissibles, allaient travailler dans d’autres entreprises, notamment dans celle où travaillait mon père. J’avais du mal à y croire. Et pourtant, il est bien vrai que les exploitants de centrales nucléaires préfèrent les intérimaires précaires à leurs employés qu’ils seraient obligés de payer à ne rien faire dès lors qu’ils ont atteint leurs doses annuelles. Tout cela, c’était avant la libéralisation du marché de l’énergie après 1995 et plus encore depuis les privatisations des années 2000. J’écoutais vendredi soir un reportage où on disait que les conditions de travail de ces gens étaient épouvantables et que de grands risques étaient pris pour leur sécurité, celle de l’installation et  donc la notre. La précarité du travail engendre des prises de risques très fortes de la part des ouvriers qu’ils taisent pour être embauchés la prochaine fois. Combien de contaminations, combien de cancers à retardement ?

J’avoue, que sans être pour, je n’étais pas contre l’énergie nucléaire, même si j’ai toujours dénoncé le manque de transparence pour ne pas dire le mensonge organisé. Et encore, je ne pense qu’à la France car il existe des centrales nucléaires un peu partout dans le monde qui ne sont pas forcément entre des mains toujours innocentes ou pacifiques.

Et puis, on a des besoins énormes en énergie (même si l’on pourrait faire de notables économies) et je vois mal le pays se remettre aux énergies fossiles, ni assurer tous les besoins avec les énergies renouvelables actuelles qui ne sont pas complètement opérationnelles.

Je ne souscrivais pas vraiment au discours « écolo », parfois excessif et entaché d’approximations scientifiques. Mais j’ai depuis quelques années, entendu des propos beaucoup plus posés et responsables. Tandis que d’un autre côté, les autorités officielles continuent de mentir et de minimiser. Et puis je me suis dit que si Green*peace et la CRI*IRAD n’avaient pas raison sur toute la ligne, ils avaient quelques raisons de tirer la sonnette d’alarme. Mais pour moi, cela n’allait pas plus loin.

Et puis il y a eu ce séisme, ce tsunami au Japon. Et les Japonais ne sont pas les êtres les plus idiots de la planète et pourtant la situation, certes exceptionnelle, leur a échappé. Et c’est une nouvelle catastrophe épouvantable. Le Japon est irrémédiablement souillé. Là-bas aussi, la libéralisation et la recherche du profit ne sont peut-être pas totalement étrangères à ce qui est arrivé. Et malheureusement, c’est loin d’être terminé…

Il est rare que l’actualité ait une telle influence sur moi. Mais cette fois, elle a opéré un basculement, même si ce dernier était latent depuis un bon moment. De sceptique, me voilà devenu un opposant aux centrales nucléaires. Sortir du nucléaire me semble irrémédiablement la meilleure solution pour limiter un des risques d’extinction de plusieurs pans de la biodiversité et de l’humanité.

20 mars 2011

La colère part en bulles

Après le retour de notre voyage voiturer il y a quinze jours, j’ai été pris dans un tourbillon au boulot. Un nouveau record du nombre de courriers électroniques à traiter. Parmi ces derniers, l’émergence d’un nouveau concept : après les urgences, les urgences « flash » qu’on me demandait alors que j’étais en vacances et prié de traiter toute affaire cessante en rentrant. Evidemment, ce n’est pas quelque chose que mes supérieurs me réclament ni même un commanditaire, non juste notre fédération. Bon, je m’y suis plié… Et puis il y a eu le coup de nos collègues Anglais du Kent. Cela a été un cirque pas possible. Comme tout projet européen d’envergure, nos comptes doivent être certifiés, ce qui a été fait en temps et en heure. Mais le contrôleur anglais voulait contrôler le contrôle, ce qui nous a donné un boulot monstrueux non prévu (pas tellement à moi, mais à notre comptable, alors qu’il est déjà surchargé). Un peu comme si un médecin faisait une ordonnance au patient et que pharmacien ne voulait pas délivrer les médicaments sans avoir examiné le patient.

En terme de contrôle, j’ai dû me mettre sur un poste de SIG (système d’information géographique) pour regarder la qualité du travail du prestataire de la Région. Après avoir eu pas mal de difficultés avant de trouver un ordinateur et un logiciel en ordre de bataille, je n’ai cessé de rouspéter, ronchonner, me scandaliser devant le peu de rigueur du travail effectué. On ne demande pas aux gens d’être des spécialistes de la végétation régionale, mais je me suis aperçu avec amertume que des choses évidentes ne le sont pas pour tout le monde. Bref, j’ai pu constater un certain manque de culture générale en écologie, culture qui aurait dû être maîtrisée. Et pourtant, je n’ai jamais été consulté pour que je donne mon avis ou les orientations dans la façon d’interpréter les végétations. Une certaine colère, donc, que j’ai dû néanmoins contenir lors de notre réunion de validation de vendredi (une réunion où j’avais prévenu tout le monde que je ne validerai rien). Inutile de dire que je n’ai pas fini de passer pour l’emmerdeur de service. Mais cela suffit aussi de voir écrire et d’entendre dire qu’ils sont les meilleurs et les plus jolis et de nous servir un travail qui n’est qu’un vulgaire brouillon.

En parlant de brouillon, cela me rappelle qu’avant les vacances, j’avais reçu un message d’un type qui se dit travailler pour un organisme que je connais et qui dit qu’il a synthétisé mon travail et que je dois le relire, le contrôler et qu’il ne faut pas que je tienne trop compte de la forme. Une véritable ineptie : le type en à peine plus d’une page a réécrit un résumé de mon intervention dans un colloque (alors que j’en avais déjà rédigé deux auparavant). Et évidemment, ce nouveau résumé très mauvais sur le fond et la forme, voire limite pas français. De plus, vue la suffisance du message du type, je ne lui ai pas répondu et s’il ose me relancer, je vais l’envoyer balader comme rarement je l’ai fait jusqu’à présent. Je précise que le type en question n’avait qu’à copier/coller un de mes résumés et de le reformuler pour y ajouter deux-trois trucs que j’avais mis dans ma présentation (qui n’avait rien d’obscur ou d’hermétique).

 

Bon, on pourrait penser que je suis en colère en ce dimanche soir. Mais non, ce n’est pas le cas. Mardi, c’était l’anniversaire fromfromien qui a va avoir désormais un nombre de printemps alti-ligérien. Ce n’est que ce soir que nous avons débouché une bouteille de bulles (l’autre jour, on avait été presque plus raisonnables). Vous savez quoi ? Je l’aime ma Fromfrom !

 

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Quelques jonquilles égayent l’intérieur.

 

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Mais à l’extérieur, les jonquilles sauvages éduennes ont répondu présent après leur deuxième année de plantation (l’an dernier, c’était décevant).

 

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13 mars 2011

Sourions quand même

Je n’ai pas envie de succomber à la peur ou à la morosité, notamment après les catastrophes au Japon. La femme d’un de mes cousins est japonaise. Après avoir vécu quelques années au Japon, ils vivent en France, mais elle a encore de la famille et des amis là-bas dont elle n’a pas de nouvelles de l’ensemble…

Cet après-midi, nous sommes allés voir le dernier film de Dan*y Bo*on. Je pense qu’on en avait moins parlé que le précédent et je n’avais pas regardé les bandes-annonces ni écouté ou lu les critiques. Nous sommes peut-être bon public, mais nous avons bien aimé, bien plus que je ne l’imaginais.

C’est bientôt la fin de saison pour les crocus (ce ne sont pas des tulipes, Lancelot).

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Et puis une photo de notre nouvelle voiture puisqu’on en a parlé. Nul doute qu’elle aussi appartient à la famille des Félidés.

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10 mars 2011

Voyage voiturier (3 et fin)

Sauf de très très loin, je n’avais jusque là jamais vu la haute montagne en hiver. Alors que nous nous trouverions en terres rhodano-ligériennes, j’ai donc eu l’idée que nous pourrions nous rendre dans les Alpes si le temps s’y prêtait. Le jeudi semblait être un jour idéal pour cela. Le même temps était prévu pour le vendredi, mais nous préférions le garder en réserve au cas où nous ferions une visite à ma tante ou à mon oncle. Au départ, j’avais imaginé aller jusqu’à Annecy et son lac, mais je m’étais dit que là-bas, la montagne ne serait pas assez haute à mon goût. Je suis passé deux fois à Annecy : la première fois avec mes parents, l’année où j’étais en terminale et la seconde fois lorsque j’étais allé signer un contrat de travail dans un bureau d’études d’Annecy-le-Vieux (alors que mon travail effectif était basé à Orléans. Cette fois-ci, je n’avais fait que passer en coup de vent. Avec le recul, je me dis que j’ai bien fait de ne pas me contenter d’aller à Annecy car quand nous y sommes passés dans la matinée, la nébulosité y était encore très forte.

J’avais en fait décidé (mais personne n’avait émis le moindre désaccord) que nous irions à Chamonix où personne n’avait mis les pieds jusqu’à présent. Mes parents étaient intéressés de nous y accompagner. Sur le chemin du mont Blanc, une pause pipi le long de l’autoroute nous autorise à voir enfin quelques sommets enneigés.

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La situation n’est pas brillante, mais lorsque nous arrivons aux abords de Chamonix, il y a du mieux.

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Finalement, alors que nous cherchons de quoi manger et à se renseigner pour embarquer dans le téléphérique de l’Aguille du Midi. Le prix du billet est affreusement cher, mais comme nous étions venu jusqu’ici, ça valait quand même le coup d’y aller. Le ciel est bien dégagé.

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Pour faire au plus vite, nous nous rendons dans une curieuse et sympathique pizzeria sans prétention (il est à peine midi). Nous mangeons une pizza de taille « normale », mais la taille « normale » est déjà gigantesque et surtout la garniture y était surabondante. Du coup, nous avons tous calé en cours de route (et pourtant, on n’est pas du genre à se laisser faire si facilement). Nous retournons à la caisse du téléphérique, et là on nous annonce que le temps est couvert là-haut et qu’on ne verra rien (et sous entendu qu’il est inutile d’y monter). Grosse déception car moins d’une heure avant, tout allait bien. Nous décidons donc de rentrer par Albertville puis Chambéry. Entre les deux, nous sommes passés par plusieurs stations de sport d’hiver et en particulier par le col des Saisies qui monte jusqu’à plus de 1600 m d’altitude. Autres déceptions : il n’y avait pas beaucoup de neige, ce qui est d’ailleurs assez inquiétant et l’urbanisation larvée et continue un peu partout.

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En redescendant sur Albertville, pause fromage à Beaufort. A la cave coopérative, nous avons trouvé une excellente tomme et bien sûr du Beaufort d’été. A noter que ce fromage est plutôt cher par chez nous alors que là-bas il serait presque bon marché (on constate rarement de telles différences de prix).

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Nous concluons par un verre dans le centre de Chambéry, nous sans avoir salué les quatre Cents Sans culs.

8 mars 2011

Voyage voiturier (2)

Depuis maintenant plus de 15 jours, un de mes deux oncles est à l’hôpital et en mauvaise posture, suite à une infection née dans la vésicule biliaire. Alors qu’on le croyait sorti d’affaire, il a fait une rechute. Avec mes parents, on pensait aller le voir à l’hôpital pendant notre séjour rhodano-ligérien, mais les examens et le fait qu’il ait été balloté dans divers services à l’hôpital ne nous ont pas permis cette « fantaisie ». Il faut qu’il soit opéré, mais son état général ne permet pas d’intervenir. Aux dernières nouvelles, cela va mieux, mais son état reste extrêmement précaire. Je trouve cela un peu inquiétant car il a le même âge que mes parents et que l’on voit que la santé se dégrade vite. Il faut dire qu’en plus, depuis des années, il ne peut se débrouiller seul car il est complètement aveugle (processus inéluctable initié il y a plus de 35 ans) et ma tante est obligé de l’assister en permanence, et ce depuis des années. Mon oncle est pourtant une personnalité très agréable et a toujours été friand de plaisanteries très bon enfant qu’il fait à tout le monde, y compris aux personnes qu’il ne verra qu’une fois quelques minutes dans sa vie (une commerçante, une serveuse…).

 

Le lundi, mon autre tante (la sœur de ma mère), entrait à l’hôpital pour être opérée le mardi matin. Une opération sérieuse puisqu’il s’agit d’aller retirer un kyste situé quelque part entre les nerfs optique et l’hypophyse, dans la boîte crânienne, donc. Un kyste qui risque à moyen terme de la rendre aveugle. Le chirurgien intervenait par les voies naturelles, autrement dit via le nez et les sinus. Mardi en début d’après-midi, aucune nouvelle auprès de mon oncle. En fin d’après-midi, en revenant d’un essai de voiture, nous passons chez mon oncle qui nous apprend que l’opération a échoué : en passant par les sinus (semble-t-il assez tourmentés du point de vue géométrique), le chirurgien a touché une artère (branche de la carotide) et provoqué une hémorragie, l’empêchant de faire le travail et qu’au lieu de cela, il a fallu colmater les fuites. Ma tante a donc été prolongée dans son sommeil et y voit encore moins bien qu’avant. Inutile de dire ce qu’elle a dû ressentir à son réveil quand on lui a annoncé la nouvelle qu’on n’avait rien fait et qu’il faudrait recommencer et sans doute avec des techniques plus invasives et traumatisantes. Ma belle-mère avait dû subir un fait un peu analogue quand après son opération de 2007, on lui avait annoncé qu’on ne lui avait pas posé de prothèse car son genou était en trop mauvais état et qu’on s’était contenté de rafistoler en attendant son opération intervenue début 2010. Donc, nous n’avons pas pu voir non plus ma tante : elle est couchée en permanence, elle avait un drain du liquide céphalo-rachidien et aux dernières nouvelles, elle a une partie du crâne fissuré. Curieux, mais cela l’oblige à rester allonger, y compris pour se nourrir, ce qui ne lui permet pas vraiment de reprendre des forces. J’imagine néanmoins qu’elle devrait finir par s’en remettre. Le plus tôt sera le mieux.

 

Voici pour les mauvaises nouvelles, néanmoins tempérées d’un certain optimisme.

7 mars 2011

Bugnes 2011

La première fournée 2011 avait été anticipée pour que la duchesse mère de Bretagne en profite lors de son séjour. Mais comme demain, c’est Mardi gras pour de vrai, il fallait bien une seconde fournée. Je précise que nous n’allons pas manger tout cela à deux, nos collègues respectifs vont largement nous aider. Voilà deux ans que nos lecteurs étaient épargnés par les bugnes, c’en était trop. Si vous avez oublié la recette, elle est consultable ici : résultat garanti !

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6 mars 2011

Voyage voiturier (1)

Lundi, le voyage aller en train s’est bien déroulé et nous sommes arrivés à l’heure en milieu d’après-midi. A peine débarqués, mes parents nous ont emmenés chercher notre nouvelle voiture (il était prévu que nous n’y allions que le lendemain, mais les plans venaient d’être changés). Nous débarquons dans un petit garage de campagne. On est en train de faire les derniers préparatifs à la voiture. A peine arrivés, le jeune patron me tend un téléphone pour appeler notre assurance. Je suis presque gêné, mais rapidement je comprends que nous sommes ici dans un contexte familial. J’ai enfin la dame l’assurance au bout du fil et la voiture est assurée dans la foulée. Le temps de payer, de discuter un peu et Fromfrom prend le volant pour le premier essai de l’engin. La voiture est plus récente d’un mois et a parcouru 1000 km de moins que ce qui avait été annoncé. En fait, la voiture vient d’Espagne via un groupement d’achat et sur le parking bordelais où elle était entreposée, il y en avait deux similaires. En revanche, nous n’avons pas encore l’immatriculation définitive ni tous les papiers. Nous avons rapidement pris en main le nouveau carrosse et nous sommes très contents de notre acquisition. Elle est moins puissante de 20 chevaux que notre ancienne, mais on ne s’en rend pas trop compte car le moteur est d’une grande souplesse, beaucoup plus silencieux et cerises sur le gâteau, moins gourmand en carburant et l’assurance est significativement moins chère.

 

Bon voilà pour les bonnes nouvelles. En attendant la suite, voici un extrait de ce que j’avais promis.

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