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Cornus rex-populi
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31 mars 2012

Louvre (8)

Au Louvre, certaines cours intérieures ont été couvertes d’un toi de verre et ont été transformées en salles où sont exposées des sculptures. Il en va ainsi pour la cour Marly, avec des sculptures des XVII-XVIIIe siècles essentiellement.

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« Attends que je t’enfourche »

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« T’as pas intérêt à me mordre, sinon je te fais avaler ma canette de Coca »

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« Silence, j’entends une voix de garage »

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« Je te l’avais bien dit que je t’attraperai »

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« C’est pas un minuscule serpent de ton espèce qui va me faire peur »

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« Nous les chevaliers de la Table carrée… »

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Nous avons regagné l’intérieur pour découvrir d’autres sculptures (c’était la fin de la seconde journée, Fromfrom était hallali debout).

« Je vais te dire un secret »

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« Je suis épuisée »

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« Je suis une lumière (une étoile au Michelin) »

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« Le ciel se couvre. Vite, couvrons-nous »

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« J’ai vraiment pas envie de rire »

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« Ben oui, j’ai eu la petite vérole »

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« Zadig et moi ? »

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« Le roseau, ça plie mieux que le chêne »

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« Je ne soufflerai mot au lierre »

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« Ô rage, ô désespoir »

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« C’est un scandale, Rodin a mis son Penseur dans une position plus confortable que la mienne. Ça va encore durer combien de temps comme ça ? »

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« Ça te chatouille ou ça te gratouille ? »

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Bien sûr, il y a eu aussi les sculptures médiévales, même si je m’attendais à en voir davantage.

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Le fameux gisant de Philippe Pot, chambellan des ducs de Bourgogne dont j’avais parlé à l’occasion des images du château de La Rochepot et la copie de l’œuvre visible au château de Châteauneuf-en-Auxois dont je n’avais pas parlé mais qui m’avait tapé dans l’œil. L’original me paraît plus grand et surtout disposé différemment.

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Celui-ci a une tête très autunoise.

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Quelques bas-reliefs aux vives couleurs.

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26 mars 2012

Louvre (7)

J’avais promis une seconde séance de peintures. La voici donc. Celles-ci ont été découvertes le second jour, dont certaines n’étaient pas éloignées de la Joconde. Laplumequivole reconnaîtra le portrait de Léonard qu’elle avait montré, même si hélas, le résultat est très décevant. On déduira aussi ce que l’on veut de ma fausse admiration napoléonienne.

Sinon, j'en ai profité pour élargir la partie texte du blog et agrandir les photos et accessoirement changer la bannière.

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Voilà pour ce qui était de la peinture, ou presque.

23 mars 2012

Louvre (6)

Le premier jour, nous avons vu une première série de peintures de manière un peu décousue. Les œuvres aperçues vont de la fin de l’époque médiévale jusqu’au XIXe siècle, sans grande cohérence. Nous avons vu beaucoup de choses. J’ai pris des photos sur ce qui me semblait jouable à prendre, mais les résultats ont souvent été décevants. Néanmoins, voici après recadrage et application d’un filtre automatique simple, le résultat que l’on peut obtenir. Les photos sont dans le même ordre que celui de notre découverte. Je connais les titres et les auteurs de quelques unes de ces œuvres, mais je n’ai pas envie d’en dire plus et ce n’est pas ce qui m’intéresse. Outre les problèmes techniques, j’ai retenu celles-là parce qu’elles me plaisaient in situ (pas toujours dans le résultat de la photo, hélas) ou parce que je les connaissais ou encore parce qu’elles possédaient une quelconque curiosité à mes yeux.

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Il y aura une deuxième série de peintures (celles vues le second jour) que je montrerai plus tard.

20 mars 2012

Louvre (5)

Fromfrom tenait absolument que je puisse voir la Joconde, alors même que ce n’est certainement pas la raison pour laquelle j’étais venu au Louvre. Car visiblement, le visiteur lambda du Louvre doit aller admirer la Joconde. Alors, nous y sommes quand même allés dès l’ouverture du second jour. Contrairement à ce que Fromfrom pensait et contrairement à elle quand elle l’avait découvert, je n’ai pas été surpris par la taille du tableau. C’est bien à ça que je m’attendais. Et franchement, l’ensemble n’a vraiment aucun intérêt en dehors de la célébrité et de la curiosité suscitée. Le tableau est seul sur un mur au milieu de la pièce, enchâssé dans une sorte de coffre fort de verre probablement climatisé et à l’épreuve des mauvaises longueurs d’onde, voire des balles. Donc, malgré le probable traitement antireflet de la vitre, pas facile de prendre la belle en photo, d’autant que de surcroît, on n’approche pas à moins de 3 mètres au plus près, tout en étant surveillé par au moins deux gardiennes. Et bien sûr, il y avait plein de monde et une envie de fuir. Voici néanmoins ce que cela donne. La première photo est en plan large et non retouchée, la seconde en plan plus resserré et traitée avec un filtre automatique.

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Plus généralement, j’ai pu constater que certains tableaux sont vraiment davantage observés, plus longuement, et photographiés, alors que d’autres, pas forcément moins célèbres, paraissent presque ignorés (phénomènes de mode ?). Les premiers ne sont pas photographiables tant il y a du monde devant. On peut donc profiter plus facilement des autres.

19 mars 2012

19 mars 1962

Le 19 mars 1962, mon père tient à cette date du cesser le feu en Algérie. Une date revendiquée pour la commémoration par les anciens combattants en Afrique du Nord, au moins par les associations les plus classées à gauche (j’ignore pour les autres). Je dis cela car je sais que les dirigeants de notre pays ont souvent voulu retenir une ou plusieurs autres dates pour la mémoire. Je suis donc presque surpris qu’on en ait autant parlé cette année à cette date, même si cela fait tout juste 50 ans. On remarquera néanmoins que les célébrations officielles de la part de l’État ont été bien discrètes, pour ne pas dire inexistantes. Cela en dit long sur ce que les gouvernants de gauche ou de droite n’assument toujours pas ces « événements ». Ils n’assument pas les abandons, les crimes. Certes, ce ne sont pas les héritiers actuels ou les prétendants au trône qui étaient aux commandes à l’époque, mais c’est toujours révélateur du malaise profond qui subsiste et que l’on ne veut pas regarder en face. Evidemment, certains, sans doute nombreux, ont une grande facilité à oublier ce qui dérange, mais beaucoup d’acteurs de l’époque n’ont pas oublié.

Mon père était dans l’armée de l’air, armurier sur une base aérienne près d’Oran pendant près de 2,5 ans entre 1956 et 1958. Cette position était presque privilégiée car il a été très peu directement confronté ou même pas du tout aux combattants du camp adverse. Il a juste été mobilisé à de nombreuses reprises pour faire des opérations de maintien de l’ordre en ville, notamment après des attentats à la bombe ou autres. Il a rasé les murs à quelques reprises. Il a « échappé » à un attentat qui aurait pu lui coûter la vie s’il était resté (beaucoup trop longtemps) à un endroit donné. Il a écrasé les doigts de pieds des hommes et des femmes à coup de crosse parce qu’ils ne voulaient pas dégager de la rue. Il a ouï dire que des poseurs de bombes avaient été interrogés de façon musclée par des sous-officiers ou des officiers engagés, mais n’a jamais été le témoin direct de tels agissements. Il ne voyait pas forcément d’un mauvais œil ses « interrogatoires musclés », parce que c’était la seule façon d’éviter que ses copains se fassent tuer dans un attentat. Mon père est agacé, selon lui, par les trop nombreux témoignages qui font état de la torture *. Soit il a tendance à penser que ce qu’il a « cotoyé » n’en était pas, soit il a été pour ainsi dire quelque peu épargné, compte tenu de l’arme et de l’endroit où il était affecté. Mais il a aussi discuté au fil des décennies avec ses nombreux congénères (collègues d’usine, amis), et rien ne montre que la torture ait été une pratique courante et généralisée en Algérie. Bien sûr, je crois mon père, mais je ne doute pas aussi que beaucoup aient occulté.

Mon père n’a pas tué directement, mais sans doute beaucoup de façon indirecte. Il a monté des tonnes de bombes dans des avions. Des bombes conventionnelles, des bombes à fragmentation (ces machins terribles pas fiables à sous munitions qui ne pètent pas forcément dans le sable et qui ont encore été utilisés par les Américains en Irak et qui pètent après au passage des bergers), des bombes à fléchettes (de redoutables pointes qui tombent du ciel pour décimer les troupeaux pour affamer les rebelles planqués dans le désert et les montagnes, et que l’on utilise aussi sur les hommes, il n’y a pas de raison) et peut-être des bombes plus « chimiques » comme le napalm, mais mon père certifie qu’il ne pouvait pas forcément faire la différence avec d’autres plus conventionnelles. Là aussi, il est agacé d’avoir entendu, à de multiples reprises, des témoignages faisant état de l’emploi massif de napalm. Lui, n’a aucune forme de certitude par rapport à sa base aérienne et il se peut tout bêtement qu’aucune bombe de la sorte ait été utilisée à ce moment là. Certaines bombes conventionnelles n’explosaient pas dans le sable (elles ne percutaient pas) et les Algériens du camp adverse les faisaient resservir dans des attentats contre les soldats ou plus généralement les civils français ou pieds noirs en général. Il a donc participé à piéger des bombes qui étaient larguées et n’explosaient pas à dessein et explosaient donc plus tard à la figure de ceux qui voulaient les réutiliser.

Fin 1958, le FLN était à genoux. Bien sûr que la guerre n’était pas gagnée et qu’elle ne le serait pas dans ces conditions. Mon père, compte tenu de son engagement politique n’a jamais été pour l’Algérie française, mais il a entendu les discours politiques et les trahisons, qu’elles viennent de droite ou de gauche. Mitterrand y a pris toute sa part d’horreur, pleinement assumée comme ministre de la justice à l’époque de la IVe république, faisant parfaitement fonctionner la « bascule à charlot », ce qu’il regrettera peut-être en prônant l’abolition en 1981 ? C’est sans doute en partie à cause de cela que mon père n’a jamais été déçu par Mitterrand, parce qu’il savait qu’il trahirait. Le cynisme meurtrier a souvent gouverné pendant la guerre. L’abandon des harkis par De Gaulle et sa clique n’en est pas l’exemple le moins épouvantable. Sans doute des centaines de milliers de personnes exécutées. Mon père n’a jamais été gaulliste, mais cet irréparable crime, comment peut-il l’oublier ? Et comment se dire gaulliste en occultant ça ?

Mon père n’a pas un très bon a priori – c’est le moins que l’on puisse dire – vis-à-vis pieds noirs car là-bas, il s’est fait traité de sale français. En revenant en France, certains postes importants dans les usines ont été donnés à des pieds noirs. A côté de ça, il n’a guère apprécié que des immigrés italiens (notamment) aient eu de l’avancement à l’usine pendant que sa génération combattait en Afrique du Nord et aient attendu que la guerre d’Algérie soit terminée pour se faire naturaliser, échappant ainsi à la guerre, au service militaire et bénéficiant de meilleurs postes. Et cerise sur le gâteau, mon père a dû subir un procès dans les années 1960-70 avec un pied noir nanti qui voulait annexer ses terres après avoir trafiqué avec un autre pied noir du cadastre.

En définitive, même si cela s’est un peu apaisé ces dernières années, mon père est toujours à vif pour tout ce qui concerne l’Algérie, même si par ailleurs, il garde la nostalgie des paysages. Il a été profondément marqué. En revenant d’Algérie, comme ses congénères, il était très remonté et n’avait peur de rien. C’est sans doute ce qui a expliqué en partie les avancées syndicales significatives dans les usines à cette période. Si mon père, à coup sûr n’a pas fait partie de ceux qui ont le plus souffert en Algérie, il n’en est certainement pas sorti indemne, comme ses près de 1,5 million de congénères appelés du contingent, dont 30 000 y sont restés, faut-il le rappeler.

Voilà, rien de très exaltant, juste un forme très imparfaite de témoignage par procuration.

*N.B. : par rapport à la torture, rappelons qu’elle était complètement taboue, couverte, cachée et niée jusqu’au plus haut sommet de l’État. La haine de l’ennemi avait été peu à peu et savamment diffusée dans les rangs des soldats français. Une vaste manipulation qui pose beaucoup de questions et qui fait très peur. La très grande majorité des anciens combattants en Algérie sont pourtant des hommes comme les autres. Ils ne tolèrent pas plus que les autres la torture ou les tueries. Ils ont vécu les horreurs de la guerre. La très grande majorité des anciens combattants en Algérie sont globalement pacifistes et non interventionnistes dans les conflits de notre temps.

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18 mars 2012

Louvre (4)

Les antiquités grecques, étrusques et romaines ont été découvertes en deux fois sur les deux jours.

Pour commencer, un flou mais je n’ai pas mieux pour les œuvres considérées (période grecque « archaïque »), dont le style, facilement reconnaissable, a pourtant a ensuite été abandonné aux périodes « classiques » dont Praxitèle peut être considéré comme la tête de pont.

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L’incontournable Victoire de Samothrace. Remarquons qu’il a fallu un petit miracle pour que les photos ne soient pas « polluées » par des visiteurs.

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Deux œuvres qui n’ont aucun lien, mais présentent néanmoins le même type de cheval « à plusieurs places ».

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La très connue Vénus qui n’a pas été découverte par José Bové lors des fouilles du viaduc de Millau. Pour elle aussi, il a fallu ruser pour la photographier.

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Puis d’autres œuvres de la période grecque « classique praxitèlienne » ou romaine.

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Bien que j’en connaissais l’existence, je me suis laissé prendre par l’Hermaphrodite, vue d’abord de dos.

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Les œuvres exposées dans la salle du Manège ne sont pas complètement antiques, puisqu’elles ont pu être restaurées, « reconstruites » ou carrément refaites a posteriori. On n’est pas toujours très sûr que les résultats finaux sont très fidèles aux sculptures d’origine, mais cela me convient ainsi, du moment où on n’essaye pas de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

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On ne dira pas que Fromfrom a la grosse tête.

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« Ouf, mon kiki est encore là »

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« T’as pas intérêt à me chiper ma baballe »

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Retour à des originaux.

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« Aïe, mon dos »

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15 mars 2012

Quarante-quatre

Après les Landes, le Loir-et-Cher, la Loire et la Haute-Loire, nous voilà de nouveau en terres armoricaines avec la Loire-Atlantique.

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14 mars 2012

Louvre (3)

Le premier jour, nous avons commencé la visite par les antiquités égyptiennes, qui selon Fromfrom, seraient plus fournies qu’autrefois. Au Louvre, les photos sont autorisées (sans flash) pour les salles d’exposition permanente (interdites pour les expositions temporaires). J’ai donc fait pas mal de photos. J’étais cependant limité dans mon art par les reflets fréquents sur les peintures qui brillent de façon excessive. Et bien sûr, je n’ai pas utilisé de trépied et l’appareil et l’objectif ne sont pas de prime jeunesse (cela ne permet pas de photographier en haute sensibilité comme pour les appareils plus récents). La mission devient quasiment impossible lorsque les peintures sont protégées par une vitre, tout comme les sculptures ou les objets disposés dans des vitrines. Je m’y suis quand même essayé quelquefois lorsque la situation n’était pas trop affreuse. Pour cette série, tout comme pour les suivantes, il ne faut pas attendre de moi des explications, je ne suis pas en mesure de le faire et je n’ai pas envie de me transformer en plateforme virtuelle du musée du Louvre. On ne verra donc là que quelques « bricoles » qui m’ont plu dans l’instant et qui ne ressortaient pas trop mal. On remarquera qu’il y a peu de monde dans certaines salles, ce qui relève quand même du domaine de la chance. Une chance, qui ne se représentera hélas pas toujours.

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13 mars 2012

Louvre (2)

Karagar nous avait montré ses culs chevets généralement épiscopaux. Je vous propose quant à moi trois cathédrales peintes parmi les œuvres présentées et photographiées par votre serviteur au Louvre. Il y a un nombre non négligeable de cathédrales représentées par les peintres, mais je n’ai pris en photo que ces trois car ce ne sont que des édifices français dont je suis sûr qu’ils existent encore. Les deux premières peintures sont du XIXe siècle (la première est donnée). La troisième est nettement plus ancienne puisqu’elle date de la première moitié du XVe siècle. Je ne doute pas des brillantes capacités de mon lectorat.

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11 mars 2012

Louvre (1)

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Lorsque j’étais en 4ème (en 1984), un voyage de trois jours à Paris avait été organisé par des professeurs. Entre autres réjouissances, il y eut le Palais de la découverte, le château de Versailles, une soirée au théâtre Mogador pour voir Cyrano de Bergerac (au dernier rang, j’en garde un très mauvais souvenir). Nous passâmes plusieurs fois devant le Louvre, sans jamais y entrer (la pyramide n’existait pas encore). Plus tard, en mai ou juin 1989, nous fîmes un nouveau déplacement à Paris pour une journée avec une ou deux classes du lycée. Nous passâmes cette fois en bus devant le Louvre, aperçûmes la pyramide tout juste installée et allâmes visiter le musée d’Orsay. Quand je dis visiter, c’est un grand mot, ce ne fut qu’un aperçu par un guide à moitié dingue. De cet aperçu, je garde un excellent souvenir, notamment quelques toiles impressionnistes. Mais de Louvre, toujours point. Jusqu’à présent, je ne me sentais nullement d’attaque pour y aller, m’en faisant inutilement une montagne. Depuis plusieurs années déjà, je voulais que Fromfrom m’y emmène (elle qui y était déjà allé à plusieurs reprises). Eh bien ce fut l’unique objet de notre voyage parisien de vendredi et samedi. Pas une montagne ? Quelque part, si, car j’ignore le nombre de pas que nous avons fait ce deux jours (surtout les piétinements), mais ce fut un calvaire pour les pieds. Pour le reste, c’est-à-dire le principal, ce ne fut qu’d’émerveillements. Des sources d’émerveillement tellement nombreuses qu’on finit par être très vite blasé. L’inconvénient d’un tel musée réside bien en partie par sa taille excessive et par le flux incessant des visiteurs, du moins dans certaines salles. Mais quand on n’habite pas à côté et que l’on ne peut pas se payer un abonnement à l’année, on n’a pas d’autre choix que d’ « avaler » des tonnes d’œuvres en passant au pas de course. Je ne suis pas sûr d’avoir vu toutes les pièces, mais je suis néanmoins très content d’avoir vu tout ça une première fois.

 

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