Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Cornus rex-populi
Archives
24 septembre 2022

Virée ligéro-éduenne (2)

En arrivant au domaine du Dragon terrassé (et la petite région naturelle environnante), nous avons pu constater que la sécheresse était certes bien là, mais il existait encore des prairies avec des brins d’herbe verte, ce qui n’était plus le cas depuis un moment à RDG et ses environs. De plus, en pareille saison, l’étang avait déjà été plus bas. Cependant, après une quinzaine de fortes chaleurs et sans pluie, la situation ne s’est pas améliorée.

Deux photos des quartiers hauts de la ville.

ASG-3

ASG-2

 

Quelques images de coucher de soleil sur l’étang prises différents soirs.

ASG-1

ASG-6

ASG-12

Quelques photos de l’étangs, de plantes sauvages ou domestique.

ASG-4

ASG-7

ASG-8

ASG-5

ASG-9

ASG-10

ASG-11

Publicité
Publicité
11 septembre 2022

Virée ligéro-éduenne (1)

Pour cette seconde séquence de vacances fin juillet, nous partons un peu plus tôt que prévu (le mercredi dans laprès-midi). Nous faisons une escale technique à Langres dans un hôtel déjà fréquenté une fois et dont nous avions une opinion neutre. Hélas cette fois, nous avons décidé d’y diner et là, ce fut d’une incroyable misère : comment peut-on proposer des légumes (notamment des courgettes, tomates haricots verts) aussi mauvais en pareille saison ? Et je ne parle même pas du poisson. Tout était congelé et infect.

Le lendemain midi, nous oublierons la chose pour le repas méridien chez mes parents à RDG.

Le vendredi, plusieurs rendez-vous sont programmés. D’abord, le dépôt de la voiture parentale pour refaire le plein de liquide de climatisation (mon père considère que ce n’est pas vraiment un luxe en pareille saison). Puis, dans la journée, visite en compagnie de mon père des trois EHPAD mutualistes conseillés par la dame du Département qui suit le dossier APA de mes parents. Nous verrons à quoi cela ressemble. C’est très similaire d’un établissement à l’autre (c’est la même maison-mère). Nous verrons des pensionnaires en situation. Dans un des établissements, mon père parlera de « mouroir » à la secrétaire qui nous accueillait. Effectivement, ce n’est pas une partie de plaisir de voir ça, mais je voulais que mon père puisse voir comment cela se passe pour qu’il se rende un peu plus compte. Il en a préféré deux sur les trois, mais plus par rapport aux accès et au cadre. Un des établissements est celui où ma mère avait travaillé entre 1984 et 1995. Toutefois, cela n’a plus rien à voir, car les anciens bâtiments ont été détruits il y a quelques années et refaits à neuf et un peu décalés, de sorte que cela n’est plus du tout reconnaissable. Pour prendre le rendez-vous, j’avais eu au téléphone une personne que ma mère avait connue lors des dernières années de sa carrière alors qu’elle en était à son début. Je me souviens qu’alors que ma mère était peut-être à moins d’un an de sa retraite, elle avait été sidérée de voir rentrer une dame de tout juste 60 ans dans un studio (non médicalisé). Cependant, ces studios correspondaient dans les années 1970-80 au besoin des retraités valides et indépendants, qui sortant de leur campagne ou même en ville, n’avaient pas les moyens physiques ou financiers de faire rénover leur logement pour avoir un minimum de confort « moderne ». Ma mère, si elle avait toute sa tête, vivrait très mal l’idée d’être pensionnaire dans l’établissement où elle a travaillé. Et en même temps, elle pense souvent qu’elle travaille encore. D'ailleurs, la semaine suivante à A., elle nous dira quil fallait qu’on prévienne la directrice, parce qu’elle prolongeait ses vacances (la directrice en question est partie en retraite entre 1995 et 2000). D’où l’idée que pour lui faire admettre en douceur l’idée de rentrer dans un de ces établissements, ce serait de lui dire qu’elle irait pour donner un coup de main au personnel ou un truc du genre. Cela dit, ma mère délire désormais presque en permanence. Cela n’a rien de dangereux, mais cela reste surprenant. Il faut garder la tête froide.

Le samedi, nous préparons la voiture et les bagages de mes parents qui viendront à A. le mardi (car le lundi, rendez-vous à l’hôpital prévu depuis longtemps pour ma mère). Mon père, 86 ans, se débrouille encore très bien au volant. Le soir, nous gagnons A. Là-bas, les nuits seront plus fraiches. Les deux semaines qui ont suivi ont été chaudes, mais quand même supportables. Honnêtement, j’ai connu pire. Idem pour la sécheresse (je parle d’A., pas de la Bourgogne en général). Cependant, durant les deux bonnes semaines, nous ne ferons pas beaucoup de sorties à cause de la chaleur et du besoin de se reposer… Au rayon travail, il y eut quand même des tontes, tailles, débroussaillages, la réparation du toit de « l’abribus » autrement dit de la réserve de bois prêt à brûler et le remplissage de cette dernière grâce au voisin qui a une scie extra montée sur la prise de force du tracteur et qui évacue les bûches via un convoyeur à bande. C'est agréable de travailler avec du matériel performant car tout le a été fait en à peine deux heures là où plus d’une journée aurait été nécessaire avec notre scie.

10 septembre 2022

Brèves cornusiennes du samedi 10 septembre 2022

Fin juillet, j’avais rédigé une lettre au président de Région pour lui demander de ne pas baisser notre subvention. La présidente l’avait signée sans en changer une virgule. Elle a quand même une autre envergure par rapport à l’ancienne présidente, qui ne l’aurait sûrement pas signée sans en vider la substance. Et mardi, on a su que notre subvention devrait être maintenue. Je ne sais pas quel si la lettre a fait beaucoup d’effet, mais visiblement, cela a joué.


Samedi dernier, mon directeur de thèse (83 ans) m’a téléphoné. Cela faisait un moment que je n’avais pas de nouvelles. Il s’occupe d’une association qui permet de faire des balades en bateaux traditionnels sur la Loire à Tours et ses environs. Dans le cadre de je ne sais plus quelle manifestation qui prévoit de faire un marché flottant de bateaux sur la Loire à Tours, il souhaiterait qu’il y ait une sorte de librairie où seraient notamment présentées les thèses qui ont été rédigées depuis 25 ans sur la Loire, et en particulier la mienne.


Jeudi matin, je pars à ma réunion dans l’Avesnois consacrée à la forêt. Je ne pensais pas être autant coincé sur l’autoroute à l’ouest de Lille (alors que je dois aller à l’est). Je serai donc en retard et j’ai prévenu. Le rendez-vous est prévu dans une maison forestière, mais l’adresse indiquée est imprécise et sur place rien n’est indiqué (dans de telles circonstance, je peste car j’estime que les organisateurs devraient donner les coordonnées géographiques ou mettre un plan). Arrivé à peu près sur place, je remarque une grande maison (nous sommes à la campagne en lisière de forêt), et j’imagine que cela pourrait être là puisque je vois un parking avec 6-7 voitures. Je me gare et je remarque de loin une dame qui me fait signe de venir. Je me dis que je suis au bon endroit et que l’on m’appelle pour m’indiquer la position exacte de la salle de réunion. Mais non, en m’approchant, je me rends compte que la dame est beaucoup plus âgée que prévu et se trouve assise sur le pas de la porte, pieds nus (et ongles façon serres s’aigle en deuil). Et je pense qu’elle a dû tomber et qu’elle n’arrive pas à se relever. Elle tient des propos pas très cohérents. Je ne suis pas surpris, je pense bien entendu à ma mère en dehors des ongles. Je la relève du sol. J’ai pu la relever en la prenant sous les bras, mais de face puisqu’elle avait la porte dans le dos (avec ma mère, je la relève en me positionnant dans son dos). Cependant, j’ai l’impression qu’elle a du mal à tenir debout. Alors comme elle veut entrer, tout en la retenant d’un côté, j’ouvre la porte d’entrée, moment où descend une jeune femme (qui est-elle par rapport à la dame ?). Je lui dis que j’ai relevé la vieille dame et elle me répond qu’elle n’a rien entendu car elle était sous la douche. Admettons. Puis, une seconde après, arrive une ambulance de pompiers. Qui les a appelés, il n’y a personne dans les parages ? C’est très étrange, je me sens dans une bulle de l’espace-temps ! Avant de repartir, j’indique aux pompiers, que j’ai trouvé la dame par terre (qui a encore à peine franchi la porte d’entrée) et que je me suis juste trouvé là par hasard… Cela a été un événement très curieux car dans cet ensemble de 20 logements (j’ai su le nombre après), il y avait bien au moins 6-7 voitures et certainement beaucoup plus de personnes présentes à proximité immédiate. Et personne pour relever la vieille dame ? Mais quelqu’un avait bien appelé les pompiers mais qui n’était pas réellement sur place. Le fait d’appeler les pompiers était peut-être nécessaire, mais la dame n’était pas évanouie et ne présentait pas de signes graves de chute. Alors pourquoi ne pas la relever, la faire s’asseoir, en attendant l’arrivée des pompiers ? Bizarre… Mais peu importe, maintenant il y avait du monde des gens compétents qui pouvait gérer la chose. Et « ma » maison forestière était juste de l’autre côté du carrefour.


Lundi, les travaux sur le toit ont enfin commencé. Résultat des travaux lundi et mardi soir. Mercredi et jeudi, travaux dans le grenier pour rajouter par-dessous des poutres car trop de portée entre celles qui sont déjà en place.

36-1

36-2

9 septembre 2022

Changement

Pendant les 70 ans passés : God save the Queen amann

À présent : God save the King ha farz

4 septembre 2022

Hécatombe en cours

Une petite note pour rediffuser des images (améliorées) de notre virée aux Sept îles au large de Perros-Guirec le 24 mai 2013. J’avais été émerveillé, entre autres, par cette belle colonie de Fou de Bassan. Et Plume nous informe de l’hécatombe encore en cours. Attendons cependant les retours de la communauté scientifique pour se rendre compte de lampleur de la catastrophe.

FB-3

FB-1

FB-7

FB-5

FB-2

FB-6

FB-4

Publicité
Publicité
2 septembre 2022

Virée juillettiste bretonne (6 et fin)

Le vendredi, nous étions invités au restaurant pour l’anniversaire anticipé de la duchesse mère. Un très bon moment. Nous n’étions pas loin de la pointe de Trévignon, alors nous y sommes allés.

PT-1

PT-2

PT-3

PT-4

PT-5

PT-6

PT-7

PT-8

PT-9

Après ça, en rentrant, nous sommes passés à la chapelle Notre-Dame de Trémalo (Pont-Aven), un édifice du XVe s. Découverte pour la première fois en 2006, c’était la quatrième fois que j’y allais (voir ici, ici et ). Fromfrom, elle, y passait très souvent, surtout jeune lorsqu’elle habitait la commune. Pour rappel, la statue du christ a inspiré Gauguin pour ses tableaux Le Christ jaune et Autoportrait au Christ jaune. Mais il y a bien d’autres choses à voir dans cette chapelle.

CT-18

CT-2

CT-3

CT-4

CT-5

CT-6

CT-8

CT-9

CT-10

CT-11

CT-12

CT-13

CT-14

CT-15

CT-16

CT-7

CT-17

CT-1

Publicité
Publicité
Cornus rex-populi
Publicité
Derniers commentaires
Publicité