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Cornus rex-populi
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30 mai 2009

Couleurs printanières (2)

La prairie qui jouxte la maison éduenne présente des communautés végétales souvent d’un grand intérêt sur les plans floristique et phytocénotique. Outre les orchidées de la note précédente, on y rencontre un grand nombre d’espèces, souvent plus de 30 espèces vasculaires pour 50 à 100 m². Voici donc quelques vues de cette prairie (à faire défiler à toute vitesse selon les préceptes KarregWenniens repris par Lancelot).

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Exemple d’inventaire sur une prairie mésophile mésotrophe, combinant fauchage et pâturage, sur 50 m² (par ordre alphabétique) :

Achillea millefolium L. (Achillée millefeuille)

Agrostis capillaris L. (Agrostide capillaire)

Anacamptis morio (L.) Bateman, Pridgeon & Chase (Orchis bouffon)

Anthoxanthum odoratum L. (Flouve odorante)

Campanula glomerata L. (Campanule agglomérée)

Centaurea jacea L. (Centaurée jacée)

Cerastium fontanum subsp. vulgare (Hartman) Greuter & Burdet (Céraiste vulgaire)

Cynosurus cristatus L. (Crételle)

Dactylis glomerata L. (Dactyle aggloméré)

Dactylorhiza viridis (L.) Bateman, Pridgeon & Chase (Orchis grenouille)

Euphorbia flavicoma subsp. verrucosa (Fiori) Pignatti (Euphorbe à têtes jaune d’or)

Euphrasia officinalis L. (Euphraise officinale)

Festuca rubra L. (Fétuque rouge)

Heracleum sphondylium L. (Berce sphondylle)

Holcus lanatus L. (Houlque laineuse)

Knautia arvensis (L.) Coulter (Knautie des champs)

Leontodon taraxacoides (Vill.) Mérat (Thrincie hérissée)

Leucanthemum vulgare Lam. (Marguerite)

Lotus corniculatus L. subsp. corniculatus (Lotier corniculé)

Luzula campestris (Ehrh.) Lej. (Luzule champêtre)

Neotinea ustulata (L.) Bateman, Pridgeon & Chase (Orchis brûlé)

Pimpinella saxifraga L. (Petit boucage)

Plantago lanceolata L. (Plantain lancéolé)

Polygala vulgaris L. (Polygala commun)

Ranunculus bulbosus L. (Renoncule bulbeuse)

Rhinanthus minor L. (Petit rhinanthe)

Rumex acetosa L. (Oseille)

Sanguisorba minor Scop. (Petite pimprenelle)

Stellaria graminea L. (Stellaire graminée)

Tragopogon pratensis L. (Salsifis des prés)

Trifolium dubium Sm. (Trèfle douteux)

Trifolium pratense L. (Trèfle des prés)

Trifolium repens L. (Trèfle blanc)

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28 mai 2009

Couleurs printanières (1)

Nous n’étions pas revenus depuis début novembre. Le mercredi précédent l’Ascension, je me trouvais en réunion à Paris tout près de la tour Montparnasse. C’est la première fois que j’ai pu la visualiser ainsi, d’autant qu’il faisait un franc soleil qui mettait bien en valeur l’édifice. Ce que j’en pense ? Eh bien, je ne la trouve pas moche, mais je trouve néanmoins l’édifice oppressant par son gigantisme (gigantisme tout relatif cependant face à d’autres tours américaines, moyen-orientales ou asiatiques). En sortant de réunion, j’aurais pu prendre quelques photos, mais du fait que l’appareil se trouvait enfouit dans ma lourde valise, je ne voulais pas être une cible d’une nouvelle variété de pickpockets (ou autres brigands urbains) que j’avais croisée le matin.

Je me rendais donc à la gare de Lyon pour attendre S. Le stress ne fit que croître lorsque j’ai appris que son train était bloqué entre Lille et Paris. Elle avait pourtant prévu large, deux heures pour changer de train. Mais le TGV nordiste ayant finalement eu une heure et demi de retard, elle dut piquer un sprint effroyable pour monter dans le train sudiste où je désespérais de la voir arriver. Ce fut moins une. Une heure vingt plus tard, nous arrivions dans notre gare bourguignonne où une douceur subméditerranéenne vint nous accueillir.

Un week-end où nous n’avons pas beaucoup bougé, mais pendant lequel nous avons pu faire le plein de couleurs printanières que S. n’avait encore jamais vues jusque là.

Le lendemain, je devais cueillir quelques fleurs dans la prairie voisine de la maison, dont, luxe exceptionnel, quelques spécimens de celles-ci.

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25 mai 2009

C'est encore la saison des rhodos !

Même si je n’y connais pour ainsi dire rien en comparaison avec le sieur Karagar, ce n’est pas tout à fait d’hier que je me suis mis à admirer les rhododendrons.

Il y a une petite dizaine d’années, j’avais planté, à un an d’intervalle, deux rhododendrons. Le premier, à fleurs rouge sombre carminé venait du supermarché (eh oui !). En le plantant, j’avais été très déçu tant le chevelu racinaire était dense et sans le moindre gramme de terre. J’avais donc dû user d’un stratagème dont je sais maintenant qu’il aurait pu lui être fatal (j’avais assez sauvagement réalisé des entailles au couteau dans le chevelu des radicelles). Mais en définitive, il a bien repris. Le deuxième, c’est celui que je montre ici, acheté en jardinerie et de meilleure qualité. Après avoir subi l’an dernier les effets de lourdes chutes de neige (50 cm), nous l’avons retrouvé cette année dans un état de fleurissement qu’il n’avait jamais atteint. Je précise que toutes ces années dernières, je n’avais pas eu le loisir d’être présent à la floraison. Hélas, pas de photos du premier qui commençait juste son épanouissement.

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20 mai 2009

Pause

Cela faisait longtemps que nous n'avions pas pris un week-end extra muros. Nous serons là ce soir. Bonnes ascensions.

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16 mai 2009

Élève Cornus

Voici quelques temps, mes parents ont retrouvé mes bulletins scolaires trimestriels lorsque que j’étais au collège puis au lycée. Je les ai relus intégralement. Je me suis aperçu que j’avais oublié jusqu’à l’existence de certains enseignants. Encore aujourd’hui, j’ai encore de la peine à penser aux difficultés que j’ai pu avoir dans certaines classes. Des difficultés que j’avais fort mal vécues à l’époque. Parfois, il est drôle de voir à quel point les enseignants peuvent faire des erreurs de diagnostic et interprètent bien mal les résultats bruts. Ayant redoublé à deux reprises (4ème, 1ère), je sais aussi à quel point le caractère des enseignants, leur façon de transmettre ont eu une importance majeure sur mes résultats. Je suis à présent à peu près sûr que j’aurais toujours eu des résultats à peu près corrects si le « courant » (difficile à décrire) était mieux passé à certains moments.

Ci-dessous, je retranscris, sauf mentions contraires, le bulletin du deuxième trimestre de la classe de 4ème A (1983-84) que j’allais redoubler.

Disciplines

Note / 20

Observations

Français

Orth. gr. 6,2

Lect. exp. 9

C.F. 6,7

Résultats médiocres dus à des connaissances de base insuffisantes. Fait des efforts qu’il faut poursuivre.

Mathématiques

9

De la bonne volonté mais a beaucoup de peine pour surmonter ses lacunes.

Anglais

8,1

Insuffisant. Très lent. Très passif.

Histoire - Géographie

10,8

Bon effort à poursuivre mais les résultats manquent de régularité.

Sciences naturelles

15,5

Bon trimestre

Sciences physiques

13,5

Des progrès. Satisfaisant.

Dessin

8,3

En baisse. C’est insuffisant.

Education manuelle et technique

17,5 (1er trim.)

11 (2ème trim.)

1er trim. : Très bien

2ème trim. : Précision gestuelle demandant beaucoup de progrès

Education physique

Des possibilités limitées. De plus, Cornus ne semble pas très décidé à combler ses lacunes.

Allemand

5 (1er trim.)

16 (2ème trim.)

1er trim. : Travail insuffisant pour un début de langue II

2ème trim. (changement d’enseignant) : Bons résultats à l’écrit comme à l’oral, mais élève très lent.

Latin

12

Progrès sensible. C’est bien.

Appréciation du Conseil de classe

1er trim. : De la bonne volonté mais des difficultés subsistent.

2ème trim. : Quelques progrès. Ne vous découragez pas.

3ème trim. : Ensemble bien faible justifiant un redoublement.

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11 mai 2009

Livraison en 25 points

Je succombe à l’exercice. Inutile de dire que tout le monde n'aurait pas pu me demander de me livrer à tel exercice imposé. Ceci dit, KarregWenn, je me vengerai !

1 – Je suis à la fois une personne apte à une certaine retenue, une certaine modestie dans le ton et les propos. Mais, souvent par jeu lorsque les conditions s’y prêtent et si les interlocuteurs sont dans un certain état d’esprit et suffisamment combatifs, je peux rapidement me laisser entraîner dans des joutes verbales péremptoires qui peuvent parfois dériver vers la mauvaise foi caractérisée. Dans de telles circonstances – rares – je peux être amené à vouloir écraser l’autre verbalement et quelques minutes après en rigoler sans la moindre rancœur.

2 – J’aurais voulu être technicien en pisciculture. J’adore les poissons (pas que sur le plan gustatif), avec un faible plus prononcé pour les Salmonidés (Truites, Saumons, Ombles, Ombre commun…).

3 – J’aime l’eau, les plans d’eau, les cours d’eau. J’ai fini par en faire mon métier, avant même que la botanique me tombe dessus presque malgré moi. J’ai concilié les deux dans le cadre de ma thèse.

4 – Je n’aime pas les grandes plages de sable, sauf si elles sont végétalisées et en bord de Loire.

5 – Je n’aime pas trop le désordre chez les autres mais je m’en accommode fort bien sur mes bureaux. Parfois, il y a de grandes campagnes de rangement, mais dont les effets ne durent pas.

6 – J’ai vraiment fumé l’équivalent d’une cigarette dans ma vie, mais après en avoir essayé 3-4 sortes ainsi qu’un cigare dont le principal attrait était sa grande boîte métallique dans laquelle j’ai mis mes leurres pour la pêche au brochet.

7 – Je suis devenu très sensible du dos. Il m’est arrivé de vouloir changer de sommier et de matelas de façon urgente.

8 – Je possède toute une panoplie d’expressions ou de formules toutes faites plus ou moins françaises d’origine paternelle.

9 – Je n’ai mis les pieds dans une discothèque ou une boîte de nuit qu’une seule fois et durant moins d’une heure. J’avais 15 ans et j’avais horreur de ça et je crois que cela n’a pas changé depuis.

10 – Je n’ai jamais aimé aucune musique que mes camarades de classe écoutaient. A part quelques « bricoles », je n’y connais rien en musique et cela ne me dérange pas en fin de compte.

11 – J’ai parfois des envies de meurtre vis-à-vis de certaines ordures politiques ou autres.

12 – Mon plus grand bonheur : avoir rencontré ma chère S. et l’avoir épousée.

13 – Mon plus grand succès : la mention à ma thèse de doctorat.

14 – Parmi mes plus grands soulagements : avoir été sélectionné par le jury lors de mon embauche et lors de mon avancement.

15 – Je suis une vraie tête de mule. Je suis capable d’avoir d’abominables colères ou de ne pas accepter les décisions des autres. Et pourtant, mes emportements portent souvent sur des choses qui sont bien dérisoires, mais je ne peux pas m’en empêcher. Dans de tels cas, je suis capable des plus grands excès. A ce titre, je ressemble, dit-on, à mon grand-père maternel.

16 – J’ai beaucoup de mal à exprimer mon mécontentement du travail des autres. Ceci dit, j’y arrive quand même sans que cela provoque de réaction violente dans la plupart des cas.

17 – Il m’est arrivé plein de fois d’avoir de très bonnes idées en allant aux WC.

18 – Je pense au blog quand je prends des photos.

19 – J’aimerais avoir une belle voix grave bien posée, une excellente élocution avec un vocabulaire soutenu.

20 – Des fois dans des réunions avec des élus (voire certains techniciens), j’aurais envie de leur dire leurs incompétence, courte vue, inculture, stupidité et de les claquer et de partir dans un grand fracas.

21 – J’ai horreur que l’on fasse des plaisanteries sur le physique (taille, poids, voix, autre particularité) des gens que je connais. En revanche, dire que Sarko est un nain ne me dérange nullement.

22 – Je n’aime pas les blagues sexistes ou les blagues « grasses » du même tonneau.

23 – En définitive, je ne suis pas trop difficile à vivre.

24 – J’aime à peu près manger de tout, à l’exception notable de la tête de veau.

25 – Je m’adapte à pas mal de choses, même au Bordeaux.

Et moi, parce que je suis bon prince (logique pour un roi), je ne désigne aucune autre victime !

10 mai 2009

Côté salon, côté jardin

Après les travaux, voici ce que ça donne dans l’ensemble salon et salle à manger.

La première photo du salon donne l’impression de petitesse. Et pourtant, la hauteur sous plafond dépasse les 3 m. Le salon est de couleur « abricotier », c’est-à-dire inchangée par rapport aux travaux de septembre. La cheminée n’a pas été modifiée. En revanche, le lustre avait déjà bien vécu et réclamait un remplaçant, choisi par S.

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Côté salle à manger, le blanc des murs laisse la place à un blanc écru. Cela ne frappe pas aux yeux, tout comme certains revêtements muraux qui ont été revisités par nos soins. Le lustre, lui aussi a été changé. Et bien sûr, le clou du spectacle : les rideaux, complètement différents de l’intérieur par rapport à l’extérieur. Ils font l’admiration de toute la ville !

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Côté jardin cette fois. Le potager produit salades et radis, hélas en trop petites quantités, mais je ne vous raconte pas…

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Deux vues d’ensemble : ça commence à ressembler à un jardin.

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Atchoum, lui continue de nous enchanter.

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Les jardinières aussi, même si nous attendons beaucoup mieux de leur part.

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L’Ancolie des Alpes prend de l’ampleur.

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8 mai 2009

Le vélo et moi

Plusieurs récits amis faisant référence à l’usage du vélo me poussent à évoquer l’expérience que j’ai eue avec les vélos et particulièrement d’un accident.

Comme beaucoup de gamins, j’ai eu un vélo assez tôt. Je me souviens que mon premier vélo était de couleur vert-bleu pliant et qui fut équipé au départ de roulettes à l’arrière. Rien de plus banal. Il était de la marque Roger Rivière, un ancien cycliste.

Après, j’ai eu un vélo « mi-course » orange, de marque Saint-Étienne Cycles, autre marque a priori disparue.

Enfin, alors que j’avais 15-16 ans, mes parents m’achetèrent un vrai vélo de course assez haut de gamme de la même marque. Il était bleu ciel et avait un cadre allégé et un pédalier en alliage d’aluminium. Bref, une merveille.

Mes parents voulaient que je profite de l’été pour me perfectionner en natation, notamment au crawl. La piscine, en plein air, se situait à environ 6 km de la maison et c’est avec mon vélo tout neuf que je m’y rendais. Je passais par des petites routes parallèles à l’autoroute et malgré les côtes, je ne mettais pas 107 ans pour arriver (les rendez-vous avec le maître nageur devaient avoir lieu sur le coup de 10h00 ou 10h30).

Cela devait bien faire une petite quinzaine de jours que j’allais faire mes exercices quotidiens (sauf le week-end) et je crois que je commençais à augmenter l’efficacité de ma nage. Je dois néanmoins avouer que je n’aimais pas vraiment cette nage, ni cette nécessité de mettre la tête sous l’eau et de « buller ». Ce jour, au retour à la maison, je devais être bien fatigué par la séance. Au détour d’un virage, à peine le temps de réaliser, je me retrouve à heurter de plein fouet et de front une voiture, contre le pare-choc et le pare-brise. J’ai volé par dessus la voiture et j’ai fait un roulé-boulé à l’arrière. Ni une ni deux, je suis encore en vie, alors je me mets à courir comme un dératé, sans doute aussi pour conjurer la douleur qui n’est pas encore vraiment arrivée. La conductrice, une jeune magrébine sort de l’hôpital (elle a un pansement au pied). Me voyant courir et ne comprenant pas tout, elle est persuadée que je tentais de fuir. Elle, n’est préoccupée que par le fait que sa voiture est abîmée : mon tibia cabossé son pare-chocs et mon front a fait voler en éclat son pare-brise. Alors qu’elle me ramène chez moi, elle ne cesse de pester et de m’engueuler, comme si ce n’était pas moi qui me trouvait dans le plus mauvais état. Le fait que j’étais un peu frappé d’amnésie et que je ne savais pas exactement comment l’accident s’était passé, c’est sur moi qu’ont reposé les torts, mais vu avec un peu de recul, les torts étaient au moins partagés. Mon père, alerté par ma mère, m’emmène aux urgences. Alors qu’on craignait une facture, je n’ai rien de cassé, mais un épouvantable hématome à la jambe qui me fera terriblement mal pendant un bon mois.

Mon vélo, qui était resté sur le champ de bataille, avait disparu quand mon père avait voulu le récupérer quelques heures à peine après. Il ne devait avoir qu’une roue détruite et la fourche abîmée… A la suite de cet événement, je n’ai pas voulu remonter sur un vélo. J’étais trop traumatisé par l’image de cette voiture qui surgissait de nulle part et qui venait me percuter.

Je ne suis remonté sur un vélo que 7 ans après, un ancien vélo avec lequel je suis allé me balader en forêt. Je lui ai fait subir les plus grandes atrocités. En 1999, je me suis acheté un VTT, toujours pour aller faire des balades dans les chemins forestiers. Je dois dire que je ne me sens toujours pas à l’aise d’aller sur des routes circulantes avec un vélo.

Autrement, concernant le cyclisme, avant je suivais régulièrement le tour de France, mais par dégoût depuis le grand déballage du dopage il y a maintenant une dizaine d’années, je m’en suis pas mal détourné.

Voilà, cela fait peu ou prou ma 400ème note sur ce blog. Trois ans et un mois après son commencement, j’ignorais que j’en serais là aujourd’hui. Je le savais déjà, mais qu’est-ce que je suis bavard !

3 mai 2009

L'armée de Sneezy est en marche

La réponse à la devinette de l’escapade figure chez Fromfrom. Tout le monde a perdu. Comme je n’avais pas encore envie de me ruiner, j’avais quelque peu complexifié l’affaire.

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Non, je ne radote pas, ces photos sont nouvelles et datent d’avant-hier.

Hier, ce n’était pas un grand déplacement, mais une nouvelle visite à la cathédrale de Saint-Omer. Cette rosace ne me parle guère, mais je me suis dit que j’allais faire un rapproché KarregWennien.

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Je ne suis guère plus malin que le chien.

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Aujourd’hui ne fut pas une belle journée, grise par la météo et grise par ce qui est arrivé à S. Néanmoins, cela va bon train chez Sneezy-fils. Evidemment, c’est un fils unique, alors il faut le prendre un peu de tous les côtés, comme cela, ça donne l’impression qu’ils sont une armée.

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