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Cornus rex-populi
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27 août 2017

Vacances juilletistes 2017 (2)

La collégiale de Notre-Dame-en-Vaux est le second (certains diront le premier) grand édifice gothique (fin XIIe – début XIIIe s.) de la ville de Châlons-en-Champagne. Ce qui m’a frappé d’emblée, c’est l’emplacement de l’édifice, très proche de la rivière (le Mau), ce qui ne permet pas d’observer bien en face la façade, sauf à aller se positionner de l’autre côté du cours d’eau enserré de deux quais verticaux où circulent les voitures. A plusieurs titres, j’ai trouvé l’édifice plus intéressant que la cathédrale, même s’il est globalement plus sombre. Je ne sais où j’avais la tête, je n’ai fait aucune photo présentant l’édifice dans son ensemble (du fond de la nef).

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Attribué à Pieter I Cock d’Alost (1502-1550). Triptyque de l’Adoration des Mages. Huile sur panneau.

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19 août 2017

Pile onze ans

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13 août 2017

Vacances juilletistes 2017 (1)

Châlons-en-Champagne, nous y passons régulièrement tout près dès lors que nous allons en Bourgogne ou dans la Loire, mais nous ne nous y arrêtons jamais. J’y avais néanmoins dormi une fois en revenant de loin. Cette fois, sur la route des vacances juillettistes, il était question d’aller voir la cathédrale, un autre édifice de la ville et un autre tout proche. Je dois dire que j’y allais à reculons, je ne la sentais pas du tout cette cathédrale Saint-Étienne. Était-ce dû à l’absence de grande tour, de flèche ? Ou à cette façade qualifiée de baroque ? Ou parce que j’en avais peu entendu parler ? Bref, cela ne me disait rien, la consœur de Reims vampirisant toutes mes attentions. Eh bien, je me trompais. L’édifice ne démérite pas. La nef paraît très longue, surtout vue de l’extérieur. L’édifice gothique, comme souvent, fait suite à une cathédrale romane (dont subsiste notamment la tour nord) et la partie gothique s’est d’abord greffée à du roman dès la fin du XIIe s. avant de s’en affranchir (fin XIIIe – début XIVe s.) et a été poursuivie jusqu’au XVIe s. Les quatre dernières photos sont celles des vitraux des XII-XIIIe s., conservés dans une salle spéciale. Personnellement, sans tomber à la renverse, j’ai plutôt bien aimé cet édifice au final.

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11 août 2017

Tout va très bien en ce bas monde !

Il n’y a pas qu’envers les salariés chercheurs d’emploi que Monsieur Paul (ou Madame Paule) Emploi fait preuve d’une bêtise déconcertante. En voici un exemple. Un désormais ex collègue, pour des raisons de rapprochement familial, a démissionné. Son dernier jour de travail officiel était le 7 juillet. Comme tout le processus de paie est informatisé et « internautisé », tout passe par un logiciel. Nous avons eu un souci avec ce logiciel, ce qui arrive, mais a été résolu grâce à la maintenance en ligne. Ensuite, nous avons détecté un problème avec un « portail de routage ». Après de multiples allers et retours, nous avons appris que cela ne venait pas d’eux, mais nous n’avons pu établir de manière normale, une attestation employeur pour que ledit ex collègue puisse faire son dossier et obtenir des indemnités. Le « portail de routage » nous a affirmé que les soucis venaient de Paul Emploi et qu’il fallait insister auprès d’eux pour que l’attestation puisse être éditée « automatiquement », sachant qu’entre temps, nous leur avions transmis toutes les infos nécessaires, signé tous les papiers indispensables… Mais ils ne répondaient pas. Pas de téléphone, juste une adresse courriel à la gomme. Ma collègue décide de décaler d’une journée son départ  en vacances (milieu de semaine dernière) pour avoir une réponse… qui ne viendra pas. Ils ne me rappellent que le lendemain (jeudi de la semaine dernière). Évidemment, moi je ne suis pas familiarisé avec ces histoires. Après m’avoir raconté des histoires à dormir debout, selon quoi mon collègue ne se serait pas inscrit à Paul Emploi (ah bon ?), elle finit par vérifier pour constater qu’il l’a bien fait (évidemment, il n’est pas idiot, lui). J’ai enfin un numéro de téléphone et après quelques vérifications, je les rappelle. Ils finissent par admettre à demi-mot qu’il doit y avoir un problème (je pense devoir traduire par le fait qu’il y a un énorme souci quelque part et ce n’est pas de notre fait). On me propose de faire une attestation papier. Ah, enfin… Seulement, moi, je n’ai pas le formulaire. On me dit d’aller sur le site de Paul Emploi Employeur, mais je leur dis que je n’ai pas les codes d’accès pour y aller. Alors on me dit qu’on va me l’envoyer. Après un nouveau rappel de leur part (une autre personne, car il ne faut pas mélanger les torchons avec les serviettes), je m’apprête à leur donner mon adresse de courriel. Mais non, on me l’envoie par la poste. Ah oui ? Ils ne connaissent pas les fichiers PDF, ils sont restés coincés au XXe s. ! Elle me met plusieurs formulaires, elle me dit que ça partira le lendemain (le vendredi) et que je les aurai en début de semaine (donc lundi de cette semaine). Lundi, rien. Mardi, rien. Mercredi, rien. Il faut dire que cela vient d’Arras, c’est tellement loin. J’ai rappelé (on ne répond plus au téléphone, envoyé un courriel, rien). Et hier en début d’après-midi, miracle, je reçois les précieux documents au courrier. Je m’attendais à trouver un document très particulier. Mais non, de vulgaires photocopies, juste avec mon nom, celle de la structure et son adresse en en-tête. Et contrairement à ce qu’ils m’avaient affirmé par téléphone, on me demande des informations supplémentaires par rapport aux renseignements que j’avais en ma possession (que eux aussi ont en leur possession, dois-je le préciser). Bon, ces infos, je les ai retrouvées (eux les ont aussi) et j’ai pu faire le papier tant attendu. Cela part aujourd’hui par la poste. Je précise quand même que ce papier n’apporte rien par rapport à ceux que nous avions envoyé il y a plusieurs semaines, c’est juste parce que ce n’est pas le même format et le même ordre des cases. Cela me rappelle un album d’Astérix dans lequel, avec Obélix, il a affaire avec l’administration romaine : ubuesque ! Et en réalité, je reste extrêmement poli.


 

Sinon, qui reconnaîtra cet édifice ? Indice : le nom de la ville est partiellement le même quune des villes de l’évêché d’Autun.

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4 août 2017

Ascension 2017 (V et fin) : Beauvais

Certes, il n’y a pas que la longueur hauteur qui compte, mais il se trouve que cela n’est pas anodin, surtout quand cela a été un des objectifs affichés : faire plus haut, d’abord par la nef qui culmine à plus de 48 m (il y a quelques années, j’ai lu quelque part, mais je ne sais plus où, qu’il était question au départ de monter substantiellement plus haut) et par la tour de la croisée à environ 150 m qui ne tiendra, une fois terminée, qu’environ cinq ans. D’après les infos que j’en avais eues, lors de la construction du chœur, la structure était tellement légère que cela avait commencé à se casser la gueule, d’où les renforts et le doublement des piliers, ce qui se voit très bien de nos jours. La question qui se pose quand même est de savoir comment ils avaient pu s’imaginer que cela tiendrait. La nef n’a jamais vu le jour. On se prend donc à regretter qu’elle n’ait pas été construite, puisqu’avant la construction du clocher de la croisée, on s’était posé la question de qui, de la nef ou du clocher, devait être construit en premier. Et les circonstances financières après la ruine du clocher ont fait qu’on n’avait plus les moyens de construire la nef. Une impression d’incomplétude, mais reste le plus haut chœur gothique du monde, ce qui n’est pas rien, car cela reste quand même fort impressionnant.

Fromfrom et moi avions vu la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais onze ans plus tôt. Sur la route du retour de Chantilly, il me plaisait fort d’y repasser, ce que nous fîmes. D’ailleurs, ce ne sera certainement pas la dernière fois. Je me suis plu à faire ces quelques photos, qui ont toutes subi un post-traitement du point de vue des lumières ou du point de vue géométrique.

A noter : j’ai accru un peu la taille des fichiers des photos, de sorte que désormais en cliquant dessus, les images apparaissent désormais dans une taille supérieure (notamment celles au format paysage).

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