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Cornus rex-populi
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26 septembre 2021

Fin d’été

Voici quelques photos prises entre le 20 août et le 21 septembre entre la maison et les jardins « professionnels », principalement des fleurs, mais pas seulement. Et quelques « micro-monographies » pour quelques espèces.

 

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L’Ache rampante (Helosciadium repens = Apium repens)est une plante herbacée vivace de la famille des Apiaceae (Ombellifères). Elle appartenait autrefois au même genre que le Cèleri (Apium graveolens), mais est beaucoup plus petite que ce dernier. Plante des prairies (parfois pâturées) et marais riches en matière organique ou de certaines rives de cours d’eau inondées, sur des sols légèrement basiques à légèrement acides, plutôt pauvres. La plante résiste à une très légère salinité (présente sur le littoral). Plante d’Europe occidentale et centrale. En France, la plante est rare, protégée (d’intérêt européen) et menacée. On la rencontre surtout dans la moitié nord du pays.

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Le Coréopsis des teinturiers (Coreopsis tinctoria) est une plante herbacée annuelle de la famille des Asteraceae (Composées). Cette plante est originaire d’Amérique du Nord. Bien qu’utilisée pour faire un colorant rouge avec les fleurs et des infusions, cette plante possède beaucoup de cultivars à des fins ornementales. Elle est souvent plantée dans les massifs en France.

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Le Sorbier des oiseleurs ou S. des oiseaux (Sorbus aucuparia) est un petit arbre de la famille des Rosaceae (rosiers, fraisiers, potentilles…). Il pousse dans des haies ou des bois sur des sols siliceux neutres à modérément acides, assez pauvres et non humides. Il est présent dans presque toute l’Europe et une grande partie de l’Asie. En France, il est présent dans presque toutes les régions mais est plus fréquent en montagne. Il est cultivé à des fins ornementales (plusieurs cultivars existent) et les fruits (sorbes) sont très appréciés des oiseaux.

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La Rudbeckie orange ou Échinacée orange (Rudbeckia fulgida) est une plante herbacée vivace de la famille des Asteraceae (Composées). Plante originaire de l’est de l’Amérique du Nord, cultivée abondamment en France, surtout à des fins ornementales. Il en existe divers cultivars.

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La Bruyère ciliée (Erica ciliaris) est un sous-arbrisseau de la famille éponyme des Ericaceae (famille des bruyères, myrtilles, rhododendrons…). Elle pousse dans des bois clairs et surtout des landes sur sols pauvres et très acides. Plante d’Europe de l’ouest à répartition atlantique à subatlantique. En France, elle est présente dans l’ensemble du Massif armoricain, en pénétrant jusqu’en Touraine et en Île-de-France et en Aquitaine, en allant jusque dans le Limousin occidental. Plante protégée dans plusieurs régions.

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Le Faux-nénuphar (Nymphoides peltata) est une plante herbacée vivace de la famille des Menyanthaceae (Ményanthe trèfle d’eau, faux-nénuphars). Cette plante aquatique pousse dans les plans d’eau et les rivières aux eaux à courant lent, riches en nutriments et matière organique mais en principe non polluées par des éléments directement toxiques. Plante d’Europe, d’Asie, occidentale, boréale et centrale et du Japon. En France, la plante est globalement rare, surtout dans la moitié sud du pays. On la rencontre essentiellement dans les vallées de la Loire, du Rhône et de la Saône et dans d’autres zones un peu plus ponctuelles. La plante est réputée comestible, mais reste difficile à repérer car elle pousse souvent dans des herbiers de diverses autres espèces aquatiques comme le Nénuphar jaune, d’autant que la plante fleurit rarement et les fleurs ne durent qu’un seul jour. Personnellement, c’est la première fois que je l’observe en fleur, ce qui a donc constitué un événement.

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Le Datura officinal ou Stramoine (Datura stramonium) est une plante herbacée annuelle de la famille des Solanaceae (Tomate, Pomme-de-terre, tabac…). Il s’agit d’une plante toxique officinale originaire d’Amérique centrale et naturalisée un peu partout dans le monde. Elle pousse dans les friches culturales ou les cultures elles-mêmes, les décombres, les alluvions fluviatiles (bords de Loire par exemple où elle est constante) presque partout en France.

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La (vraie) Cardère à foulon (Dipsacus sativus) est une plante bisannuelle de la famille éponyme des Dipsacaceae. Elle était cultivée jusqu’au XIX° s. afin de l’utiliser sur des appareils spécifiques pour carder et lainer la laine. Elle a ensuite peu à peu disparu suite à l’utilisation d’autres machines plus spécifiques et modernes. De nos jours, on ne la rencontre plantée pratiquement qu’à des fins de curiosité et est très rarement présente à l’état sauvage en France. J’ignore d’où provient la plante sauvage d’origine, qu’il ne faut pas confondre avec la Cardère sauvage (ou Cabaret des oiseaux) qui est une espèce autonome, est beaucoup plus petite et donc les capitules sont bien trop fragiles pour pouvoir espérer carder la laine plus que quelques secondes.

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La Nicandre faux-coqueret (Nicandra physalodes) est une plante herbacée annuelle de la famille des Solanaceae (tomates, pommes de terre, tabac…). Elle pousse dans les décombres et sur les alluvions grossières des grands cours d’eau. Plante originaire du Pérou, naturalisée notamment en Europe. En France, elle est rare et dispersée dans tout le pays. Plante très toxique.

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Le Laiteron des champs (Sonchus arvensis) est une plante herbacée vivace de la famille des Asteraceae (Composées). Elle pousse dans les lieux cultivés, les champs (« mauvaise herbe ») sur des sols non acides et plutôt riches. Plante présente à l’état spontané dans une large part de l’Europe, de la Séibérie, du Japon et en Afrique septentrionale, mais également naturalisée en Amérique du Nord. En France, la plante est très fréquente, sauf dans le sud, singulièrement le sud-ouest où elle est moins abondante. Plante théoriquement comestible, mais à éviter car elle est épineuse et amère.

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La Queue-de-lion (Leonotis leonurus) est arbuste de la famille des Lamiaceae (Labiées – menthes, bugles, lavandes, épiaires, sauges…). Plante originaire d’Afrique du Sud et d’Afrique australe. Il s’agit d’une plante médicinale à divers titres. Elle est cultivée en France essentiellement à des fins ornementales.

 

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L’Anémone d’automne ou Anémone du Japon (Anemone hupehensis) est une plante herbacée vivace de la famille des Ranunculaceae (renoncules, anémones, aconits, ancolies, dauphinelles, clématites, trolles…). Elle est d’origine chinoise et est uniquement cultivée en France, notamment à des fins ornementales.

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L’Anémone sauvage (Anemone sylvestris), à ne pas confondre avec d’autres espèces plus banales, est une plante herbacée vivace de la famille des de Ranunculaceae (renoncules, anémones, aconits, ancolies, dauphinelles, clématites, trolles…). Cette plante se développe sur des coteaux au sols calcaires assez secs, en lisière forestière ou en sous-bois clairs. Elle est présente en Europe centrale de la Suède méridionale au Caucase et en Asie occidentale. En France, elle est très rare, menacée dans plusieurs régions et protégée. On la rencontre dans le bassin parisien (au sens large) et en Nouvelle-Aquitaine. Mais le plus remarquable dans cette photo, c’est la date de sa prise : le 21 septembre ! En effet, cette plante fleurit en mai-juin et n’a pas la réputation de renouveler sa floraison plus tard.

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18 septembre 2021

Vaccination et passe sanitaire

Le 20 juillet, selon les dispositions gouvernementales qui se sont révélées illégales puisque aucune loi n’avait été votée (elle ne sera validée par le Conseil constitutionnel que le 5 août et applicable le 9), je n’avais pas voulu jouer au plus fin et afin de garantir mes arrières (je n’avais pas envie d’avoir des ennuis, non pas pour moi-même mais comme dirigeant d’établissements recevant du public – en fait plusieurs salles ouvertes à des formations et autres publics divers, sans compter les jardins, comportant des toilettes…). J’avais donc décidé d’imposer le passe sanitaire pour tout le monde (il était question de nombre de personnes par salles, mais quid à l’extérieur en cas de croisement ?). Les affiches officielles diffusées par le gouvernement prévoyaient aussi que la carte d’identité serait demandé et ça, cela me plaisait encore moins de demander au personnel d’accueil de vérifier ça. Sur les réseaux sociaux (Fesse-de-bouc notamment), cela n’a pas plu à certains qui l’ont fait savoir, mais cela s’est heureusement tassé assez vite. Et pour faire les contrôles, nous n’avions pas encore de smartphone à l’accueil et je ne souhaitais pas que le personnel utilise le sien (même si légalement il pouvait le faire s’il en était d’accord), alors en attendant, le contrôle était visuel sur smartphone ou papier. Le conseil du syndicat d’employeurs n’avait pas jugé utile de nous informer sur ce qu’on avait le droit de faire ou de ne pas faire. A mon retour de congés, j’ai demandé d’arrêter de contrôler la carte d’identité pour ceux qui le faisaient encore et j’ai ensuite fait acheter un smartphone. Dès le 30 août, après avoir compulsé les textes dans tous les sens, j’ai demandé d’arrêter de contrôler les passes sanitaires pour toutes les personnes qui venaient visiter les jardins, celles qui venaient en formation ou encore pour les locations de salles de réunions professionnelles. Seules sont soumises à passes sanitaires les animations.

Pour le personnel, les personnes en contact avec le public doivent avoir un passe sanitaire (personnels d’accueil, formateurs, animateurs) et si cela n’était pas encore évident le 20 juillet, tout le monde est en règle depuis la deuxième quinzaine d’août. Je n’ai pas fait de contrôle, mais quand on me dit qu’on s’est fait vacciner, je fais confiance bien sûr. L’un d’eux était contre la vaccination mais s’est rendu à la raison. Parmi les personnes qui ne sont pas en contact avec le public, j’en ai noté 4 (sur 56) non vaccinés : tous des jeunes de moins de 30 ans. Sur les 4, je sais que l’un se fera vacciner prochainement pour pouvoir prendre le train pour rejoindre sa « copine », mais les autres semblent bien plus irréductibles.

Alors que le masque demeure obligatoire à l’intérieur des locaux en entreprise (hors ateliers) dès qu’on est plus d’un, je constate que beaucoup ne le portent que de manière épisodique. J’ai fait un rappel de la consigne récemment, mais je vois bien que c’est un peu ridicule. Jusqu’à il y a quelques semaines, je faisais des rappels à l’ordre verbaux, mais là j’ai décidé d’arrêter : ils sont presque tous vaccinés et responsables. En revanche, personnellement, je m’efforce de le mettre tout le temps car je suis bêtement obligé de montrer l’exemple, mais je sais bien que tout cela est ridicule.

Beaucoup plus ennuyeux, la jeune aide-ménagère (aide-soignante de formation mais n’exerçant pas en tant que telle) de mes parents refuse obstinément de se faire vacciner et mon père a reçu des consignes très claire concernant l’obligation vaccinale à son égard. Elle considère qu’il y a une contre-indication avec une maladie qu’elle a eu il y a quelques années et elle pensait que son médecin lui ferait un certificat, ce qu’elle n’a pu avoir. En effet, il y a extrêmement peu de cas où la vaccination est déconseillée contre le SARS-CoV-2. Elle a peur de tomber malade et de laisser seuls ses deux enfants en relatif bas âge (dont l’un a un forme de handicap « léger »), alors qu’elle est séparée et que sa mère doit subir un traitement lourd contre le cancer et dont elle doit également s’occuper. Tout cela est vraiment problématique car la jeune femme est une personne agréable, efficace, volontaire… Mais l’association dont dépendent mes parents et l’aide-ménagère a été très claire. Pas facile pour mon puisqu’il a dû engager une procédure de rupture conventionnelle de son contrat de travail. Au départ, l’association l’a un peu laissé se démerder, mais semble avoir fait le nécessaire depuis et la procédure, conduite par mon père, est en cours et devrait aboutir prochainement. Pour être passé par là, je sais que ce n’est pas toujours aussi évident qu’il n’y paraît. A la place, une dame vient en attendant, de 66 ans et qui n’est pas « très dégagée » comme dit mon père, autrement dit, souffre visiblement de rhumatismes. Vive la Macronie. Bon, on ne connaît pas encore son histoire, mais quand même.

11 septembre 2021

Vacances estivales 2021 (9 et fin)

Cet été aura été celui où deux blogs, autres que celui-ci, auront montré au moins une photo de la cathédrale Saint-Lazare d’Autun. Pour Karagar, j’avais vu la photo en direct après sa prise et c’est vrai que j’avais été surpris, mais je ne m’attendais pas non plus à ce que Calyste vienne visiter Autun alors que nous y étions. Il faut dire qu’en dehors de notre venue en Bretagne, je n’avais pas évoqué le calendrier de nos vacances, ni les autres lieux dans lesquels nous irions. Évidemment, à cause de l’opération de mon père, au départ fort redoutée, les choses ne se sont précisées qu’une dizaine de jours avant. Et par ailleurs, je ne voulais pas trop donner d’indications ici. La prochaine fois, je m’en ouvrirai autrement.

Tout cela pour dire que bien avant les passages autunois karagaro-calystéen, j’avais l’intention de retourner faire des photos dans la cathédrale car lors de la dernière visite, il y avait encore des échafaudages dans quelques chapelles. A présent, tous les travaux sont terminés. Seule la salle capitulaire n’est pas accessible. Elle avait été restaurée il y a une trentaine d’années. J’ignore ce qu’ils y font, mais c’est peut-être qu’une question covido-sanitaire.

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Il s’est dit que Calyste avait fait des photos selon des angles ou sur des détails non cornusiens (voir ici) : c’est incontestable ! Toutefois, certaines photos calystéennes montrent des éléments dont j’ai des versions assez proches en magasin, voire que j’ai montrées il y a longtemps : (liste non exhaustive par ordre chronologique) : 2007, 2015, août 2019, novembre 2019. Je dispose de plus de 900 photos numériques sur la ville d’Autun dont une bonne moitié sur la cathédrale. Et cette fois, assez curieusement, j’ai des photos que je ne prends pas d’habitude et dont certaines semblent ressembler davantage à celles de Calyste… et nous ne nous étions pourtant pas concertés. Je pense en particulier à la façade « occidentale » (en réalité au nord, décalée seulement de 30° vers l’ouest - je viens de faire la mesure) et au narthex.

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Et puis la photo de Karagar reçue par SMS m’avait frappée (voir ici), non pas pour la cathédrale mais pour la maison à gauche (ancienne maison canoniale) dont le nom du commerce a toujours été « Le Lutrin » au moins depuis que je suis gamin, alors que la nature même du magasin a changé plusieurs fois (vente d’objets touristique, d’art, bistrot, quasi-dancing et depuis 6-7 ans au moins, restaurant). J’ai surtout pensé que cette maison était bien plus jolie qu’avant. Dans mes souvenirs, elle avait été restaurée il y a environ 25 ans, mais j’ignorais que c’était une maison à pans de bois, alors que sa forme aurait dû m’y faire penser. Voir ici ce à quoi elle ressemblait jusqu’en 2019 (je n’en possède pas de photo numérique mais on peut la voir dans beaucoup d’endroits dont ici). J’ai donc découvert que cette maison datait du XVe s. et avait été recouverte par un enduit au XVIIe ou au XVIIIe s. Elle a été restaurée dans le cadre d’une opération liée au loto du patrimoine en 2019-2020 (je ne sais pas quand les travaux se sont achevés, mais semble-t-il pas avant la fin de l’été 2020). La chose était donc passée inaperçue à mes yeux jusque-là, alors que j’étais passé devant plusieurs fois depuis (surtout au mois de mai dernier), même si en voiture, on ne regarde pas forcément en l’air (angle non dégagé contrairement à ce que l’on peut voir ici à pied depuis une zone non accessible aux voitures).

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Et puis quelques vues de l’intérieur, forcément.

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Jean-Auguste-Dominique Ingres (Montauban, 1780 - Paris, 1867). Le Martyre de saint Symphorien. 1834. Huile sur toile. Installée dans la cathédrale en compensation de la « récupération » par l’État de deux tableaux dont le célèbre La Vierge du chancelier Rolin de Jan van Eyck, actuellement au Louvre. À noter que Symphorien d’Autun était un jeune martyr chrétien défenseur de la foi, né vers 159 et mort vers 179. Il est représenté ici devant la porte romaine de la ville, l’actuelle porte Saint-André. Et c’est la mère de Symphorien que l'on voit sur le mur du rempart. Cette œuvre est très difficile à photographier à cause de l’endroit où il se trouve car l’orgue de chœur (une merdouille qu’on aurait dû mettre à la poubelle) gêne passablement et qui brille. J’ai donc fait une photo sur trépied et de manière très oblique pour en tirer quelque chose d’acceptable. Le logiciel aide beaucoup (voir avant/après car c’est la même prise de vue).

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Et la Pierre de Couhard que certains appellent pyramide. À l’origine, ce monument funéraire gallo-romain, probablement du Ier s., mesurait 1,5 à 2 fois plus que la hauteur actuelle. Il vient d’être restauré une nouvelle fois (le tas de gravats à droite n'a pas encore été évacué, mais grâce au miracle logiciel, j’ai enlevé le gros sac de gravats à droite, visible sur la photo de Clayste ici). C’est la troisième restauration que je connais, mais aussi la plus importante (totale et a priori fort bien réalisée). Le trou dans l’édifice sur la droite correspond à une fouille pratiquée au XVIIe s. par un abbé qui recherchait une chambre funéraire. Des trous (rebouchés) avaient également été pratiqués sous l’édifice et n'ont pas été concluants.

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9 septembre 2021

Vacances estivales 2021 (8)

Durant le séjour, je suis quand même allé me balader plusieurs fois autour de l’étang du dragon terrassé. J’ai croisé mes charolaises habituelles.

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Cette année, le fourrage ne manquera pas.

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Cherchez les intrus.

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Le soleil est revenu un soir.

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J’ai pu photographier quelques vieilles connaissances.

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Et puis l’étang bien sûr ! La dernière photo, mon père voulait la faire avec son smartphone, pensant peut-être à raison que c’était la dernière fois qu’il voyait l’étang, finalement plus à cause de ma mère que de son fait. Immense émotion doublée d’amertume (moi, pas loin autant que lui, probablement).

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