Brou (4/6)

Voici à présent l’intérieur, surtout la nef et le jubé pour l’instant. Depuis peu, on peut monter sur le jubé. Je ne vous dirai pas que c’est une « véritable dentelle de pierre » comme on l’entend trop souvent, mais force est de constater que c’est ouvragé. Et j’aime beaucoup aussi (c’est sans doute ça et les voûtes qui m’avaient plu étant gamin).

Comments

[Cornus]

Calyste> C'est vrai et c'est la raison pour laquelle je traite le chœur à part. Ceci dit, il y a quand même des invariants entre nef et chœur.



Karagar> Je me suis un peu fait la même réflexion sur les murs et piliers, assez épais. Ce n'est pas très élevé, mais cela ne paraît pas lourd pour autant.



Plume> Moi aussi, je n'ai pas le bagage, mais je peux saisir les grandes lignes des explications karagariennesn, qui sont d'ailleurs d'un grand intérêt pour moi. Mais tu as raison, tu ne peux retenir que le sentiment résultant car cela compte quand même beaucoup.

[plumequivole]

Mon inculture dans le domaine (clin d'oeil à maître Cornus :) ) me réduit à dire : c'est beau.

Sobre le commentaire, non ?

[karagar]

très belle série, d'autant plus méritante, que je la vois sous des angles inhabituels et du coup j'en comprends mieux l'architecture.

Deux remarque : je suis surpris de la structure à mur épais.

On voit bien ici que le gothique finissant revient à la puissance des supports (comme à la cathédrale de Nantes) et tourne le dos à la gracilité de la fin du XIII et du XVème. Bon exemple de la non linéarité des évolutions stylistiques.

[calystee]

Il y a un tel contraste entre la nef et le jubé puis le chœur !