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Cornus rex-populi

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8 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (4)

Brionnais (3/4)

Nous remontons vers le nord-ouest vers Semur-en-Brionnais, lieu de naissance du fameux saint Hugues (1024-1109), un des grands abbés de Cluny (initiateur de Cluny III). Le château Saint-Hugues est édifié à partir du Xe s.

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L’église (XIIe s.) est assez extraordinaire. Son clocher nous a déjà agréablement surpris. L’intérieur, est lui très clunisien, avec la classique élévation à trois niveau avec un beau faux triforium (ici, il est « creux », contrairement à Saint-Lazare d’Autun), des pilastres cannelés et une voûte en berceau brisé. Nous ne nous attendions pas vraiment à ça. Belle surprise, donc, mais nous ne sommes pas dépaysés. Nous n’avons pas le temps de nous attarder ni de photographier le reste du village, mais c’est d’une incroyable richesse, un vrai joyau architectural qui méritera forcément une nouvelle visite. Il existe également une congrégation de religieuses qui occupent de vastes bâtiments.

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Nous mettons ensuite le cap sur La Clayette (prononcer La Clète, comme l’avait très justement rappelé Calyste). Sur le chemin, nous traversons Saint-Christophe-en-Brionnais, très connu pour son marché du mercredi aux bovins charolais, d’importance supra-régionale (existe depuis la fin du Moyen-Âge). Très étonnant de voir ça dans une commune de moins de 500 habitants. Nous avons vu en passant un nombre incalculable de camions bétaillères. Cela doit valoir le coup d’œil, mais nous n’avions pas le temps de nous attarder. Le Château de La Clayette ne se visite pas. La partie la plus à droite sur les premières photos est du XIXe s. et n’est pas la plus intéressante.

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Nous nous dépêchons ensuite vers le château de Drée (commune de Curbigny) dont Calyste avait également parlé. Hélas, scandale, le château est fermé le mercredi, contrairement à ce que disait le Routard ! Restent le pigeonnier, la prison et quelques autres vues extérieures.

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En quittant les lieux, pour gagner du temps, nous boudons Saint-Germain-en-Brionnais dont Calyste nous avait montré des images. Sur le chemin, nous sommes néanmoins happés par le panneau menant, bien des kilomètres plus tard, vers la chapelle romane de Saint-Prix. Rien d’exceptionnel (nous n’avons pu entrer).

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7 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (3)

Brionnais (2/4)

Nous mettons ensuite le cap sur Marcigny. L’église d’origine médiévale n’y est pas très intéressante (nombreux remaniements et ajouts et partie romane en assez mauvais état), mais quelques maisons à colombages et la Tour du Moulin, du XVe s., anciennes fortifications du prieuré, édifié sur ordre du duc Jean Sans Peur. Les gibbosités sont assez curieuses (j’ai souvenir d’en avoir déjà vu sur un autre édifice, mais je ne me souviens plus où).

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Nous continuons vers le sud en remontant la Loire. Nous faisons une courte halte à l’église de Saint-Martin-du-Lac (XIe s.).

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Nous continuons sur Iguerande, dont les bords de Loire sont le lieu de halte ou de pique-nique habituel de mes parents. Cette commune est la dernière de Saône-et-Loire et a marqué une frontière depuis l’époque gauloise : limite d’influence des Éduens, puis de la cité gallo-romaine d’Augustodunum (Autun), puis du diocèse de cette même ville. L’église (XI-XIIe s.) repose sur un promontoire rocheux et domine la vallée de la Loire. Le côté sud présente de puissants et surdimensionnés contreforts.

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Nous poursuivons notre circuit vers Saint-Julien-de-Jonzy. Seuls le clocher et la façade sont romanes (XIIe s.). Un petit côté clunisien dans le clocher (décor cannelé des pilastres). Le linteau du tympan représente la Cène, ce qui n’est pas très commun. Les révolutionnaires ont cassé les têtes, sauf celle de Judas, mais la position de ce dernier est curieuse selon Fromfrom.

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7 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (2)

Brionnais (1/4) [je découpe pour éviter l’overdose]

Le mercredi 27 octobre, le régime fut tout autre. Lors de sa visite récente dans le Brionnais, Calyste m’avait rappelé l’intérêt majeur de cette petite région naturelle pour la richesse de son patrimoine. Outre des paysages qui n’ont rien d’affreux, un certain nombre de châteaux, le Brionnais est réputé pour la richesse des édifices romans, dont certains sont d’essence ou d’inspiration clunisienne et d’autres y échappent totalement. On pourra aller voir des détails et précisions sur les édifices brionnais chez notre ami Eduard (Bourgogne Romane). Compte tenu du « gros morceau » que cela représente pour voir ça sur une seule journée et de l’éloignement relatif par rapport à notre camp de base éduen, j’avais longtemps reculé l’échéance de cette visite, que j’envisageais pourtant depuis une dizaine d’années.

Le Brionnais est donc cette région du sud-ouest de la Saône-et-Loire, globalement délimitée au nord par le Charolais, à l’est par les monts du Beaujolais, au sud par le département de la Loire (encore que l’on pourrait y voir une prolongation dans ce département avec Charlieu et Pouilly-sous-Charlieu) et à l’ouest par la Loire (le fleuve). Je connaissais donc les bords de Loire pour les avoir longtemps fréquenté : un des chemins (désormais le seul) que mes parents empruntaient lorsqu’ils se déplaçaient entre leurs domiciles ripagérien et autunois, mais également un coin que j’ai fréquenté, lors de mes pérégrinations de ma thèse (et même bien avant) aux abords de Digoin.

Nous avions donc décidé de nous y rendre le mercredi, afin d’échapper aux grèves éventuelles et à la fermeture classique des musées le mardi. Nous avions l’intention de visiter le château de Drée et le Routard 2010 nous confirmait bien que la fermeture hebdomadaire était bien le mardi. Enfin, ce jour avait été sélectionné parce qu’on était sûr qu’on aurait du beau temps. Nous avions l’intention de déjeuner rapidement dans un restaurant, mais une erreur de sortie (encore) nous a un peu retardé dans notre programme très chargé, alors on a décidera de se contenter d’un vague truc acheté dans une boulangerie.

A seigneur tout honneur, nous commençons la visite par l’église d’Anzy-le-Duc (XI-XIIe s.), en fait une prieurale bénédictine issus de l’abbaye Saint-Martin d’Autun (aujourd’hui disparue). Le clocher octogonal à trois étages m’avait toujours attiré sur les images. Mais il y a bien d’autres choses, comme les modillons à l’extérieur, la crypte, les chapiteaux…

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6 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (1)

Le samedi 23 octobre, nous avons donc mis le cap sur la Bourgogne. Voyage en voiture en toute tranquillité. Aux abords de Beaune, distraits, nous manquons la sortie de l’autoroute. Nous sortons donc au nord de Chalon-sur-Saône. Nous trouvons facilement du carburant dans une grande surface pour nous ravitailler (il n’y avait même pas la queue, qui a parlé de pénurie ?). Sur notre chemin, non loin de là trône Mercurey. Je décide (ce n’était pas prématuré, ni même prémédité) de faire une halte au caveau auquel nous allions avec mes parents quand j’étais gamin. Cela a un peu changé, le vin en bouteille et la dégustation ne se fait plus au même endroit (depuis une bonne quinzaine d’années). Et là, c’est pas comme à l’essence, il y a la queue, mais il n’y pas de pénurie non plus. On goûte d’abord du deux sortes de Mercurey 2008 dont un que je trouve quelque peu fermé. Et puis du 2009, et là nous sommes séduits (une très bonne année qui vient d’être mise en bouteille). Pour le même vin, le surcoût est quand même de 3 € entre 2008 et 2009 (ramené à 2 € parce que c’est les soldes en ce moment). Je trouve qu’ils poussent un peu trop, mais bon, on en prend et on repart.

Puis, après avoir admiré au passage une nouvelle fois le château de Marguerite de Bourgogne, nous arrivons à bon port.

Le lendemain dimanche, repos, loisirs et oisiveté. Au menu de midi, pâté de campagne avec Hautes-Côtes-de-Beaune blanc et canard sauvage avec un Maranges 1er Cru (il faut y aller doucement pour commencer).

Le lundi, quelques achats, recherche de chrysanthème, repos, loisirs, oisiveté, lapin de garenne arrosé de vin d’Arbois et madeleines fromfromiennes. L’après-midi, recherche active et assez décevante de champignons. Je n’ai trouvé qu’un peu de Bolet orangé (Leccinum aurantiacum (Bull.) S.F. Gray) et de Pied-de-Mouton (Hydnum repandum L. : Fr.)

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Le soir, visite classique à Cheilly-les-Maranges pour ravitaillement en rouges (mon père s’était occupé du blanc quelques semaines plus tôt). Là, pas encore de 2009 en bouteilles, on attend mi novembre pour s’y mettre. Mais il y a des choses toujours excellentes à boire en 2007 et 2008. Depuis peu, on s’est modernisé, on a mis en place un mini caveau au lieu du simple tonneau-table. On est modeste dans cette maison et pourtant, on y fait parmi les meilleurs vins des appellations considérées (et les prix sont plus bas qu’ailleurs). Bref, en plus des dégustations toujours très généreuses (c’est ça la vraie Bourgogne), on discute, on s’amuse, et on parle du vin simplement (pas de la poésie idiote de pseudo intellos du vin). On repart en laissant le volant à Fromfrom (forcément, mais mon père aurait pu s’y coller).

Le mardi, repos, loisirs, oisiveté et vin d’Arbois (encore, mais pas le même). Et surtout tête de veau, la première depuis mon enfance. Même la langue n’a rien d’extraordinaire, la mayonnaise restant le meilleur ingrédient.

4 novembre 2010

Retour en couleur d'automne

Le récit de notre séjour arrivera bientôt, mais je n'ai pas encore eu le temps de m'y pencher. En attendant mes passages commentés chez vous, quelques promesses colorées. A très bientôt.

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23 octobre 2010

Avis de vacances vieillissantes

Nous ne devrions pas tarder de mettre le cap sur la première capitale ducale…

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Nous verrons bien si nous voyons des machins du genre…

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Et les cousines de…

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Admirer les couleurs…

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Et revenir pour incorporer le club des Vieux.

A très bientôt.

16 octobre 2010

Porte ouverte fermée

Il y a trois semaines, nous avons été invités à nous rendre à une porte ouverte de l’usine Renault de Douai (à l’initiative d’un couple d’amis dont lui travaille là-bas). Sans être particulièrement mordu par ce genre de chose, je m’étais dit que c’était l’occasion de voir ça pour de vrai, ce n’est pas courant d’aller librement dans des endroits pareils. Et puis il y avait sans doute des choses à apprendre…

Nous sommes arrivés là-bas à l’heure le dimanche en début d’après-midi. L’usine est tellement grande que des bus nous faisaient la navette pour nous emmener à l’autre bout du site.

Nous commençons la visite par les la fabrication des éléments de la carrosserie et de l’ensemble de la structure. Notre ami nous raconte que cela n’a jamais été aussi propre, que la peinture au sol est récente et il s’aperçoit que l’on a repeint l’extérieur de son bureau. Un atelier déjà immense.

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Le deuxième l’est encore plus : on y assemble tous les éléments précédents. Quelques robots fonctionnent pour l’occasion, mais tournent à vide. C’est impressionnant mais cela ne fait pas le quart du bruit habituel.

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On continue notre chemin et on va pour aller voir l’habillage intérieur des voitures. Et là, une jeune femme du service de communication nous barre le passage. Visite terminée, il y a trop de monde… Déception chez nos compagnons (moi je m’en remets assez bien).

Je me rabats sur quelques photos de voitures de la marque anciennes ou moins anciennes. Peut-être ai-je une tendresse particulière pour celles-ci parce que mes parents ont longtemps roulé en Renault ou parce que mes grands-parents paternels portaient ce nom là ?

Celtaquatre :

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Juvaquatre :

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4 CV :

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Dauphine :

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R 8 :

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R 4 ou 4 L :

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R 10 (une R 8 agrandie) :

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R 17 (une R 15 survitaminée) :

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Alpine :

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Caravelle :

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15 octobre 2010

Indication mycologique

A la suite du commentaire de KarregWenn, je reviens sur ma récolte de champignons. Normalement, aucun ne doit être toxique, mais personnellement, je ne suis pas du genre joueur. Je suis sûr de l’identité des n° 3, 4 et 5 même si je ne mangerais que le n° 5 pour une plus grande sécurité encore et sans doute par goût.

N° 1 : Russula sp. (Russule) :

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N° 2 : Russula cf. brunneoviolacea Crawshay (Russule brun violacé ?) :

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N° 3 : Amanita rubescens (Pers. : Fr) S.F. Gray (Amanite rougissante, Golmotte) :

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N° 4 : Amanita citrina (Sch.) S.F. Gray (Amanite citrine) :

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N° 5 : Xerocomus badius (Fr. : Fr.) Gilbert = Boletus badius (Fr.) Fr. (Bolet bai) :

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Et je n’ai pas précisé que j’avais récolté ces champignons pour une raison très simple. Alors que je devais qualifier les caractéristiques écologiques d’une végétation forestière, j’ai constaté que les plantes herbacées que j’avais à ma disposition étaient rares ou discriminaient bien mal les conditions du milieu. Les champignons m’ont donc permis de confirmer que j’étais en présence d’une forêt acidiphile basale du Quercion roboris Malcuit 1929.

12 octobre 2010

Soleil embrumé

Ce matin, un départ pour une réunion dans l'Artois occidentalo-méridional. Un moment coincé à une intersection, j'ai fait mon Cornus et j'ai dégainé pour un truc que j'ai pensé moins moche que d'habitude. Pas le temps ensuite de capturer d'autres choses dans la boîte noire car la réunion a duré plus que de raison et qu'il m'a fallu plus de deux heures pour rentrer à mon port d'attache professionnel.

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11 octobre 2010

Critique littéraire

Nous en avions d’abord parlé il y a plus d’un an je crois. Sans trop croire à l’intérêt du livre, j’avais voulu l’emprunter à la bibliothèque municipale, mais il n’y était pas référencé. J’avais donc laissé tomber. Et puis au mois d’août, nous en avons reparlé, et plusieurs lecteurs capiste ou capistotropes en avaient fait l’éloge. Finalement, après quelques réflexions complémentaires, nous en passâmes commandes à la librairie locale. Je l’ai eu entre les mains il y a une dizaine de jours. Un pavé de plus de 600 pages. Je pensais en avoir pour des semaines voire des mois (ben oui, je suis lent). J’ai commencé à le lire le week-end puis un peu tous les soirs. Les pages, ont défilé à une vitesse folle et j’en ai terminé la lecture hier soir. Je n’en reviens pas.

De quoi s’agit-il ? « Le Livre de saphir » de Gilbert Sinoué (1996). C’est l’histoire d’un juif converti au christianisme qui va aller brûler sur le bûcher de l’Inquisition en Espagne en 1487. Il a eu entre les mains le fameux Livre de saphir par l’intermédiaire duquel Dieu lui a parlé, lui annonçant même son arrestation et sa mort prochaine. Mais avant cela, le juif « conversos » cachera le livre et enverra des lettres et des cryptogrammes à trois de ses amis : un juif, un musulman et un moine catholique. Ces trois là ne se connaissaient pas auparavant et devront mettre en commun les cryptogrammes pour résoudre des énigmes qui leur permettront de retrouver le Livre qui fait parler Dieu, afin de savoir enfin qui est détenteur de la vraie foi, qui est le vrai Dieu parmi les trois monothéismes. Je passe les détails, mais l’aventure se déroule avec en toile de fond l’Inquisition et la réunification espagnole, alors que seule Grenade reste aux mains des Arabes.

Il faut le reconnaître, ce n’est pas un roman avec un grand style littéraire. Il n’y a pas beaucoup d’aspérités en dehors de termes espagnols ou à caractère religieux (ce qui n’est pas gênant). Non, la lecture est très fluide et il y a beaucoup de dialogues entre les personnages (sans doute trop). Incontestablement, il y a globalement une insuffisance des descriptions des personnages (sauf certains mieux rendus), des paysages, des endroits où ils se trouvent, des attitudes, des situations, etc. Il y a aussi beaucoup d’interactions entre les personnages (but du jeu), mais j’estime que l’auteur n’en tire pas assez de conclusions générales. Il suggère des choses actuelles, mais aurait pu aller plus loin avant le dénouement. Voilà, je ne dévoile pas trop. Oui, j’ai bien aimé. J’aurais espéré une fin plus universelle, mais celle-ci peut convenir (je n’ai pas le choix).

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