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Cornus rex-populi

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22 novembre 2010

Devoirs de vacances

Durant mes vacances ma formation dans l’Hérault (dont le lieu a été choisi rien que pour aller embêter Lancelot et Tinours), petites devinettes en 4 parties avec indices.

1) Fille de pousse de genêt.

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2) Sur la route.

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3) Georges a éclipsé Martin

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4) C’est Arsène qui a fait ça ?

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D’ici mon retour, pas de bêtises. Et puis, comme Fromfrom va se morfondre, je compte sur vous pour la harceler. Elle a des devoirs : une histoire de Violette à finir et une note. Voilà bonne semaine.

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21 novembre 2010

Week-end de la Saint-Martin (2)

Le vendredi 12 novembre au matin, nous faisons presque la grasse matinée. Nous nous retrouvons au petit-déjeuner peu après 9 heures. Et là, festival de bonnes choses. Là encore, beaucoup de choses faites maison. Outre les viennoiseries, salade de fruits de saison et un fabuleux jambon cru avec son os et coupé sur place avec un couteau. Le meilleur jambon depuis celui que faisait un ami (c’est dire qu’il était vraiment méritant de me rappeler de si bons souvenirs).

Puis, nous nous rendons à la cathédrale. Il ne pleuvait plus depuis quelques heures, mais cela n’a guère duré.

Voici donc les photos de Notre-Dame de Chartres. Inutile de vous dire qu’elles ne sont pas tout à fait à la hauteur de mes espérances, voire carrément décevantes. A la prise de vue, j’ai dû pas mal jouer sur certains paramètres manuels afin d’éclaircir la situation. Malgré tout, j’ai dû faire ici, pour quatre photos, quelques ajustements de lumière et de contraste. La cathédrale est en travaux, notamment la façade ouest et le chœur. Le portail nord a été récemment restauré.

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Et à l’intérieur, la partie haute du chœur a été nettoyée et restaurée (les vitraux nettoyés). Si nous avons bien compris, toute la cathédrale doit être ainsi traitée : rendez-vous après 2014. Je crois que c’est une excellente nouvelle. A l’issue de cette opération, ça va péter là dedans, d’autant que cette opération éclaircira notablement les vitraux. Je ne présente pas l’intérêt des vitraux, majoritairement du XIIIe siècle. Ceux de la façade sont du XIIe siècle (pratiquement non visibles pour cause de travaux). Il en existe aussi quelques-uns des XV-XVIe siècles jusqu’au XXe siècle.

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Il va de soi que d’autres visites seront nécessaires, par exemple en 2015.

20 novembre 2010

Week-end de la Saint-Martin (1)

Nous avions depuis plusieurs mois parlé d’une petite virée à Chartres et dans la vallée de la Seine haut-normande à l’occasion du week-end prolongé de la Saint-Martin.

Fromfrom avait donc concocté avec mes parents un traquenard dans mon dos. Le premier novembre, je me vis offrir un fusil en plastique à bouchon (j’ai heureusement pu le refiler à un gamin que cela martyrisera toute sa vie, ou plutôt ses parents et grands-parents), une bouteille de piquette effervescente (inférieure au Pol Rémy pour ceux qui connaissent) et surtout un lapin en peluche, qui ne fut pas inutile pour exciter le chien de mes parents. Bien sûr, j’ai pensé assez vite au nounours que Lancelot emmène partout en vacances.

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Puis vint le vrai cadeau. Une invitation dans un grand hôtel de Chartres ainsi qu’un repas précédé d’une visite des caves. Tout cela pour fêter mes 40 balais et les 5 ans jour pour jour de notre première rencontre physique en haut d’un escalier de la gare de Lorient. Déjà 5 ans, j’ai peine à y croire. Fromfrom m’a dit que ma mère lui avait rappelé combien elle avait été inquiète à l’époque durant tout un week-end parce qu’elle pensait que j’avais disparu. Durant 3 jours, je n’avais répondu ni rappelé sur aucun de mes téléphones fixe ou portable. Car bien sûr, je n’avais voulu dire à personne (sauf Karagar bien entendu) que j’allais voir quelqu’un en Bretagne. Et j’avais volontairement coupé tout lien. Un peu comme le cordon ombilical très virtuel qui me reliait encore à mes parents. Quelle folie ! Qu’étais-je allé faire dans cette galère ? Me corrompre définitivement avec la Bretagne et surtout avec les Bretons. Rencontrer des gens sans le moindre intérêt. Me récolter deux mariages sur le dos avec la même personne. Bref, déjà 5 ans d’enfer ! Mais je signerais bien pour le reste de l’éternité.

 

Ce 11 novembre, donc, nous sommes arrivés à Chartres en début d’après-midi (nous avions calculé notre coup pour passer aux abords de Paris à une période où la circulation automobile serait la plus fluide possible. Avant d’aller prendre possession de notre chambre, nous avons fait quelques passages en basse ville le long de l’Eure. Bien sûr, il pleuvait. Nous visitons l’église Saint-André, en réalité une ancienne collégiale romane du XIIe siècle. Au XIIIe siècle, on construisit un chœur au dessus d’une arche enjambant la rivière. On en voit encore les vestiges. L’intérieur accueillait une exposition d’art contemporain : quelques peintures sympas, beaucoup de pas terribles, mais surtout quelques sculptures de bronze pas mal du tout (pas de photos, malheureusement interdites).

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Puis, nous allons prendre possession de notre chambre dans notre hôtel. Nous en profitons un peu (inutile de dire que pour moi, dormir dans une chambre pareille était une première).

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Après ça, première visite à la cathédrale sous une pluie insistante. Quelques photos sans trépied, mais je n’insiste pas trop, car nous prévoyons de revenir le lendemain.

Retour à l’hôtel où la nuit tombe.

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Juste le temps de se changer et nous voilà conviés dans les caves. L’un des sommeliers nous y conduit. Je n’en crois pas mes yeux. Nous visitons deux ensembles de caves, et c’est déjà énorme. Un troisième ensemble ne se visite pas et accueille la plus importante partie du stock, avec aussi les bouteilles les plus précieuses. Pas moins de 45 000 bouteilles en tout et 1000 références ! Le Cornus se sent minuscule. Pour le consoler, le sommelier lui offre un bon Montlouis pétillant, planqué entre deux rangées de bouteilles (ça, je ne m’y attendais pas). Avec les bulles, quelques amuse-gueule : gambas grillées, pâté en croûte chartrain maison, foie gras maison. Une discussion amusée s’engage sur les vins. Le jeune sommelier nous explique aussi son métier et ne surjoue pas son rôle.

Nous remontons finalement à la surface où le repas peut commencer. On nous positionne à un endroit stratégique de la salle où on peut à peu près tout voir. Je ne connais pas le menu (et Fromfrom non plus, elle m’avouera que c’était une surprise pour elle également). De fait, il s’agit d’un menu spécial et nous n’avons pas été déçus. On choisit d’abord les vins. Le sommelier, lui connaît le menu : il me laisse choisir un blanc ligérien presque bourguignon et décide du rouge qui sera tourangeau ; les deux se révèleront excellents (pas des vins de l’année, des vins dans la fleur de l’âge, un peu comme moi). Pendant ce temps, on a commencé à emplir un peu la salle, qui n’est néanmoins pas pleine. Sept personnes sont au service, dont trois sommeliers. La décoration est assez dorée, mais reste sobre. La musique est là mais est loin d’être envahissante. Tout se passe dans une ambiance feutrée, mais pas collet monté. Le rêve. L’ensemble du service, y compris les liquides, se fait naturellement et on ne se sent jamais épié.

Comme amuse bouche (encore ? ben oui, ce qu’on a eu à la cave ne compte plus), de la bettrave rouge dans tous ses états : chips, mousse, millefeuille avec de la Saint-Jacques. En entrée, carpaccio assaisonné de Saint-Jacques, accompagné d’une mousse de potimarron surmontée d’une émulsion crémeuse. En premier plat (en fait, c’est déjà le quatrième), une cassolette de Saint-Jacques mi-cuites avec une sauce orange sublime aux légumes, accompagnée d’un rouleau de printemps.

C’est le moment du trou normand, en réalité, un granité de pamplemousse. Nous nous apercevrons définitivement que nous sommes les seuls à avoir pris ce menu. Je pense au traquenard. Nul doute que le plat suivant sera constitué de Saint-Jacques. Gagné ! Elles sont cette fois bien cuites, accompagnées de cèpes et de rouleaux de pieds de cochon pannés reconstitués. Un régal, une nouvelle fois. Nous craignons le pire pour le fromage et le dessert. Mais, non, un somptueux chariot de fromage arrive. Le « meilleur fromage du monde » (dixit le regretté Bernard Loiseau) fait partie du choix et il se révèlera plus qu’à la hauteur. Le dessert ? Fromfrom a repéré de superbes soufflés qui arrivent sur des tables voisines. Mais nous, nous aurons droit à des soufflés spéciaux, au chocolat ! Alors là, je ne peux plus y croire. Comment Fromfrom a-t-elle pu dire qu’elle n’y était pour rien dans le menu ? Elle qui adore à ce point les Saint-Jacques et le chocolat (reconnaissons que je ne donne absolument pas ma part au chien). Eh bien apparemment non. Pleine saison de la Saint-Jacques oblige et le chocolat est un hasard ! J’ai fait mienne l’expression qu’avait le père de Fromfrom à qui à la fin d’un repas on demandait s’il voulait un café : « Je ne prends de café qu’après un bon repas ». Bon je ne l’ai pas dit à la serveuse, mais Monsieur a bien sûr pris un café. Puis (eh oui, on ne pouvait pas partir comme ça), mignardises maison : guimauves, pâtes des fruits et caramels au citron. Malgré toute notre bonne volonté, nous avons calé. En conclusion, un somptueux repas dans un grand restaurant gastronomique, c’était pour moi une première et j’en suis très heureux. Il faut bien des conditions exceptionnelles comme ça pour avoir l’idée d’aller dans de tels lieux de perdition. Merci de la chouette idée, Fromfrom !

Alors nous sommes montés nous coucher. Il fallait bien un minimum profiter de notre chambre de luxe.

14 novembre 2010

Quinze ?

Calyste m’a demandé un truc (voir ici). Je ne suis pas loin des considérations de Lancelot et de KarregWenn. Le principe d’origine est un peu limité puisque cela ne s’adosse pas à un intérêt ou à une émotion particulière. Néanmoins, je vais assurer le service minimum. Je précise que j’ai respecté le principe : pas de réflexion préalable.

1) Maurice Genevoix, parce qu’il m’accompagne depuis presque toujours.

2) Henri Vincenot, pour sa truculence et parce qu’il a écrit quelques pages où il a transcrit des observations que j’ai faites, des émotions que j’ai eues et que je pensais être le seul à avoir eues.

3) Victor Hugo, entre autres pour sa somme poétique.

4) Alfred de Vigny pour le Cor et La mort du loup, entre autres.

5) Pierre de Ronsard pour ses bouquets de roses.

6) Verlaine, parce que c’est vachement bien.

7) Louis-Ferdinand Céline, parce qu’il m’a profondément ennuyé.

8) Emile Zola pour Germinal et Dreyfus.

9) Molière, parce qu’il m’a marqué au collège.

10) Jean Racine, parce qu’il m’en a fait bavé au collège.

11) Hervé Bazin pour Vipère au poing qui m’avait marqué, également au collège.

12) Gilbert Sinoué, parce je l’ai lu récemment et parce que c’est pas mal.

13) Karagar parce qu’il a été de mes premières lectures bloguesques, pour ses histoires, pour son style, pour sa cathédrale…

14) KarregWenn, pour ses atmosphères, pour ses personnages intimement éloignés, pour l’aiguisement de sa plume, pour son moine…

15) Lancelot pour toutes ses trouvailles, pour le naturel de sa lecture, pour son Atlante si familier…

Pas de « taguage » chez moi.

13 novembre 2010

Mais où étions-nous le 11 novembre au soir ?

Il faut que je me confesse. Nous sommes partis jeudi 11 au matin. Les trois notes précédentes étaient donc déjà rédigées et ont donc été publiées automatiquement, chose que je ne fais pas d’habitude. Donc, nous sommes rentrés ce samedi 13 au soir. Ces trois jours ont été assez extraordinaires, malgré une pluie épouvantable.

En attendant, comme personne n’a trouvé où nous étions le 11 au soir, voici un nouvel indice (forcément, c’est pas très facile, sinon, certains trouveraient trop vite).

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13 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (8 et fin)

Le lundi 1er novembre, le repas est initié avec un Pouilly-Fuissé que nous avions acheté au château de Pierreclos, poursuivi avec la suite du sanglier avec un Santenay 1er cru 2003 (royale année de canicule) et terminé avec un fromage arrosé du Pommard acheté à Beaune le samedi. Trois bouteilles à quatre, on se maintient bien ? Oui, mais on en avait gardé pour le lendemain. Car pour le quatre heures des mes 40 automnes, c’était Champagne avec les amis-voisins, arrosant le fort apprécié gâteau au chocolat fromfromien (une innovation) et les excellentes tartes aux pommes de la belle.

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Non, pas 40 balais, 04 ans : la preuve en image.

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12 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (7)

Le dimanche 31 octobre, Fromfrom s’est une nouvelle fois mise en cuisine avec une épaule de sanglier, préalablement marinée trois jours dans une marinade cuite au vin rouge. On l’accompagne d’un Santenay 1er cru 2005 (mieux que bien). L’après-midi, départ pour la visite d’un château que nous avions repéré cet été et qui est ouvert à la visite depuis seulement 5 ans. J’ai nommé Chastellux-sur-Cure (prononcer Châtelu). Nous arrivons à 15h30, la prochaine visite n’a lieu qu’à 16h30 (et ce sera la dernière de l’année si on n’en croit le panneau à l’entrée).

Nous repartons faire un petit circuit en voiture dans les environs. Deux panneaux nous font des promesses bien fades. Le premier, très prétentieux, un « versant de la Cure » (ah oui, mais nous n’avons RIEN vu de spécial, cherchez l’erreur). Le second au sujet d’une « église peinte par Corot » : bêtement, je pense que le peintre y a peint quelque chose à l’intérieur. On ne peut y entrer mais à travers la grille, je n’y vois rien de spécial. A ce moment là, Fromfrom me dit tout naturellement que le panneau devait indiquer que le peintre l’avait représentée sur l’un de ses tableaux. Oui, mais aucun commencement d’explication aux abords de l’église (contrairement à ce que l’on trouve avec Gauguin du côté de Pont-Aven).

Nous sommes de retour juste à l’heure prévue au château pour acheter les billets dans les écuries. Commence alors, un véritable numéro de cirque. Nous ne tardons pas d’apprendre que le vendeur de billets n’est autre que le représentant de la famille de Chastellux qui possède le château depuis une dizaine de siècles. L’aristocrate ne paye pas de mine et ne se prend pas au sérieux. Dans ses explications de l’histoire du château, des phases de construction, devant les portraits de famille, il enchaîne humour, jeux de mots, blagues (pas forcément toutes à la portée du premier visiteur venu). Bref, plus d’une heure à vraiment s’amuser. On aurait peut-être aimé plus de détails sur l’architecture, mais on ne s’est pas ennuyé (tout le contraire du dégoût ressenti lors de la visite du château de Sully ou de la précieuse ridicule guide à Tanlay). Une visiteuse, se croyant subtile, fait des commentaires à voix haute, d'une stupide prétention masquant mal son inculture (ça arrive assez souvent, ces visiteurs qui veulent se la péter alors qu’ils ne font que rapporter les clichés les plus éculés). Et en ressortant un soleil couchant pas mal du tout.

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11 novembre 2010

Anniversaires

Eh bien oui, comme si cela ne suffisait pas, nous fêtons mes 40 ans et aujourd’hui 11 novembre, les 5 ans de notre rencontre. Mais où sommes-nous ? Les paris sont ouverts.

Indice : c'est beau cette région !

10 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (6)

Le jeudi 28 octobre, filet et épaule de chevreuil au vin blanc, néanmoins accompagné par un Santenay 1er cru de 2007.

Le vendredi 29 octobre, marché à Autun. Achat de « marrons » de Saint-Léger-sous-Beuvray, de Girolles (Cantharellus cibarius Fr. : Fr.) et de Chanterelles en tube (Cantharellus tubiformis Fr. : Fr.) françaises, ces dernières à un prix très abordable. Le lendemain, je trouverais, près de l’étang, un seul et unique Cèpe de bordeaux (Boletus edulis Bull. : Fr.).

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Après un crumble aux pommes fromfromien, nous partons l’après-midi pour Beaune pour une visite que nous avions ratée en mai.

Tout d’abord, visite aux environs de Nolay, célèbre pour ses halles du XIVe siècle (photos de 2006).

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Pas de nouvelle visite des halles, mais nous sommes allés voir le Bout du monde de la Reculée de Vauchignon, autrement dit une sorte de cirque au pied d’une falaise calcaire où déboule une petite cascade aux eaux incrustantes. J’avais découvert ça en 2001 il me semble lors d’une visite avec des collègues naturalistes.

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Clin d’œil en passant au château de La Rochepot.

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Puis, donc, l’objet de la visite au marché aux vins que j’avais fréquenté à la fin des années 1980 et au début des années 1990. C’est juste à côté des célèbres Hospices, dans des bâtiments partiellement médiévaux, avec une chapelle… Cela a bien changé par rapport à mes anciennes visites. Il n’y a plus qu’une quinzaine de vins en dégustation, là où il y en avait une cinquantaine. Mais du coup, les « petits » Beaujolais et Bourgognes n’ont plus leur place. Toutefois, tout n’est pas super top, mais au moins on goûte et on sait ce qu’on achète. On craquera pour trois belles bouteilles, dont un Pommard 2001 parce qu’il me plaisait et parce que mon père a longtemps été fan de ce cru.

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Au retour de Beaune, le village de Monthélie (encore un truc qui se laisse boire), qui m’avait tapé dans l’œil à l’aller, fait l’objet de prises de vue presque acrobatique au soleil couchant.

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9 novembre 2010

Vacances de Toussaint du quarantenaire (5)

Brionnais (4/4)

Nous filons enfin vers notre ultime étape brionnaise, l’église de Bois-Sainte-Marie (ça aussi, Calyste nous avais montré). Assez curieusement, l’église se retrouve au milieu d’un complexe de maisons de retraite au sein de ce petit village. L’église (XI-XIIe s.) est assez exceptionnellement dotée d’un chœur avec déambulatoire du plus bel effet (malheureusement, à la suite de travaux dans le clocher, de gros bois pas très photogéniques avaient été déposés dans le chœur). On remarquera aussi le tympan de la Fuite en Egypte sur la porte sud, les chapiteaux extérieurs du chevet et la maison épousant l’arrondi du chevet.

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Nous quittons le Brionnais. Ce fut une visite un peu marathon, mais il faut savoir que ce que nous avons vu était loin d’être un aperçu exhaustif. Mais, sur le chemin du retour, le beau temps et la lumière nous incitent encore à quelques nouveaux arrêts. L’église de Perrecy-les-Forges est un important édifice bourguignon carolingien et roman (IX-XIIe s.) que je ne connaissais pas. Malheureusement, l’édifice, en dehors du narthex, est fermé au public depuis 2009 pour des raisons de sécurité. Il a accueilli un temps les moines de l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire.

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Nous terminons la journée devant l’ancienne église paroissiale de Toulon-sur-Arroux (XI-XIIe s.) dont s’occupe une association (généralement pas ouverte au public, surtout à l’heure assez tardive où nous y étions).

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