Quinze ?
Calyste m’a demandé un truc (voir ici). Je ne suis pas loin des considérations de Lancelot et de KarregWenn. Le principe d’origine est un peu limité puisque cela ne s’adosse pas à un intérêt ou à une émotion particulière. Néanmoins, je vais assurer le service minimum. Je précise que j’ai respecté le principe : pas de réflexion préalable.
1) Maurice Genevoix, parce qu’il m’accompagne depuis presque toujours.
2) Henri Vincenot, pour sa truculence et parce qu’il a écrit quelques pages où il a transcrit des observations que j’ai faites, des émotions que j’ai eues et que je pensais être le seul à avoir eues.
3) Victor Hugo, entre autres pour sa somme poétique.
4) Alfred de Vigny pour le Cor et La mort du loup, entre autres.
5) Pierre de Ronsard pour ses bouquets de roses.
6) Verlaine, parce que c’est vachement bien.
7) Louis-Ferdinand Céline, parce qu’il m’a profondément ennuyé.
8) Emile Zola pour Germinal et Dreyfus.
9) Molière, parce qu’il m’a marqué au collège.
10) Jean Racine, parce qu’il m’en a fait bavé au collège.
11) Hervé Bazin pour Vipère au poing qui m’avait marqué, également au collège.
12) Gilbert Sinoué, parce je l’ai lu récemment et parce que c’est pas mal.
13) Karagar parce qu’il a été de mes premières lectures bloguesques, pour ses histoires, pour son style, pour sa cathédrale…
14) KarregWenn, pour ses atmosphères, pour ses personnages intimement éloignés, pour l’aiguisement de sa plume, pour son moine…
15) Lancelot pour toutes ses trouvailles, pour le naturel de sa lecture, pour son Atlante si familier…
Pas de « taguage » chez moi.