Porte ouverte fermée
Il y a trois semaines, nous avons été invités à nous rendre à une porte ouverte de l’usine Renault de Douai (à l’initiative d’un couple d’amis dont lui travaille là-bas). Sans être particulièrement mordu par ce genre de chose, je m’étais dit que c’était l’occasion de voir ça pour de vrai, ce n’est pas courant d’aller librement dans des endroits pareils. Et puis il y avait sans doute des choses à apprendre…
Nous sommes arrivés là-bas à l’heure le dimanche en début d’après-midi. L’usine est tellement grande que des bus nous faisaient la navette pour nous emmener à l’autre bout du site.
Nous commençons la visite par les la fabrication des éléments de la carrosserie et de l’ensemble de la structure. Notre ami nous raconte que cela n’a jamais été aussi propre, que la peinture au sol est récente et il s’aperçoit que l’on a repeint l’extérieur de son bureau. Un atelier déjà immense.
Le deuxième l’est encore plus : on y assemble tous les éléments précédents. Quelques robots fonctionnent pour l’occasion, mais tournent à vide. C’est impressionnant mais cela ne fait pas le quart du bruit habituel.
On continue notre chemin et on va pour aller voir l’habillage intérieur des voitures. Et là, une jeune femme du service de communication nous barre le passage. Visite terminée, il y a trop de monde… Déception chez nos compagnons (moi je m’en remets assez bien).
Je me rabats sur quelques photos de voitures de la marque anciennes ou moins anciennes. Peut-être ai-je une tendresse particulière pour celles-ci parce que mes parents ont longtemps roulé en Renault ou parce que mes grands-parents paternels portaient ce nom là ?
Celtaquatre :
Juvaquatre :
R 14 :
4 CV :
Dauphine :
R 8 :
R 4 ou 4 L :
R 10 (une R 8 agrandie) :
R 17 (une R 15 survitaminée) :
R 12 :
Alpine :
R 16 :
Caravelle :