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Cornus rex-populi
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7 mars 2014

Arras (2)

Voici la première partie de ce que j’ai photographié au rez-de-chaussée du musée, avec des œuvres du Moyen Âge jusqu’au XVIIe siècle, surtout des sculptures.

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Volets du tryptique de Nicaise Ladam (Pays-Bas du Nord, XVIe s.)

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Miracle de la sainte Chandelle (début du XVIIe s.)

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Dormition de la Vierge (1452)

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Anges dit d’Humbert (Nord de la France, XIIIe s.)

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Dalle funéraire de Fraumauld, évêque d’Arras (1183)

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23 février 2014

Vers la fin de l'hiver ?

Le week-end a été plus clément que ce que j’attendais, en particulier samedi. J’en ai profité pour tailler les rosiers. Pour l’instant, pas trop dégâts cette année contrairement aux trois années précédentes où j’avais même dû déplorer un décès chez les porteurs de cynorhodons. Des fortes gelées sont encore possibles, mais il serait étonnant que l’on descende aux environs de – 10 °C. En attendant, les Pelargonium que j’ai laissé dehors devant et derrière la maison ne souffrent pas trop, même si rien n’est gagné.

Ce n’est pas le printemps, mais on s’en approche parfois. Les pollinisateurs ont du courage.

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16 février 2014

Concours de dendrologie corticole

Il s’agit plus exactement de reconnaître les essences qui correspondent à cette petite suite de photos d’écorces. Quelques indices toutefois avant de se lancer :

  • ces photos ont été prises en forêt aujourd’hui à quelques kilomètres de la maison à peine,
  • toutes les espèces considérées ont un feuillage caduc,
  • deux espèces ne sont pas indigènes de la région dont une ne l’est pas d’Europe,
  • certaines sont très faciles à trouver, d’autres moins.

1 - Quercus robur L. (Chêne pédonculé)

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2 - Betula pendula Roth (Bouleau verruqueux)

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3 - Robinia pseudoacacia L. (Robinier)

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4 - Fagus sylvatica L. (Hêtre)

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5 - Prunus avium L. (Merisier)

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6 - Castanea sativa Miller (Châtaignier)

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7 - Larix decidua Mill. (Mélèze d’Europe)

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8 - Carpinus betulus L. (Charme)

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24 août 2022

Virée juillettiste bretonne (2)

Après un copieux repas de fruits de mer (je n’avais jamais mangé autant de coquillages crus), il fut décidé d’aller en balade au Faouët où nous aimons retourner de temps en temps, en compagnie de la duchesse mère. La dernière visite ayant été consacrée à la chapelle Saint-Fiacre, de décidai que nous n’irions voir que la chapelle Sainte-Barbe, moins intéressante à mes yeux pour son intérieur, mais dans un site et un cadre naturel assez extraordinaires. Fromfrom fut étonnée que sa mère ait autant d’allant pour descendre à la chapelle et en remonter. Je pris un peu d’avance, sans pouvoir sonner la cloche en haut car il n’y avait plus de corde (toutefois, la corde est revenue depuis puisqu’un jeune collègue y est allé il y a moins de quinze jours), je fis quelques photos quelques peu inédites, puis je décidais d’aller seul (personne n’aurait pu m’accompagner) voir la fameuse fontaine dans le bois (je ne me souvenais plus que c’était aussi loin) puis, de là, aller voir le fleuve Ellé. Je ne les avais pas revus depuis début juin 2006. Pour la fontaine, Fromfrom m’avait alors raconté que peu de temps avant de me connaître, elle avait fait un vœu validé par le fait que pour la première fois, elle avait réussi à jeter une pièce exactement dans l’étroit orifice de la fontaine (ce que je fis également du premier coup, on admirera, au choix la chance ou l’adresse). Et pour l’Ellé, j’avais été stupéfait par la présence abondante sur les berges et de manière quasi continue d’Osmonde royale (Osmunda regalis). Cette année, la sécheresse, qui n’avait pourtant pas encore atteint son paroxysme, a fait que le cours d’eau avait moins d’allure qu’en 2006.

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L’oratoire était ouvert et a été récemment restauré où il existe une statue récente du saint.

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1 mai 2023

Premier mai

Le Muguet de mai (ou littéralement, selon la traduction du nom scientifique, Lys dans la vallée de mai) est une espèce herbacée vivace à rhizome de la famille des Asparagaceae (famille des asperges, proche de la famille des lys). Il s’agit d’une espèce de sous-bois ou de lisières forestières se développant sur des sols modérément secs à frais, ni trop acides ni calcaires. La plante est présente en Europe, en Asie occidentale et boréale et en Amérique septentrionale. En France, elle est assez fréquente, sauf dans l’ouest où elle est moins abondante et est absente du pourtour méditerranéen et de la Corse. Il s’agit d’une plante abondamment cultivée à des fins médicinales (historiquement), de parfumerie, et bien sûr ornementales. Toute la plante est extrêmement toxique. Il existe divers cultivars, y compris à fleurs roses.

Photo prise hier 30 avril vers 18 heures dans le bois du Buisson Girod (nom ne figurant pas sur les cartes « ordinaires », au sud de l’étang du dragon terrassé. Qui a parlé de réchauffement climatique ?

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27 février 2016

Musée des thermes et de l'hôtel de Cluny (5 et fin)

Annonciation. Atelier colonais (?). v. 1450.

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Annonciation. Rhin supérieur. v. 1440-1450.

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Chevalier agenouillé. Alsace, atelier de Peter Hemmel. v. 1483.

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Minucchio da Sienna. Rose d’or. Rose : Avignon, 1330 ; noeud filigramé : 3e ¼ du XIIIe s. Or, argent, verre coloré. Commandée par le pape Jean XXII et offerte à Rodolphe de Nidau. Trésor de la cathédrale de Bâle. Évidemment, la photo a été prise à travers une vitre. Je ne suis néanmoins pas mécontent du résultat.

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Statue-reliquaire. Sainte Anne trinitaire. Ingolstadt, 1472. Argent repoussé, gravé, partiellement doré et peint.

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Lando di Stefano ? Saint Jean Baptiste. Sienne, v. 1370-1390. Noyer polychrome.

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Groupe d’applique. Ariane. Constantinople, début du VIe s. Ivoire d’éléphant.

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Cercle du peintre Colyn de Coter (patrons). Tenture de Chœur. Scènes de la légende de saint Etienne. Bruxelles v. 1500. Tapisserie : laine et soie.

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Tenture de la vie de la Vierge. Annonciation. Offerte par le chancelier Léon à la cathédrale de Bayeux en 1499. Tapisserie : laine et soie.

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La visite est terminée. Je précise qu’il s’agit là que d’un tout petit aperçu de ce que l’on peut voir dans ce musée, avec toutefois les déception dont j’ai pu parler, dont certaines, espérons le, seront probablement réglées quand la rénovation sera aboutie.

23 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (10)

A peine arrivés à la base ligéro-ripagérienne, nous réalisons une lessive et en allant étendre le linge dans le jardin ensoleillé, je saute comme un cabri éléphant et vlan, paf, boom, mon pied mord sur une dalle de travers et c’est l’entorse. Je ne suis pas allé voir un médecin, je me suis contenté de pommade, tout en limitant mes déplacements. Impossible dans ces circonstances de circuler en ville ou d’aller au musée, comme cela aurait pu l’être avec Calyste à la confluence sauconno-rhodanienne. Pas de « grande » visite au programme, donc. Et le Pilat sans la moindre neige même à son plus haut sommet a été également en grande partie délaissé.

Direction Veauche (plaine du Forez) pour voir l’église Saint-Pancrace, qui fut un temps une priorale dépendant de l’abbaye d’Ainay de Lyon. Il semblerait que les premiers vestiges de cette église remontent à l’époque carolingienne. Hélas, nous n’avons pu entrer dans l’édifice, uniquement ouvert à l’occasion des offices.

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Nous étions un peu énervés par ce principe de laisser les édifices si durablement fermés et nous sommes allés un peu plus au nord, sur le rebord oriental dominant la plaine du Forez. La commune abrite la source d’une des eaux pétillantes les plus connues : Badoit.

La mairie (fin du XIXe s.).

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L’église (XVe s.) et la Vierge au pilier (début du XVIe s.).

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Nous passons par la cité des chapeaux de feutre (Chazelles-sur-Lyon) et par Saint-Symphorien-sur-Coise dont nous ne cherchons même pas à aller nous casser une nouvelle fois le nez devant la porte toujours fermée de l’église (voir ici).

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Nous décidons de passer par le signal de Saint-André-la-Côte, un des plus hauts sommets des monts du Lyonnais et où je ne me souviens pas d’être déjà allé. Depuis le parking, pas question d’aller au panorama du sommet pour cause de cheville. Mais nous trouvons un autre endroit un peu plus bas pour observer la vue sur une partie de l’agglomération lyonnaise et surtout les Alpes et le Mont-Blanc.

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Après cela, retour par des villages a priori plus connues de moi dont Riverie dont je ne connais cependant pas le centre médiéval (nous n’irons pas non plus car c’est désormais fermé à la circulation automobile). Nous rentrons ensuite en passant sur les terres des mes grands-parents maternels. Je me suis tant promené dans ces lieux quand j’étais gamin, que je suis toujours ému de voir les endroits qui sont restés à peu près en l’état.

24 janvier 2016

Un lundi que je redoutais

Lundi matin, mon premier rendez-vous était une réunion de recadrage d’un salarié. En effet, en décembre, son chef d’Amiens, excédé à la fois par la très mauvaise conduite d’un important projet et par son comportement « de gamin », il avait fini par l’engueuler violemment, puis sur mes conseils à lui faire une lettre de recadrage, qu’il n’a pas acceptée. Ce salarié s’est fait assister par un délégué du personnel, qui lui possède un vrai talent, réussissant presque à retourner la situation en mettant l’accusateur à la place de l’accusé. Le chef d’antenne a très mal vécu cette période, car ayant de bons rapports avec ses subordonnés et voulant privilégier l’efficacité pour le rendu du projet, il n’avait pas voulu s’attaquer à son collaborateur pour ne pas le perturber avant le rendu effectif. La réunion de lundi était donc minée. J’avais donc en face de moi le salarié, le délégué du personnel, le chef d’antenne et la directrice administrative. En tant que chef de service, j’avais déjà recadré très sèchement un salarié, mais cela n’avait pas fait de bruit, même si lui m’en avait beaucoup voulu après ça (mais bon, que peut-on faire avec des dingues ?). Là, le salarié n’est pas dingue, il a juste un côté enfant gâté auquel on n’a jamais fait de reproches. Et puis sans doute le sentiment que le fait de travailler dans une association, avec des gentils copains qui passent tout. Après avoir planté le décor, la réunion bien que très tendue, s’est finalement bien passée puisque le salarié a fini par reconnaître la totalité de ses torts, y compris son comportement (manque de respect vis-à-vis de certaines personnes avec l’alibi de l’humour) et le chef a pu dire la raison de sa colère accumulée et qui avait explosé. Je pense que l’affaire est résolue, du moins pour l’instant.


Ensuite, c’était la réunion mensuelle de coordination avec les chefs. Là, c’était la récréation, d’autant qu’il n’y avait pas motif à engueulades, comme la plupart du temps, heureusement. Nous avons avalé nos sandwichs entre les diverses prises de parole.


En début d’après-midi, premier entretien d’évaluation avec la chef de Rouen. Là aussi, je n’avais pas que des choses agréables à dire. Quand je suis passé en mode reproches, elle s’est figée, a rougi et je l’ai vue au bord des larmes. Je l’avais déjà largement perturbée lorsque je m’étais sérieusement accrochée avec elle début décembre. Elle est très émotive et prend tout pour elle, même ce dont elle n’est pour rien, ce qui fait qu’elle vit très mal les choses qui ne vont pas. C’est dingue. Elle manque de rigueur « administrative » et d’organisation (ce qui agace tout le monde), ce n’est pas la plus brillante des botanistes, mais elle a beaucoup de talents par ailleurs, notamment pour aller conclure des projets avec différents partenaires. Donc, c’est un très bon élément. J’ai donc décidé de lui demander de faire des points réguliers par téléphone pour la suivre de plus près. Elle doit considérer que c’est une forme d’ingérance, mais c’est la seule solution que j’ai trouvée pour l’instant pour l’aider. A voir à l’usage…


Après ça, c’était l’heure d’aller au à la galette et aux vœux avec l’ensemble des salariés. J’ai dû me fendre d’un petit « discours » pour remercier l’ensemble du personnel pour les réalisations 2015 (je l’avais déjà fait par écrit), nos difficultés financières pour 2016 et néanmoins notre optimisme. C’est à ce moment là qu’est arrivée notre présidente par intérim. Elle a dit un petit mot également, pour la forme, mais elle n’était pas bien à l’aise. Elle a pris un peu peur quand on lui a dit qu’on avait contracté un prêt de 100 000 € à la banque pour payer les charges en janvier et que j’avais signé en son nom. Évidemment, c’est un problème de trésorerie car nous avons de nombreux débiteurs à commencer par l’État et les collectivités territoriales qui ne paient pas ce qu’ils doivent. Ça et l’Europe qui ne paie rien en avance fragilisent des structures comme la nôtre, sommes leurs « banques », ce qui est un véritable scandale, quand on connaît la vulnérabilité du tissu associatif. Les vraies banques, elles, ne nous font pas de crédit à taux zéro et profitent allègrement du système. Heureusement que notre banque nous fait confiance.


Après avoir avalé ma part et bu ma coupe de bulles, je suis retourné avec le chef d’Amiens pour son entretien. Là, je n’avais pas de reproches à faire, mais juste à dialoguer. Ouf.


A 18 h 45, sans avoir totalement terminé, il était temps pour moi de me rendre aux vœux du maire de B. à la salle des fêtes de la ville où j’étais annoncé. J’ai décidé d’y aller, non pas pour l’intérêt que je porte à ce genre d’exercice (c’était ma première fois, y compris à titre personnel), mais pour faire de la « relation publique ». A l’heure dite, la salle était déjà pleine à craquer. Je passe sur la rétrospective de l’année, les associations mises en avant, sur les médailles de la ville remises à trois personnes, sur le discours du maire en images, en partie sécuritaire, paternaliste et réactionnaire (mais pas que, heureusement). L’éloge de Miss Flandre de venue Miss Nord-Pas-de-Calais et finalement Miss France est resté en définitive assez sobre, mais cela fait déjà des mois qu’il bassine tout le monde avec ça. On sait ce que je pense de cette vente télévisuelle de viande noyautée par de vieux gros salopiauds. Presque deux heures plus tard, je pouvais aller saluer mon conseiller municipal préféré membre de notre conseil d’administration, ce qui m’a permis de saluer le maire (bof, pas chaleureux le type, mais bon, il avait beaucoup de chats à fouetter), et deux nouvelles conseillères régionales fraichement élues, et même de discuter un peu avec l’une d’elles qui devrait entrer dans notre conseil d’administration, la décision devant se prendre prochainement au sein de l’assemblée régionale. Sur le ton de l’humour, elle aurait voulu que l’ancienne présidente, désormais à la retraite, fût élue à vie, mais elle, elle s’y voit mal. Moi, si. Nous verrons bien. Il y avait plein d’autres maires et élus de Flandre dans la salle. Après avoir bu un jus d’orange, j’ai dû me faufiler avec grandes difficultés pour sortir de la salle.


Étonnamment, en rejoignant Fromfrom, je n’étais même pas été fatigué par ma journée. Deux amaryllis photographiés il y a peu pour conclure.

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6 mai 2016

Périple médio-ligérien et éduen (6)

Après Rouen, cap au sud pour enfin rejoindre la vallée de la Loire. Arrêt prévu à Vouvray pour un ravitaillement en vin du même nom car on connaît là d’autres expressions du cépage Chenin que ce que l’on a en Anjou, notamment avec les Coteaux du Layon. Ici, le breuvage se fait sec, demi-sec et moelleux (et à bulles, mais ça, ce n’est pas ma passion).

Le château d’Amboise, je l’avais visité lorsque j’étais enfant avec mes parents. Depuis que j’ai fait mes études en Touraine, je suis passé devant des tas de fois. Pour moi, ce château de la Loire est un de ceux qui me plaît le plus. Pourtant, je n’étais jamais retourné le visiter. La guide que nous avons eue était très pédagogue et dotée d’un humour subtil, même s’il fallait sans doute être doté d’un certain bagage culturel pour tout capter. Bref, cela a été un réel plaisir. Ma visite de la fin des années 1970 ne m’avait laissé aucun souvenir des intérieurs à part l’évocation de la pendaison des huguenots aux grilles du balcon (qui n’a pas été évoquée cette fois-ci). Ce qui m’avait plu également, c’était les tours cavalières. Voici donc ce château qui de médiéval gothique du XVe s. va évoluer vers la Renaissance. Il ne reste hélas qu’une petite partie du palais initial.

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Un banc dahut.

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Fenêtre gothique.

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Fenêtre Renaissance.

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La chapelle Saint-Hubert où Lénoard de Vinci serait enterré.

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La salle du Conseil.

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L’héritier de la couronne britannique

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Un siège Renaissance.

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J’avais aussi dans l’idée d’aller visiter le Clos-Lucé tout proche où résida Léonard de Vinci (entre autres), mais alors atteint d'un mal aux cervicales assez féroce (qui fut très tenace durant une semaine) et notre fatigue générale nous en empêchèrent.

13 juillet 2016

Avis de vacances

Ce soir, je suis en vacances et nous partons bientôt. Nous allons faire un voyage extra-bourguignon (comme quoi, le Bourgexit, ça existe déjà). En voici cinq étapes (sans doute pas simple, mais comme il y a toutes les vacances, ça devrait aller).

1) Un vieux rêve de mon enfance que de voir cette ville. On m’en a dit beaucoup de mal : « surfait », « décevant », « décor en carton-pâte »…

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2) Ce n’est pas un rêve d’enfance et cette grande ville pourtant très prisée ne m’attirerait pas plus que cela si ce n’était quelques édifices remarquables et quelques autres bricoles non négligeables.

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3) Bon, là c’est en montagne (quel scoop) et à côté d’un site plus connu.

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4) Pour cette ville, Karagar n’est pas étranger à cette étape.

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5) Et pour cette commune, Karagar et Plume sont à la fois coupables chacun de leur côté.

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14 mai 2016

Périple médio-ligérien et éduen (7)

A défaut de visiter, j’aurais voulu voir d’un peu plus près, toujours à Amboise, mais à l’écart, la pagode de Chanteloup, une tour de fantaisie du jardin du château du même nom du XVIIIe s., détruit à l’époque napoléonienne. Mais cela allait fermer et lentrée est assez hors de prix compte tenu de lintérêt que nous pouvions y porter.

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Le lendemain, le château de Blois était au menu de la matinée. Ce n’était pas ma première visite puisque j’y étais allé avec mes parents dans les années 1990. Quand on connaît un peu l’histoire et le récit des Rois maudits, on ne peut pas louper la problématique du massacre de la Saint-Barthélemy et le coup de l’assassinat du duc de Guise (« plus grand mort que vivant »). Je ne donne pas davantage d’explications, Calyste l’ayant fait l’été dernier (voir ici).

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La marquise se prend pour une souveraine.

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Le roi, lui, retrouve enfin son trône. Il manque cependant la couronne (entre autres).

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Gaston d’Orléans.

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16 mai 2016

Périple médio-ligérien et éduen (8)

Petits compléments pour le château de Blois.

Quelques intérieurs.

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Et à présent quelques œuvres, avec pour commencer, de quoi enrichir la collection plumesque (désolé Calyste, tu n’as pas été gâté cette fois).

France. Saint Sébastien. Provient d’une chapelle de la Sarthe. XVIe s.

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France. Piéta. Provient d’une chapelle de la Sarthe. XVIe s.

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Théodore Gechter. François Ier à la chasse. 1843. Bronze.

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Jean Cousin le fils (v. 1522-v. 1594). L’enlèvement d’Europe. Huile sur bois.

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Portrait d’Henri II

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Portrait d’Henri III

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D’après François Clouet (v. 1515-1572). Marie Stuart, reine d’Écosse et de France (1542-1587). Huile sur bois.

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Cornelis Van Cleve (1520-1567). Vierge à l’Enfant. v. 1550. Huile sur bois.

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Jean-Auguste-Dominique Ingres. La Madone aux candélabres. 1817. Huile sur toile.

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Marie-Philippe Coupin de La Couperie. Valentine de Milan au tombeau de son époux Louis d’Orléans. Salon de 1822. Huile sur toile.

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Jean-Baptiste Jules Trayer. Trois femmes cousant. 1858. Huile sur bois.

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Vue du château, l’église Saint-Nicolas de Blois de style roman (nous ne l’avons pas visitée).

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14 novembre 2016

Voyage d'automne (4)

L’après-midi, il était question d’aller visiter le musée de Pont-Aven dont la réouverture est assez récente, après trois années de travaux. Ce musée, qui a doublé de surface d’exposition, est bien sûr consacré à la peinture, notamment à « l’école de Pont-Aven », en particulier au synthétisme vers la fin du XIXe s essentiellement. On nous apprend d’ailleurs dans le musée qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une école. La figure de proue de cette « école » n’est autre que Paul Gauguin. Nous n’avons pas pu visiter l’exposition temporaire qui n’ouvrait ses portes que le lendemain de notre visite. C’est un musée correctement aménagé, avec des tableaux bien éclairés dans l’ensemble. Je n’ai bien sûr photographié que ce qui m’attirait, pour diverses raisons. Voici après redressement et recadrage, l’échantillon récolté.

 

André Jolly (1882-1969). Le Four. 1909. Huile sur toile.

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André Jolly (1882-1969). Neige. 1906. Huile sur toile.

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Wladyslaw Slewinski (1856-1918). Nature morte aux pommes et au chandelier. v. 1897. Huile sur toile.

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Maurice Denis (1870-1943). Hommage à Notre-Dame du Folgoat. 1921. Huile sur carton.

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Émile Bernard (1868-1941). L’Annonciation. 1899. Lithographie rehaussée d’aquarelle.

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Émile Bernard (1868-1941). Saint Georges. Lithographie.

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Paul Sérusier (1864-1927). Le Feu dehors ou Mammen. 1893. Huile sur toile.

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Paul Sérusier (1864-1927). Portrait de Marie Lagadu. 1889. Huile sur toile.

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Pierre Girieud (1875-1948). Hommage à Gauguin. 1906. Huile sur toile.

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Armand Seguin (1869-1903). Nu de la Comtesse d’Hauteroche. 1896. Huile sur toile.

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Paul Gauguin (1848-1903). Village breton sous la neige. v.1894. Huile sur toile.

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Paul Gauguin (1848-1903). Les Drames de la mer, Bretagne. 1889. Zincographie sur papier jaune.

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Anonyme. Porte d’atelier (trois panneaux). Le Ramassage du goémon ; L’Aven ; Le Port de Pont-Aven, vu du quai. v. 1890-1895. Huile sur bois.

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Hermanus-Franciscus Van den Anker (1832-1883). Portrait de Marie-Anne Herlédan (1815-1889). v. 1885. Huile sur toile.

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Hermanus-Franciscus Van den Anker (1832-1883) & Fernand Quignon (1854-1941). Enseigne de la Pension Gloanec. v. 1880. Huile sur bois.

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Gustave Loiseau (1865-1935). L’Hôtel Julia à Pont-Aven. 1928. Huile sur toile.

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Marie Luplau (1848-18925). Le Bois d’Amour à Pont-Aven. 1883.

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Anonyme. Le Port de Pont-Aven. v. 1880. Huile sur toile.

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16 novembre 2016

Voyage d'automne (5)

En soirée, après un nouveau ravitaillement à Pont-Aven, nous allons au port de Rosbras à Riec-sur-Belon.

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Puis à Kerfany à Moëlan-sur-Mer, où je découvre mer et ciel d’une pâleur jaunâtre qui finissent par devenir un peu plus orangés. J’avoue cependant que sur certaines photos, j’ai effectué un léger post-traitement afin d’accentuer la couleur rouge (mais pas de manière excessive cependant).

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7 février 2020

Féminisme exacerbé

Hier, en faisant un saut dans un commerce qui vend des produits agricoles et pour le jardin (entre autres), je passe par un rayon où il y a quelques vêtements destinés aux chasseurs (visiblement) et mes yeux se sont portés sur cette horreur (un tee-shirt avec un dessin très féministe). Je n’en reviens pas, et je crains que cela ne choque quune petite minorité de personnes.

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25 février 2020

Bascule 2019-2020 (7)

Nous avions déjà visité la cathédrale de Vienne (Isère) à plusieurs reprises (ici, et ), mais personnellement, j’aime beaucoup cet édifice. Il s’agit d’une co-cathédrale, titre partagé avec celle du chef-lieu de département, Grenoble où l’autre co-cathédrale semble assez atypique. Même si je ne la connais pas, elle ne me semble pas aussi intéressante que Saint-Maurice de Vienne. Jusqu’en 1790, la cathédrale était une primatiale (diocèse des Sept Provinces, le plus ancien de la France actuelle dit-on, actuellement rattaché à l’archidiocèse de Lyon).

Lorsque nous sommes arrivés en cet après-midi de Saint-Sylvestre, avait lieu une cérémonie d’enterrement d’un jeune homme de 23 ans, victime d’un accident de la route. Les circonstances étaient bien différentes, mais cela m’a rappelé les obsèques de mon grand-père maternel qui avaient eu lieu ce même jour en 1983.

Nous avons ensuite pu effectuer la visite normalement.

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Une série de chapiteaux que j’ai passé en noir et blanc. Je n’ai gardé que les moins mauvais.

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Et une sorte de moulure sculptée.

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Je ne reviens pas sur le côté clunisien de l’édifice…

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Une « Mise au tombeau » dont je n’ai pu retrouver l’auteur, ni sur place ni sur l’internet, malgré mes efforts.

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4 juillet 2020

Fleurs de déconfinement de mai-juin 2020

Avant de passer à autre chose, voici la dernière livraison du printemps « déconfiné » entre le 19 mai et le 9 juin. Les pivoines pour commencer (la rouge vient du marché, les autres du jardins de H.).

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Pour Karagar, Phlomis tuberosa, la Sauge de Jérusalem tubéreuse.

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Des roses anciennes plus mou moins locales.

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9 juillet 2020

Le triomphe du calme

Le dragon de l’étang a-t-il été terrassé ? En tout cas, tout est calme après la fin du monde présentée précédemment.

 

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Et pourtant, il suffit d’un rien pour que les nuages redeviennent plus menaçants.

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Pourquoi donc ?

Parce qu’il a suffit que deux papillons s’en mêlent !

Un Demi-deuil...

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... et une Mélitée du Mélampyre (recto et verso) Pour cette espèce, jai dû faire un effort pour trouver car je nai pas une documentation suffisante.

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Et une Couleuvre à collier se permet scandaleusement de perturber la surface de l’étang.

 

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Cependant, la communauté floristique se moque royalement de ces basses considérations météorologiques et animales et déploie ses couleurs dans une marche triomphale.

 

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Et tout redevient paisible, comme toujours.

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27 mai 2020

Les caps Gris-Nez et Blanc-Nez autrement !

Samedi, nous avons décidé de partir tôt pour Boulogne-sur-Mer pour aller quérir, en vente directe sur le port, des crustacés. Nous n’avons pas été déçus puisque nous avons trouvé de belles araignées, mais aussi, plus rare, des étrilles, à prix vraiment plancher. Et, on s’en doutait, des homards, pas chers non plus. Nous avons complété avec turbots, soles et blancs de seiches que nous avons congelé. Pour le premier week-end de déconfinement, les plages du littoral avaient été ouvertes, et une collègue m’avait dit qu’elle était allée se balader au cap Blanc-Nez. Hélas, au retour, en passant par les caps Gris-Nez et Blanc-Nez, les routes étaient barrées, avant les parkings respectifs. Le comportement de certains sur le littoral ayant certainement entraîné les fermetures.

Les photos sont issues de lassemblage panoramique de plusieurs photos (à visualiser en grand).

Au Gris-Nez, faute de falaises de grès (et autres roches) visibles, petit arrêt sur un point de vue que je connais pour y avoir accompagné des collègues pour une étude. De là, je considère qu’on a la Manche à gauche et la Mer du Nord à droite, à moins que la séparation se fasse au Blanc-Nez ?

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Et voici le Blanc-Nez. Pas moyen de voir là non plus les falaises de craie.

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3 août 2020

Quatorze juillet !

Le jour du quatorze-Juillet,
Je reste dans mon lit douillet ;
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.

Non, pour le quatorze juillet, on va chez Karagar où nous attend également Plume. Après une chouette collation, nous effectuons une première visite du jardin. Vladimir nous rejoint alors. Entre deux discussions, nous faisons une seconde visite au jardin. A vrai, dire, je me suis perdu dans ce jardin, non pas uniquement par les multiples chemins, mais aussi et surtout par la richesse botanique que l’on y rencontre, dont je ne connais qu’exceptionnellement. Je dois avouer qu’il me faudrait probablement une saison complète de déambulations pour connaître les noms et reconnaître l’ensemble des taxons. Je suis vraiment enchanté par cette visite et je mesure l’ampleur hallucinante, vertigineuse du travail mené par Karagar. En plus, beaucoup de plantes ont à présent une ampleur très respectable qui donne à ce jardin une dimension qui commence à être sérieusement impressionnante.

Nous nous rendons ensuite à Audierne pour un repas qui donne sur le quai du port. Après un repas de poisson encore inédit, petite visite vespérale avant de rentrer.

Une Aigrette garzette, chère à Plume nous attendait.

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Une magnifique passerelle, avec un bateau qui prend le chenal pour sortir du port. Karagar a insisté pour que je prenne cette photo et il a eu raison je pense.

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Et une vue panoramique sur Plouhinec.

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Ce fut court, ce fut bon, les amis !

19 mai 2006

Coup de vent

Ce matin, j'ai pris mon bâton de pélerin pour aller prêcher la bonne parole à Ambleteuse (Pas-de-Calais). C'était la tempête. Après la conférence en début d'après-midi, et comme le vent ne s'était pas calmé, je suis allé photographié le "fameux" fort Mahon de Vauban. Dommage, ce n'était pas marée haute.

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2 mars 2008

Dimanche de voyage à domicile

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La préparation du couscous cornuso-fromfromien avait été initiée hier soir, parce qu’il paraît que c’est meilleur si c’est fait la veille (et je crois pourvoir vous dire que c’est vrai).

Ce dimanche, c’était la fête à H. Comme tous les premiers dimanches du mois, le musée était ouvert. Ce musée municipal qui accueille notamment quelques peintures flamandes intéressantes se situe dans l’ancien couvent des Augustins construit au début du XVIe siècle.

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Après la visite du musée, nous sommes allés voir une exposition-vente de peintures, sculptures et photos dont certaines étaient intéressantes. Attenantes au musée, nous y avons découvert une salles absolument splendide, avec un bel escalier d’entrée.

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Nous sommes ensuite allés sur la place où le folklore battait son plein.

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Les géants étaient aussi de sortie.

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7 avril 2008

Ypres avant la neige

Hier, nous avons fait une incursion à Ypres en Belgique pour montrer le centre de la ville à mes parents, notamment avec sa halle aux draps et son Beffroi que nous avions déjà montrés. Voici néanmoins des photos inédites.

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Au passage, nous avons fait la connaissance de curieuses et inquiétantes créatures qui nous ont fait les gros yeux.

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Nous avons ensuite regagné la Flandre intérieure française où la neige nous attendait. Rien de grave néanmoins, contrairement au voisin boulonnais (jusqu'à 40 cm de neige).

6 octobre 2008

Couleurs d'automne

Le week-end dernier, quelque célébration de l’automne nous a entraîné dans un voyage ferré éclair sur les terres éduennes. Cela a donc été l’occasion de constater que l’automne ne faisait que commencer, puisque les fleurs domestiques jouaient les prolongations.

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Dans les espaces moins civilisés, la chlorophylle abandonne les arbres petit à petit.

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Samedi soir, l’obscurité froide fige les roses, annonçant la gelée du lendemain matin.

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Avant le regagner les latitudes plus septentrionales, deux petites photos bocagères dont l’été aurait pu se satisfaire.

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23 août 2009

Ergué-Gabéric

Le lendemain, on découvrait que je ne connaissais pas certains édifices de l’est quimpérois. Nous voilà partis pour Ergué-Gabéric. On veut négliger de nous montrer l’église paroissiale (Saint-Guinal), car elle est fermée en permanence. En la longeant, surprise, la porte est ouverte. Nous pensons immédiatement à Madame K qui nous avait conté les difficultés qu’elle avait eues pour venir la visiter. Nous apprendrons que l’édifice était ouvert durant toute la période estivale.

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Alors que S. commençait à s’adonner à d’érudites explications (alors qu’elle ne connaissait pas l’église avant ça), la jeune femme qui faisait office de guide, intriguée, s’approche. Bien que non spre*viste, elle vient faire allégeance devant S. la Science. Celle-ci lui indiqua d’abord que le Saint-Herbot était un faux et devait cacher un ancien Saint-Antoine.

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Ensuite, sur le vitrail S. réussit à résoudre un mystère qui intriguait la guide : un séraphin (à six ailes) portant un crucifix au centre du remplage (à peine visible ici, le gros plan ayant été raté faute de trépied) sur la scène montrant deux donateurs accompagnés de leur saint patron dont saint François d’Assise. Or grâce à la récente lecture d’un roman historique sur les Franciscains, S. a résolu l’énigme : le séraphin est apparu à saint François lorsqu’il a reçu les stigmates. La guide ne pouvait que se prosterner devant S. la Science et la remercier pour les trois siècles à venir.

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Nous poursuivons ensuite vers notre objectif initial, la chapelle Notre-Dame de Kerdévot. Inutile de dire que j’ai aimé, y compris, une fois n'est pas coutume, les dorures, le retable... Et ce calvaire aux couleurs changeantes, je ne vous raconte pas.

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A la sortie, un petit tour par le marché bio qui s’était installé devant la chapelle pour la fin d’après-midi. Le kilogramme de tomates bio 4 €, de qui se moque-t-on ? Nous achèterons une bouteille de chouchen fermier, non estampillée bio, mais qui fut un délice.

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Cornus rex-populi
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