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Cornus rex-populi

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14 juin 2008

Le Cépiau (1)

Voici, en première mondiale, le premier et court épisode d’une insignifiante et maladroite fiction. Mes lecteurs me pardonneront-ils ?

Le Cépiau était un homme assez petit, osseux, non pas maigre, mais il possédait un squelette saillant. Il était loin de disposer d’un corps « bodybuildé » et prétentieux, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir des muscles d’acier. Pour s’en assurer, il fallait l’avoir vu enfoncer des piquets de clôture à la masse ou abattre un vieux châgne de pian à la cognée. L’hiver habitait en lui puisqu’il était presque systématiquement habillé de gris, des vêtements non pas gris par essence, mais qui s’étaient délavés en cette couleur à force d’exposition aux intempéries. L’avait-on vu un jour arborer des vêtements neufs ? Personne au village ne le savait. Et puis, il y avait ce chapeau de feutre noir qu’il portait en permanence et qu’il lui avait valu son nom. Un chapeau à larges rebords qui lui permettait de se protéger à la fois des pluies froides et des rayons brûlants du soleil estival.

Le Cépiau était un homme sans âge, c’est-à-dire que parmi les villageois, personne n’était en mesure de lui donner un âge. Cela s’expliquait par son allure, ses vêtements qui le vieillissaient incontestablement. De plus, comme il passait une bonne partie de son temps en plein air, à travers les bois, le bocage, le long des rivières, par tous les temps, le soleil et la pluie, malgré les rides creusées, avaient poli sa peau. Cependant, tout bien pesé, on s’accordait à penser qu’il devait avoir une quarantaine d’années. Le Cépiau avait un visage plutôt fin, avec de grands yeux gris clair. Avec ses sourcils noirs et épais, cela lui donnait un air extrêmement sévère et ce regard lui permettait de fusiller tous ses adversaires potentiels. Il disposait aussi d’un nez assez grand mais élégant, légèrement busqué. Ce nez était un de ses outils indispensables à l’exercice de ses talents puisqu’il avait un odorat extrêmement développé.

Le Cépiau habitait Les Ravatins, une ferme isolée à l’orée de la forêt. Une immense forêt sombre où seuls les bûcherons et les chasseurs osaient s’aventurer. Pour arriver chez lui, il fallait emprunter un long chemin de terre plus ou moins bien empierré et où les ornières étaient fréquentes et ralentissaient la progression des voitures. En contrebas, coulait la Canche, une magnifique rivière qui serpentait parmi les grandes prairies du Comte et où paissaient dans l’herbe toujours verte, plusieurs troupeaux de charolaises.

Le Cépiau avait un atelier au village, il était ébéniste (dans son jeune âge, il avait été compagnon du tour de France). Il ne faisait qu’y travailler, notamment les quatre premiers jours de la semaine. On ne savait jamais où il se trouvait entre son atelier, son domicile, la visite à ses clients, les déplacements avec les marchands de bois et même l’ingénieur des eaux et forêts lorsqu’il s’agissait d’aller choisir un arbre sur pied. Il se déplaçait indifféremment à vélo, en cyclomoteur, en camionnette, et bien souvent à pied. Bref, il était insaisissable. Le seul instant où on était sûr de le trouver, c’était le lundi matin à son atelier. Et le reste du temps, il exerçait une autre activité clandestine. Non pas une activité criminelle, non pas une activité rémunératrice, mais une activité néanmoins répréhensible.

A suivre.

* châgne : chêne, le plus souvent, dans cette situation, Quercus robur L. (Chêne pédonculé).

* pian : synonyme de bouchure, haie.

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13 juin 2008

GM et UP

Je poursuis l’évocation des personnes qui ont compté dans mon parcours universitaire et professionnel.

Comme je l’ai évoqué ici, j’avais été piégé par YBB. J’étais allé à un entretien où la personne recherchait un jeune auquel il pourrait confier une première étude de synthèse sur la flore et la végétation de la Loire. Cette personne était, c’était GM. Il avait besoin de quelqu’un qui avait de bonnes aptitudes en botanique. Je fus donc choisi. C’est alors que débuta une longue suite de collaborations. GM était en poste à Orléans depuis peu. Il venait du sud-est de la France et avait beaucoup travaillé en région Rhône-Alpes. Plus jeune, il avait travaillé sur le Rhône avec le professeur UP. Ce dernier était toujours en poste à Grenoble et c’est grâce à lui que je pus réaliser, quelques mois plus tard, mon DEA. Bien que semblant sympathique, le professeur UP était quelqu’un qui me parut au premier abord, difficile à appréhender sur le plan scientifique. Néanmoins, après qu’il m’eut « livré » quelques références bibliographiques, je m’aperçus de l’avance scientifique considérable dont le Rhône et ses affluents avaient fait l’objet par rapport à la Loire. En gros si je puis dire, en 1996, la Loire n’avait pas atteint le niveau de connaissances et d’expertise que le Rhône avait en 1970 ! Il faut dire que le fleuve alpin avait bénéficié de puissants programmes de recherches pluridisciplinaires, notamment dans le cadre de son aménagement hydroélectrique. Autrement dit, il jouissait de ce qui le détruisait. Alors que la Loire restait peu aménagée et tout le monde semblait s’en détourner. Heureusement, un plan gouvernemental allait sortir le fleuve royal de sa torpeur, inaugurant son retour en grâce auprès du grand public. Cela se traduisit notamment par le trop fameux et mal compris « dern*ier fleu*ve sau*vage d’Europe » et par la renaissance des bateaux traditionnels…

Toujours est-il que GM et UP me firent confiance. Les cours du DEA avaient lieu à Marseille car la formation était commune à quatre universités. Je me souviens de mes « chers collègues » pour la plupart fraîchement issus de maîtrises très académiques. De mon côté, j’avais deux ans d’interruption dans les pattes dont un an de service militaire. Je ne voyais pas les choses de la même manière que les autres. Je fus surpris par l’esprit de compétition des autres. En définitive, ces « excités » du bachotage n’eurent pas des résultats extraordinaires. En ce qui me concerne, grâce à GM, je fis mon stage sur la Loire. En démarrant ce stage, UP me remit un document (une sorte de synthèse de 25 ans de travaux sur le Rhône) devant lequel je fus stupéfait d’admiration. Ce document allait pour ainsi dire devenir un livre de chevet, un guide, un inspirateur, une boîte à idées… Mon DEA fut soutenu dans de bonnes conditions et je n’eus que des retours positifs. Mais j’étais frustré, et il fallait que je mette un projet plus ambitieux en action : une thèse. GM et UP allaient m’y aider. Dans l’idéal, UP aurait été le directeur ou co-directeur de thèse parfait, mais celui-ci allait prendre sa retraite un an plus tard, ce qui faisait trop court. Pourtant ma thèse, même si elle ne ressemble à aucune autre, allait être fortement influencée par les travaux d’UP.

Entre temps, GM était progressivement devenu un ami. Il n’était pas seulement un ami, il m’avait mis le pied à l’étrier, m’avait guidé vers la maturation professionnelle. Je crois bien que malgré lui, il m’a appris la plupart des ficelles professionnelles, tous ces petits riens qui font que l’on devient crédible.

Bref, c’est grâce à l’action conjuguée d’YBB et de GM que je me suis fait un nom dans le microcosme dans lequel j’évoluais. On essaiera de me le faire payer plus tard, avec une rare petitesse.

11 juin 2008

Concours des « insolites »

Hier, j’étais à nouveau sur le terrain. J’y ai vu pas mal de choses intéressantes. Voici quelques photos montrant des plantes qui peuvent apparaître « insolites ». A vous de deviner.

A :

A

B :

B

C :

C

D :

D

E :

E

9 juin 2008

Soulagement

Nous revenons de loin. J’étais épouvantablement stressé par le fait que les déménageurs avaient  décidé de nous filer entre les doigts ou de nous empoisonner l’existence. Heureusement ce soir, je crois que nous sommes tombés sur le bon. Il était temps car le déménagement est annoncé pour dans à peine plus de quinze jours.

Dictamnus albus L. (Fraxinelle blanche) :

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8 juin 2008

YBB

J’ai déjà évoqué combien certaines personnes avaient compté dans ma vie estudiantine et professionnelle. Aujourd’hui, je souhaite parler d’une personne (YBB) qui n’a jamais été véritablement un modèle pour moi, mais qui a eu une importance majeure. Je l’ai connu il y a près de 18 ans, alors que je débutais mes études à Tours. En tant que professeur d’université, YBB enseignait, entre autres, la biologie du développement, autrement dit l’embryologie, sujet dont il s’était fait le spécialiste chez les amphibiens. Son cours était assez brouillon. Il dessinait au tableau des embryons dans toutes les positions. Il écrivait extrêmement mal. Néanmoins, il avait quelque chose d’attachant dans sa nonchalance apparente et puis il avait attisé ma curiosité lorsqu’une fois, il avait évoqué toutes les disciplines que recouvraient les sciences naturelles.

Deux ans après notre première rencontre, je retrouvais YBB en maître de cérémonie à la tête d’une nouvelle formation, créée un an plus tôt, sur les fleuves et les milieux aquatiques. Dès lors, sans le savoir, mon avenir était tracé. Je n’étais pas particulièrement passionné par les matières qu’il enseignait, mais je me débrouillais plutôt bien. Par ailleurs, un autre enseignant (de botanique) avait dû lui parler de moi en bien puisqu’un jour il parla de moi en public en termes élogieux. Évidemment, cela me fit plaisir, mais en même temps, j’eus pour la première fois le sentiment que je n’étais pas à la hauteur de cette réputation. Alors que j’effectuais ma soutenance de stage de maîtrise de sciences et techniques, il voulait me proposer un boulot. Malheureusement, j’étais programmé pour aller effectuer mon service militaire dans les jours qui suivaient.

Dix mois plus tard, alors que j’étais encore en train de manœuvrer du côté de Belfort, YBB téléphona à mes parents pour leur dire qu’il avait un travail à me proposer. A peine libéré, je me retrouvais donc à Chinon pour participer à une étude écologique. C’est alors qu’il commença à me parler de poursuites d’études. J’y étais opposé. Quelques jours plus tard, son intervenant en botanique pour ses stagiaires de formation continue ayant déclaré forfait, il me proposa d’assurer moi-même les cours et TP. Il fallait que je sois à la hauteur. Inutile de dire que le stress fut intense, mais je réussis à me débrouiller de façon honorable. Quelques semaines après, il revint à la charge en me proposant d’aller à un entretien pour rencontrer quelqu’un qui voulait initier un travail sur la flore et la végétation de la Loire, avec la possibilité de le faire dans le cadre d’un DEA. L’entretien avec cette personne se passa bien et je fus coincé : je n’avais plus le choix que d’accepter le boulot et de poursuivre des études…

Plus d’un an plus tard, YBB joua un rôle majeur dans l’obtention du financement de ma thèse, ce qui lui causa d’ailleurs quelques inimitiés ou jalousies supplémentaires. Je n’en dis pas plus, mais la recherche de ce financement fut un véritable parcours du combattant pour moi et j’ai pu alors toucher du doigt combien le système universitaire était un véritable panier à crabes ou la combine était la règle. YBB, lui, naviguait avec aisance dans ce système. Il ne se fâchait jamais. Quand il avait une idée derrière la tête, il ne renonçait jamais. Même quand on lui opposait un refus catégorique, il essayait de contourner la difficulté en empruntant une voie inédite. Il faut dire que l’homme avait une connaissance intime des rouages du système et des personnes et n’avait peur de rien.

Ce panache avait son revers, c’était quelqu’un de très mal organisé, autrement dit de bordélique. Ce qu’il intéressait, c’était d’avancer, les détails techniques l’ennuyaient. Un ami doctorant en fit les frais. Pour éviter d’être toujours débordé, et comme il devint mon directeur de thèse, je pris toujours les devants. J’anticipais toujours les urgences pour éviter d’être submergé au dernier moment. Je préparais le travail et il n’avait plus qu’à valider. Il faut dire que cela m’arrangeait aussi beaucoup qu’il n’y connaisse pas grand chose en botanique et en écologie végétale (je précise que j’avais une co-directrice de thèse qui, elle, faisait plus que s’y connaître).

Avant la soutenance de ma thèse, YBB voulait me trouver un poste à l’université. Seul un problème de calendrier et une motivation limitée de ma part l’en empêchèrent.

Enfin, le jour de la soutenance de ma thèse, il sut retracer avec émotion mon parcours et bien sûr, il ne manqua pas de me complimenter.

Alors, je crois pouvoir dire que j’ai eu une chance inouïe de croiser ce monsieur sur ma route. En rédigeant ce texte, je remets en perspective toutes les actions positives qu’il a eues sur moi. Et de me dire que les personnes qui ont été autant soutenues par un professeur d’université doivent être bien rares. Cela reste quand même mystérieux. Pour ma part, j’essaye d’une certaine manière, de lui rendre hommage en soutenant les stagiaires qui passent entre mes mains.

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6 juin 2008

Déplacements végétalisés

Depuis le début de la semaine dernière, j’ai été souvent en déplacements. J’ai dû subir parfois la fatigue d'une angine ayant muté en otite, mais j’ai aussi pu avoir d'autres satisfactions non négligeables. Voici quelques images que j’ai pu glaner au fil de mes pérégrinations.

Dans le bassin minier :

Cynoglossum officinale L. (Cynoglosse officinale) :

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Carex pseudocyperus L. (Laîche faux-souchet) :

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Ophrys apifera Hudson (Ophrys abeille) :

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Dans une forêt de l’Avesnois :

Un lieu où je dus combattre et terrasser le mal sylvicole qui s’était mis dans la tête d’éclaircir des arbres qui se débrouillent très bien seuls. Des travaux qui auraient risqué de détruire la rare Equisetum sylvaticum L. (Prêle des bois) :

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Phyteuma nigrum F.W. Schmidt (Raiponce noire) :

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Hier, j’étais dans l’estuaire de la Seine. En attendant une solution au blocage par les pétroliers des grands ponts de Normandie, nous eûmes une vue sur le château de Tancarville :

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Ayant enfin rejoint l’autre rive de la Seine, nous grimpons près du phare de la Pointe de la R*oque d’où nous pouvons observer les ponts en questions et les prairies inondables plus ou moins halophiles :

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Les bateaux de mer passent, comme posés sur l’eau :

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Une cigogne blanche se montre également :

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Plus tard, descendus de notre poste d’observation, nous abordons une berge de la Seine :

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Avec Bolboschoenus maritimus (L.) Palla (Scirpe maritime) :

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Et Glaux maritima L. (Glaux maritime) :

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Aujourd’hui, dans une des plus belles vallées de l’Artois sud-occidental, rencontre avec des boisements de grand intérêt :

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Avec Thelypteris palustris Schott (Fougère des marais) :

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Une première demoiselle :

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Potentilla palustris (L.) Scop. (Comaret des marais) :

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Dactylorhiza praetermissa (Druce) Soo (Dactylorhize négligé) :

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Rhinanthus angustifolius C.C. Gmelin subsp. grandiflorus (Wallr.) D.A.Webb (Grand rhinanthe) :

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Pour terminer avec une autre demoiselle :

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31 mai 2008

Bouquet de concours

Hier soir, rien ni personne ne m’avait énervé. Pourtant, j’ai quand même pris le temps d’aller aux jardins. Je dédie ces beautés à mon extraordinaire S. qui a bien sûr réussi à l’écrit de son concours. Pour l’oral, je demande à mes lecteurs de lui dire et de lui répéter qu’elle est LA meilleure, car tout le monde sait que c’est vrai.

Nerium oleander L. (Laurier-rose) :

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Hemerocallis lilioasphodelus L. (Hémérocalle jaune) :

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Aruncus dioicus (Walter) Fernald (Barbe-de-bouc) :

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Centranthus ruber (L.) DC. (Centranthe rouge) :

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Anthyllis vulneraria L. (Vulnéraire) :

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Bourdon sur Symphytum officinale L. (Consoude officinale) :

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Orlaya grandiflora (L.) Hoffm. (Orlaya à grandes fleurs) :

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Agrostemma githago L. (Nielle des blés) :

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Digitalis purpurea L. (Digitale pourpre) :

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Hieracium aurantiacum L. (Piloselle orangée) :

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Centaurea cyanus L. (Bleuet) :

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26 mai 2008

Fidélité

Aujourd’hui, j’ai reçu une carte en réponse à ma lettre de condoléances à propos du décès du « Grand Monsieur ». Une réponse émouvante. Vendredi, j’ai envoyé un texte à insérer dans une sorte de journal au sujet du même décès. Aussi court soit-il, c’était la première fois que je rédigeais une nécrologie et cela n’a pas été facile, mais je crois avoir été fidèle à ce qu’il était.

Voici une image de la ville à laquelle je l’associe pour toujours. La fidélité pour le fleuve qui coule à ses pieds et que nous partageons pour toujours.

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25 mai 2008

Première approche en vue d'appropriation

Cette semaine, afin de se faire une meilleure idée de notre futur logis, nous nous sommes faits inviter par les actuels propriétaires. Le principe était de passer quelques minutes pour voir comment, d’une manière générale, nous pourrions disposer nos meubles et organiser notre espace de vie. Je demandais donc l’autorisation pour prendre des photos puisqu’ils y ont encore tous leurs affaires. Après le tour de la maison, on nous a offert l’apéritif. La phrase fétiche « nous, on a fait comme ça, mais après les gens, y font ce qu’y veulent » nous fut servie à de nombreuses reprises, mais avec quelques variantes. En définitive, nous sommes restés deux heures en leur compagnie. Les escaliers pour monter au premier sont toujours aussi étroits, mais je les ai ressenti moins oppressants que la première fois. En revanche, je jardin que je savais petit m’est apparu plus réduit que lors de la visite initiale. Les maîtres de la maison ont la passion des conifères et de quelques pseudo nains de jardin. Inutile de dire que ces machins là gicleront à la première occasion comme les lauriers et leurs cousins. Voici une partie du jardin en question.

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20 mai 2008

Spéciale 20 mai aux jardins

Cet après-midi, comme il faisait beau et comme j’étais sérieusement agacé par ce que j’étais en train de faire, je me suis sauvé dans les jardins pour me calmer.

Ranunculus acris L. (Renoncule âcre) [photo volontairement floue]

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Viburnum opulus L. (Viorne obier)

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Hippuris vulgaris L. (Pesse d'eau)

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Nymphoides peltata (S.G. Gmelin) O. Kuntze (Faux nénuhpar)

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Ranunculus peltatus Schrank (Renoncule peltée)

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Carex dioica L. (Laîche dioïque)

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Astragalus monspessulanus L. (Astragale de Montpellier)

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Phyteuma orbiculare L. (Raiponce orbiculaire)

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Crambe maritima L. (Chou marin)

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Scabiosa columbaria L. (Scabieuse colombaire)

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Tetragonolobus maritimus (L.) Roth (Lotier maritime)

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Thalictrum aquilegiifolium L. (Pigamon à feuilles d’ancolie)

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Dianthus gratianopolitanus Vill. (Œillet bleu)

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Digitalis purpurea L. (Digitale pourpre)

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Veronica austriaca L. subsp. teucrium (L.) D.A. Webb (Véronique germandrée)

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Iris sibirica L. (Iris de Sibérie)

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Iris pseudacorus L. (Iris faux-acore)

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Sambucus nigra L. (Sureau noir)

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