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Cornus rex-populi
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31 août 2019

Vacances juillettistes 2019 (6)

Je le connaissais d’apparence générale pour l’avoir vu en photo et pour être passé quelquefois à proximité lors de certains de mes déplacements entre Chinon et Autun (route alternative que j’ai rarement prise). Il est assez connu et est inscrit, avec pas mal d’autres « châteaux de la Loire », sur la liste, encore longue, de ceux que j’aimerais visiter. Ce fut donc cette fois-ci le tour du château de Valençay (Indre).

Installé à l’emplacement d’une villa gallo-romaine, il semblerait que deux édifices féodaux se soient succédés aux X-XIe s. puis au XIIe s. avant que n’arrive une construction au XVe s., laquelle est gommée par le château « Renaissance » des XVI-XVIIe s. que l’on connaît à peu près extérieurement aujourd’hui. Vers 1800, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord l’achète et fera des travaux à l’intérieur. Il rénovera d’ailleurs les grands escaliers en réalisant des marches de faible hauteur compte tenu de son pied-bot, ce qui fut bien pratique également pour Fromfrom.

Le château appartient à une collectivité publique. Nous ne prîmes pas la visite guidée, car il n’y en avait pas le matin et cela nous aurait trop retardé. Il ne faisait pas encore une chaleur totalement étouffante, mais il faisait quand même très chaud. Après avoir bu un coup en sortant, nous croisâmes un groupe de sœurs (bénédictines il me semble) en tenue en convoi dans plusieurs fourgons à neuf places. Comment faisaient-elles pour supporter une telle chaleur ?

Honnêtement, j’ai plutôt bien aimé le château, mais je n’ai pas été ébloui non plus. La sécheresse faisait aussi que je n’ai pas été spécialement attiré par les jardins, partiellement bien secs. Restaient quelques bricoles amusantes de la vie de Talleyrand, dont pas mal d’objets ou de costumes qui lui appartenaient et les pièces où fut emprisonné le roi d’Espagne à l’époque napoléonienne.

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Val-6Copie du buste de marbre de Talleyrand par Desprez (1838)

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Table des réunions officielles de Talleyrand.

Val-7Bureau-secrétaire de Talleyrand.

Val-8Reconstitution de la table de la période de Talleyrand.

Val-10Cuisine (deux grandes pièces séparées).

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Val-13La cave de Talleyrand.

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30 août 2019

Foot-oir

Depuis quelques semaines à peine, j’entends parler dans les actualités radiophoniques surtout de matchs de football qui sont momentanément interrompus par les arbitres pour cause de propos homophobes et quelquefois racistes.

D’après ce que j’ai compris, de telles interruptions de matchs seraient un phénomène nouveau, mais les propos ou banderoles ne le seraient pas du tout, même si en plus de l’énorme bêtise collective initiale, le phénomène aurait été amplifié très récemment suite à l’intervention de ministre(s) ou autres responsables, par provocation.

Cela me pose plusieurs questions :

  • si de telles pratiques existent effectivement depuis longtemps, pourquoi de telles mesures n’ont-elles pas été prises avant ?
  • de telles mesures ne sont pas efficaces, donc pourquoi ne prend-on pas des mesures plus efficaces comme l’annulation pure et simple du match, le fait de jouer à huis clos… ? Et pourquoi ne pas poursuivre les personnes en cause facilement identifiables ? Et pourquoi peuvent-elles avoir des banderoles ? Enfin, si je comprends pourquoi on ne le fait pas, c’est une question financière ;
  • est-ce bien à un arbitre de prendre de telles mesures ? N’est-il pas là pour réguler le jeu et non pour gérer les supporters ?
  • comme suite à des problèmes de violence de supporters et autres « ultras », il avait été décidé il y a quelques années, d’éviter que certains groupes de supporters se retrouvent ensemble dans les tribunes en attribuant des places de manière plus ou moins aléatoire. J’avais appris qu’on était revenu sur cette pratique prétendument pour mieux circonscrire et surveiller les groupes de supporters problématiques, mais pour ma part, je pense que ce retour en arrière est d’ordre financier, puisque comme on le voit, la situation reste problématique ;
  • pourquoi tolère-t-on encore trop dans le football la moindre contestation, même mineure, des décisions de l’arbitre ? Même si le football n’est sans doute pas le seul sport où l’on puisse voir ça, cela semble quand même plus répandu qu’ailleurs. Je pense même que les sanctions devraient être beaucoup plus nombreuses, et bien plus radicales ;
  • quand en finira-t-on avec la « beaufitude » exacerbée des supporters ?
  • comment peut-on envisager (dixit la ministre – je n’en ai pas cru mes oreilles) l’existence d’insultes tolérables de celles qui ne le seraient pas ? J’ignorais que les insultes pleuvaient à ce point lors des matchs et je trouve cela intolérable.

 

Je n’aime pas le football (ce n’est pas congénital, mais c’est une chose qui remonte loin dans mon enfance), mais je comprends que l’on puisse aimer. Mais pour moi, même si on ne révolutionne pas le scandaleux modèle économique mondialisé de ce sport (qui me met hors de moi en premier lieu mais je sais bien que rien ne changera, hélas), on devrait au minimum éradiquer toute forme de violence physique, verbale et visuelle dans ce jeu de cirque.

28 août 2019

Une lettre de 69 ans

J’ai retrouvé une lettre chez mes parents (qui n’était pas perdue mais aurait pu être mise à la poubelle) que ma grand-mère Jeanne a écrite le 24 novembre 1950 à son fils aîné (André) qui faisait son service militaire en Allemagne. Ce fils, elle ne l’avait revu tout au plus que quelques rares fois depuis 1940 et sans doute en coup de vent. Il vivait avec son père et était aussi sous l’emprise du curé de la paroisse (La Celle-en-Morvan), sa mère étant considérée dans tout le village comme une mauvaise mère suite à son divorce. A l’époque, les mères n’avaient pas les droits qu’elles ont aujourd’hui, surtout avec un père déficient. Heureusement, mon père et sa sœur avait suivi leur mère dans la Loire (Rive-de-Gier) suite à la mutation du nouveau futur mari de ma grand-mère (Maurice Renault). Et puis, c’était la guerre et on ne peut définitivement pas comparer avec la situation actuelle…

Cette lettre est la seule du genre et elle a avait été retrouvée chez le père d’André car André est mort en 1986 (de mémoire) et avait donc dû récupérer cette lettre à sa mort, laquelle a été conservée jusqu’en 1991.

Je reproduis donc la lettre de ma grand-mère, en retirant les fautes d’orthographe (elle n’était allée à l’école que jusqu’à 12 ans) et en ajoutant la ponctuation. Elle a 44 ans lorsqu’elle écrit à son fils de 20 ans. En italique entre accolades, des précisions de ma part.

 

Rive-de-Gier, vendredi 24 novembre

Mon Cher André,

Depuis quelques jours, je remets à t’écrire, mais le temps passe, ce n’est pas pour cela que tu es oublié, bien au contraire, nous parlons de toi et nos pensées de suivent. Aujourd’hui, nous avons reçu une lettre de notre mémère {la mère de ma grand-mère, restée dans le village du Morvan} qui nous donne ta nouvelle adresse. Nous sommes heureux de te savoir en bonne santé. J’espère que tu ne seras pas trop malade de tes piqûres ; tu nous raconteras cela car j’espère que tu nous donneras toi-même de tes nouvelles. Si tu as besoin de quelque chose, dis-le car tu sais bien que tu es pour moi et même Maurice, autant que ton frère et ta sœur : tu nous diras ta vie à la caserne et si tu es bien nourri. J’espère que vers toi, il ne fait pas trop mauvais, ici il pleut un peu mais presque rien et pas froid, c’est toujours ça. Roland {mon père qui avait 14 ans} travaille bien à l’école, toujours quelques fautes ; il est 9e sur 33, ce n’est pas bien mal. Il fait 2 heures d’atelier par jour, enfin il te racontera, je le ferai écrire. Mireille {ma tante, alors âgée de 11 ans} fait ce qu’elle peut, mais n’a pas encore eu de classement. Quant à ton beau-père, lui roule toujours {mécanicien SNCF sur machines à vapeur, autrement dit, l’équivalent des conducteurs de train actuels} et moi comme d’habitude, je reste à la maison.

Je vais te quitter mon Cher petit André en te disant surtout fais bien attention à toi et prends soin de ta santé. Nous nous joignons tous les quatre pour t’envoyer toutes nos amitiés et nous t’embrassons tous bien fort.

Ta maman qui ne t’oublie pas et à bientôt de tes bonnes nouvelles.

Excuse mes fautes.

Jeanne

Voici l’adresse : Renault – 35 grande rue Feloin, Rive-de-Gier, Loire.

 

J’avais déjà vu cette lettre auparavant, mais je ne l’avais pas lue, contrairement à cette fois. Et certains mots m’ont ému. Ma grand-mère faisait semble-t-il un nouvel effort pour entrer en contact avec son fils aîné, profitant peut-être qu’il était au service militaire, donc pas sous l’influence de son père et du curé. Je ne sais pas s’il lui a répondu cette fois-ci, mais je sais qu’il n’y a presque plus jamais eu de contact puis plus du tout après. Il refusait le contact avec ses frère et sœur. Il est mort quand j’avais 16 ans et je n’ai jamais entendu ma grand-mère parler de lui (ni de mon grand-père biologique, mais ça c’est davantage compréhensible). Cela a été une blessure épouvantable pour elle, de sorte qu’elle avait fini par faire un « black-out » complet et définitif.

24 août 2019

Treize ans après

Lundi, c’était l’anniversaire de notre de mariage civil. Le temps passe vite. Que puis-je retenir de ces treize années de vie commune ? Ce nest quune réflexion rapide, pas une analyse poussée.

Pas d’enfant, mais ce n’était pas une idée essentielle et fondatrice de notre couple d’après moi. C’est quelque chose que nous aurions pu envisager si dès notre rencontre, notre situation professionnelle et matérielle avait été plus assurée dès le départ, et ensuite si l’âge et les conditions avaient été optimaux. Si je fais référence à cette forme de « timidité » par rapport au « désir d’enfants », c’est aussi parce que cela tranche avec ce que je peux observer au quotidien (mères sans formation ni emploi, parents dans certaines formes de précarité professionnelle et matérielle et aussi, plus récemment, l’exemple d’une mère malade qui risque notoirement sa santé et celle de l’enfant à naître).

Le fait d’être sans enfant me procure parfois le sentiment d’une certaine forme de manque, de me sentir « incomplet » par rapport à la grande majorité des personnes. Ainsi, je ne transmettrai rien à mes descendants, mais cela ne devrait pas me préoccuper car je me moque pas mal des lignées familiales : les gens sont ce qu’ils sont, pas parce qu’ils sont nés ; c’est en principe comme cela depuis 1789 même si le principe est régulièrement remis en cause. Les enseignants ont l’avantage d’avoir « leurs enfants », ce qui leur permet d’autres formes de transmissions. Calyste évoque régulièrement la chose et Fromfrom en parle aussi et je trouve ça chouette. Et puis il y a d’autres façons de transmettre par ses écrits, plus généralement par son travail (professionnel ou extra-professionnel) ou tout simplement par sa façon d’être ou de vivre. Je ne vis pas pour l’image que je donnerai quand je ne serai plus là car par définition, je ne serai plus là pour le vivre. Je ne vais pas dire que je ne me préoccupe pas de mon image (actuelle), notamment sur le plan professionnel, car j’ai aussi à affronter des formes d’adversités où la forme, qu’on le veuille ou non, joue un rôle relativement important.

Il n’en reste pas moins que j’ai eu plusieurs fois la désagréable impression, de la part de certaines personnes, d’être moins bien considéré par le fait de ne pas être parent. Ce n’est heureusement pas quelque chose de fréquent ni quelque chose qui apparaît dans mon environnement proche (amis, familles, collègues…). Mon ancien directeur, lui aussi sans enfant, disait non sans humour (ni sans raison objective) que la meilleure solution pour « sauver » la diversité serait la pilule contraceptive… Je ne puis qu’approuver, mais ce serait un peu trop facile pour moi d’en tirer un titre de gloire.

J’ai découvert le Nord il y a 17 ans. Ce n’était pas mon envie géographique première que d’y aller m’y installer, mais sur le plan professionnel, mon employeur jouissait d’une réputation bien réelle qui faisait et qui fait encore rêver beaucoup de botanistes. Au fur et à mesure du temps, j’ai trouvé mes « aises » professionnelles. Ces « aises » d’encadrant m’ont d’ailleurs fermé d’autres opportunités dans d’autres organismes analogues dans d’autres régions moins septentrionales (en même temps que je renonçais définitivement à la possibilité d’une carrière universitaire). C’est ainsi qu’après la rencontre avec Fromfrom, il me paraissait plus que risqué d’aller tenter un avenir professionnel ailleurs. C’est donc Fromfrom qui a quitté sa région natale… Elle s’en est très bien sortie. Elle qui était très encline à se dévaloriser sans cesse a réussi et est surtout une enseignante talentueuse. Honnêtement, elle m’impressionne, mais ne luis répétez pas ! Et à présent, elle se « bat » syndicalement parlant : qui aurait pu croire ça ?

A présent, l’éloignement de nos parents respectifs nous pèse de plus en plus, surtout avec leur santé de plus en plus précaire…

Mis à part ça, bien des choses sont positives. Nous pourrions être plus ceci, plus cela, moins ceci, moins cela… mais globalement, on s’en sort pas mal. Je pense que dans notre douce « folie », nous sommes « équilibrés ». Fromfrom et moi avons beaucoup de différences, mais tellement de points de convergence, tant et si bien que la côté fusionnel qui nous caractérise (je parle pour nous deux) nous font assez souvent réagir aux événements comme si nous étions un(e) seul(e). C’est à la fois complexe et très simple !

18 août 2019

Silence internautique

Ravitaillé par les corbeaux internautiques, je n’ai pas assez de débit pour consulter correctement les blogs et afficher les photos depuis plusieurs jours et la situation ne cesse de s’aggraver. Sauf miracle, je serai donc plus ou moins silencieux durant plusieurs jours.

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15 août 2019

Vacances juillettistes 2019 (5)

Pour terminer le séjour breton, voici quelques photos de paysages « naturels ».

Toujours le moulin à marée du Hénan.

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Quelque part dans la campagne de Trégunc, nous croisons quelques Tournesols. Je n’en avais presque jamais photographiés. D’abord les trois Dalton (Joe n’est pas dans le cadre) puis Joe tout seul : le compte est bon !

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Quelques photos du côté de la plage de don à Trégunc. A noter que j’ai pu remarquer que les touristes commencent à arriver en masse vers 11 h 30, en plein cagnard. L’écrasante majorité est finistérienne à en croire les plaques d’immatriculation.

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L’Immortelle des dunes.

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Le lendemain soir, passage par la chic plage de Port Manech (Névez) que j’aime pour plusieurs raisons : pas grande, à l’abri du vent, avec de jolis rochers et marquant joliment l’embouchure de l’Aven. Malgré l’heure (après 18 heures), la plage n’était pas encore trop désertée. Eh bien oui, les touristes partent en masse à une heure où à mon sens il est plus judicieux d’aller se baigner, ce que j’ai fait.

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11 août 2019

Vacances juillettistes 2019 (4)

Le dimanche après-midi, après un repas pantagruélique de coquillages et de crustacés chez la duchesse mère, nous décidons de nous rendre, une nouvelle fois au Faouët, mais uniquement à la chapelle Saint-Fiacre cette fois. Voir le précédent épisodes ici.

Et voici de nouvelles photos.

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8 août 2019

Vacances juillettistes 2019 (3)

Revenons un peu en Normandie. Après la cathédrale de Lisieux et comme Fromfrom semble tenir le choc, direction Saint-Pierre-sur-Dives et son abbaye. L’édifice principalement gothique, mais il existe des éléments antérieurs. L’abbatiale est des XI-XVe s. Il y a hélas des travaux près de la façade et la lumière est guère favorable de ce côté-ci à cette heure de la journée. Heureusement, le logiciel me permet de « récupérer » à peu près la photo (la première).

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Côté chevet, le recul est tellement ridicule que l’ultra-grand-angle est insuffisant, de sorte que je serais obligé de faire des assemblages panoramiques. Mais on ne peut pas faire de miracles dans ces conditions.

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Le côté sud avec ce qui reste du cloître.

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La salle capitulaire. Mais pourquoi sont-ils allés mettre ces horribles tables ?

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Et l’intérieur de l’abbatiale.

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Une cloche (je n’ai pas dit deux) que j’aime (je n’ai pas dit laquelle).

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3 août 2019

Vacances juillettistes 2019 (2)

Avant de revenir ultérieurement en Normandie occidentale, place à la chapelle Sixtine Penn Sardin dont Plume exige des photos. Il est vrai qu’après un repas sur le port en bas près de chez Plume où personnellement, j’ai découvert des rillettes de poissons fort sympathiques (même celles au curry m’ont paru agréables, moi qui ne suis pas spécialement fan de cette épice), nous sommes allés boire un café le long du port-musée. Puis Plume voulut nous montrer la chapelle en question, rarement ouverte. Et quelle chance, non seulement, elle était ouverte, mais en plus elle est animée par une guide de l’association dont Fromfrom eut longtemps le privilège d’être la vice-présidente… A noter aussi que la jeune guide affectée dans la chapelle est lilloise, ce qui n’est d’ailleurs pas une exception parmi les guides-étudiants bénévoles, au moins cette année.

La chapelle Saint-Michel de Douarnenez, édifice du XVIIe s., remarquable par ses voûtes de bois entièrement peintes (64 scènes en tout). Plume nous l’avait montrée sur le blog il y a quelques années, mais je ne m’en souvenais plus.

D’abord des vues de l’extérieur de cette chapelle qui ne paie pas de mine. Les deux Bretonnes sont en train de deviser. Ne pas oublier douvrir les photos dans des fenêtres indépendantes.

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Puis pour l’intérieur, je commence avec une photo infernale dans le sens où malgré sa piètre qualité, cette image m'a demandé beaucoup de travail. D’abord, il s'agit de l’assemblage panoramique de 5 photos à l’ultra-grand-angle de 5 photos (exposées différemment mais identiques par ailleurs) donc 25 prises de vue en tout fusionnées non sans mal. Bon, je n’aurais probablement pas dû m'y prendre ainsi, car il y a des problèmes d’angles et tout n'est pas surmontable sans une approche quasi scientifique de la chose et surtout il m’aurait fallu beaucoup de temps. C’était seulement mon deuxième essai après Saint-Savin-sur-Gartempe en fin d’année dernière, mais là-bas c’était finalement plus simple (une seule rangée de photo). Ensuite, j'ai noirci manuellement les murs, fenêtres et sculptures pour lesquels on observait une grande confusion (pire que sur les voûtes) et cela donne ce résultat assez catastrophique.

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Une seconde photo avec des assemblages moindres mais aussi avec des déformations.

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Toutefois, les mêmes photos juste fusionnées par rapport à l’exposition donnent des choses plus correctes mais forcément tronquées.

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Enfin, quelques autres vues de photos du mobilier, des sculptures ou un détail de la peinture.

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