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Cornus rex-populi

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7 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (12)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. Lavement des Pieds.

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6 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (11)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. Ascension de Simon le Magicien.

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5 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (10)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. Chute de Simon le Magicien.

 

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4 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (9)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. La deuxième Tentation du Christ.

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3 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (8)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. Conversion de saint Paul.

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2 janvier 2020

Cela ne va pas si mal finalement...

Nous sommes arrivés chez mes parents à RDG la veille de Noël au soir. Le lendemain, mon oncle et ma tante du cru venaient à la maison pour le repas de Noël. Tout s’est bien passé. Le lendemain après-midi, après quelques courses et une micro-balade, nous rentrons à la maison où mon père se sent de plus en plus mal dans le bas ventre et sans arrêt envie d’uriner sans pouvoir le faire. Je précise qu’il a été opéré de la prostate fin novembre où tout s’était bien passé. Mais il semblerait que la prise d’un médicament lui cause ce souci. On veut l’emmener aux urgences, mais il ne veut pas : « qu’est-ce qu’ils vont me faire de plus ? ». Et puis il se rend compte que la situation est de plus en plus problématique et qu’il ne pourra pas tenir comme ça la nuit. Vers 20 h 30, nous allons aux urgences de Saint-Chamond. Il y a quand même pas mal de monde avant nous. Ils le prennent en charge une petite heure plus tard, on attend encore une bonne heure avant qu’on (Fromfrom et moi) nous appelle. Cela va mieux, il a pu enfin uriner. On suspecte une infection urinaire, l’échographie est OK, mais on attend des résultats pour dans 2-3 heures. Fromfrom et moi revenons à RDG pour manger un morceau et avertir ma mère, qui ne semble pas particulièrement inquiète (elle ne s’inquiète plus trop à présent, contrairement à avant), en attendant le feu vert de l’hôpital. Il est finalement libéré vers une heure du matin. On retourne le chercher. Ouf !

Le lendemain en début d’après-midi, bis repetita. Après une rapide course en ville pour me permettre de faire un changement de joint d’évacuation de WC, mon père est dans une situation pire que la veille. Comme je suis en pleine guerre dans les WC, je laisse Fromfrom emmener seule mon père aux urgences. Cela ira quand plus vite que la veille (moins de monde aux urgences). Moi, je me battrai avec les WC pendant un bon moment (cela n’a pas été évident), mais j’ai vaincu les fuites ! Fromfrom et mon père reviennent avant 20 heures. Re-ouf !

Finalement, pas besoin de nouvelle intervention, cela a été un peu mieux chaque jour depuis. Mais du coup, sa visite de contrôle chez le chirurgien-urologue prévue en février a été avancée à la semaine prochaine. Autre bonne nouvelle, mon père a été notifié, pour ma mère, pour bénéficier d’une aide-ménagère. Ils en ont déjà une, mais cette fois, ils seront davantage pris en charge et aurons plus d’heures. La jeune femme actuelle est très sympa et efficace. Alors, ce n’est pas si mal. Demain, j’installe un siège rétractable dans la douche.

2 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (7)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. Délivrance de saint Pierre.

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1 janvier 2020

Les chapiteaux de Saint-Lazare (6)

Cathédrale Saint-Lazare – Chapiteaux de la nef, XIIe s. Les trois Hébreux dans la fournaise.

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1 janvier 2020

Bonne année 2020

Tous nos meilleurs vœux de réussite, de bonheur et de santé pour 2020 !

En léger différé du Pilat, près du Crêt de la Perdrix.

Fromfromgirl & Cornus rex-populi

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31 décembre 2019

Mes visions du vin (2)

L’ouverture ligérienne

Ma mère a toujours fait preuve d’une forme d’hygiénisme à mon égard et je pense qu’elle avait raison même si c’était parfois excessif. Même à l’âge de 12-14 ans, je n’avais pas droit à une tasse complète de café. Et entre 18-20 ans, le vin m’était versé qu’avec parcimonie.

Mais l’année de mes vingt ans, je me suis retrouvé en Touraine et c’est là-bas que j’ai commencé à boire… des vins de Touraine et du Saumurois, notamment chez les personnes chez qui je logeais et qui m’invitaient régulièrement le dimanche. Et c’est là, véritablement que j’ai commencé à glisser du côté rouge et blanc de la force !

Cependant, si j’ai bu, c’était chez les autres car encore jeune et étudiant, je n’avais pas mes moyens et je vivais aux crochets de mes parents et avec un minimum de moyens. Je n’ai jamais manqué de quoi que ce soit de fondamental, mais je ne faisais aucune folie.

Ce n’est que bien plus tard, après mon service militaire, que je me suis retrouvé de nouveau en Touraine et que j’ai pu, avec mes premiers salaires, me permettre de goûter d’acheter des vins de Touraine et d’Anjou… tellement différents des Bourgognes et des Côtes-du-Rhône… Et je les ai appréciés, même si aucun rouge de la vallée de la Loire ne peut tenter de faire oublier un Bourgogne !

Je connaissais les Vouvrays et Montlouis, deux communes-appellations qui se font face de chaque côté de la Loire en amont de Tours et qui produisent des vins à base de Chenin blanc, secs à liquoreux, tranquilles à puissamment effervescents, mais c’est bien plus tard que j’ai connu des angevins Côteaux-du-Layon et autres vins liquoreux proches (par le cépage d’abord), et je suis tombé dedans.

Le Sancerre, ce vin blanc sec (même s’il existe des rouges et des rosés), j’ai été presque immédiatement épaté par ce que je trouve la plus belle expression du Sauvignon blanc si caractéristique, si aromatique (impossible de ne pas reconnaître le cépage au nez, du moins dans les vins jeunes).

J’ai parcouru les Saumur et Saumur-Champigny, les Bourgueil et Saint-Nicolas-de-Bourgueil : il y a de bonnes choses, mais faute de connaissance approfondie des vignerons ou cuvées spéciales, je trouvais que cela tournait assez vite en rond.

En revanche, je suis allé plus loin, jusqu’au début des années 2000, sur les Chinons rouges. Il est vrai que j’étais sur place. Cravant-les-Côteaux est réputé produire des Chinons corsés et tanniques ; ce dernier caractère n’ayant que peu ma faveur en général. Mais il faut quand même savoir ce qu’ignorent nombre de prétendus spécialistes : le vignoble de la commune possède des parcelles dans la plaine alluviale de la Vienne, lesquelles sont en partie inondables ! Lors de mes promenades, j’ai vu des laisses de crue dans les vignes à un bon mètre de haut. Donc Cravant-les-Côteaux ne signifie pas nécessairement vignes inondées de soleil, mais parfois inondées tout court ! N’oublions pas que dans ses stations primaires classiques, la Vigne (Vitis vinifera susbsp. sylvestris) est une grande liane ligneuse des forêts alluviales plus ou moins inondables. Il n’en demeure pas moins que Cravant-les-Côteaux possède aussi de très beaux côteaux ensoleillés aux sols bien drainés. J’ai eu l’occasion de goûter à beaucoup de Chinons, qui ne se valent pas tous. J’en avais notamment découvert un que je trouvais très bon et pas très cher, réalisé par les étudiants d’un lycée agricole qui possédait son domaine à Chinon.

Enfin, il y eut aussi quelques vins blancs effervescents de Saumur que je ne peux pas passer sous silence. Ce qui m’attirait le plus, c’était le côté fruité.

A suivre…

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