C'est fini, enfin presque...
Tout ce qui avait été prévu dans les épisodes précédent a été réalisé et les travaux ont été terminés lundi. Au total, cinq semaines de travail et un jour. Mais comme je l’ai dit, ils étaient bien souvent sur plusieurs chantiers à la fois, du moins certains jours et à part un jour (ou deux ?), ils n’étaient que deux, alors que je sais que sur certains chantiers analogues, ils peuvent être 5-6. La voisine de la maison de droite (une évaporée de la cervelle) s’est permis de me dire peu avant la fin des travaux que « c’était long » et qu’« ils prenaient bien la pause ». Je n’ai rien répondu car « j’parle pas aux cons, ça les instruit ». Oui, ils ont pris des pauses, et alors, c’est elle qui les paye ? Elle sait que ce n’est pas un métier facile, par tous les temps ou presque et qu’on ne peut pas être tous les jours à fond ?
Sinon, comme convenu à part, une épaisse couche de laine de verre a été mise sur le plancher du grenier et de la mousse type polyuréthane a été posée entre les chevrons sur les parois subverticales de part et d’autre des chiens assis. Ce ne sera pas le Pérou, mais c’est quand même de nature à améliorer l’isolation de manière significative.
Il reste la lucarne des escaliers à habiller à l’intérieur… et le devis pour la seconde tranche des travaux sur l’extension de notre maison (cuisine, salle de bain, WC, bureaux, pseudo-véranda) dont le toit est actuellement en grande partie composé de vulgaires tôles ondulées et de plaques de polycarbonate pour la lumière. Là aussi, on compte améliorer l’isolation. Nous craignons que la facture soit singulièrement salée.