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Cornus rex-populi
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13 juin 2015

Mai septentrional 2015 (11)

On poursuit la visite du musée des beaux arts de Gand.

Rafaël Coxcie (Malines, 1542-Bruxelles, 1616). Le Jugement dernier (1588-1589). Il sagit dun tableau monumental. Jai dû corriger nettement la perspective. Cest la première fois que je me livre à une telle retouche. Certains hommes semblent avoir des muscles en trop, et ce n'est pas à cause de la retouche.

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Maarten van Heemskerck (Heemskerck, Pays-Bas, 1498-Haarlem, Pays-Bas, 1574). L’Homme de douleur (1532). La musculature semble plus réaliste et la partie intime, non diabolique, est délicatement suggérée.

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Maarten van Heemskerck (Heemskerck, Pays-Bas, 1498-Haarlem, Pays-Bas, 1574). Le Calvaire (1543). Y en a un qui a un sparadrap sur la tête !

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Peter Paul Rubens (Siegen, Allemagne, 1577-Anvers, 1640). Saint François d’Assise recevant les stigmates (1635).

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Gaspar de Crayer (Anvers, 1584-Gand, 1669). Le couronnement de sainte Rosalie (1644).

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Gerard Seghers (Anvers, 1591-1651). L’Ange avertit Jospeh en songe.

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Maître Denim (nord de l’Italie, 1650-1700). Repas frugal.

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Atelier d’Alessandro Magnasco (Gênes, 1667-Paris 1749). Moines en prière. Je trouve que ce tableau est en avance sur son temps.

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Jean-Baptiste de Champaigne (Bruxelles, 1631-Paris 1681). Le repas à Emmaüs (1664).

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Cornelis de Vos (Hulst, Pays-Bas, 1584/1585-Anvers 1651). Le Christ et la Samaritaine (v. 1630-1635).

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Jan Boeckhorst (Rees, Münster, Allemagne, v. 1604-Anvers 1668). Apollon et Python (v. 1660).

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Maerten de Vos (Anvers 1532-1603). La famille de sainte Anne (1585).

 

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Commentaires
C
Plume> Rafaël Coxcie est considéré, au moins par certains comme un "primitif flamand" (je ne suis pas d'accord quand je vois cette œuvre), mais influencé par la Renaissance italienne (là, je pense qu'il y a du vrai). Tableau d'atelier, cela se peut, surtout quand on sait la taille du tableau. Que l'on aime ou pas, c'est un exercice spectaculaire (comme la "vitre" de la façade de la cathédrale de Lille, que je trouve pas belle par ailleurs).
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P
D'où l'expression "avoir le pif dans le cul". Oh pardon je sors et je me flagelle dans l'instant.<br /> <br /> Avant de sortir : Je n'ai rien contre la peinture des corps nus, loin de là, mais ici ça me fait vraiment penser à l'étal d'un boucher-désosseur. Et ça me donne une autre impression, celle de voir un tableau qui ne serait qu'un exercice d'atelier.<br /> <br /> Oui le chat m'a plu aussi, heureusement qu'il est là.
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C
Plume> Oui, c'est sûr que pour un régime non carné, c'est difficile. Dans l'absolu et dans l'ensemble, je préfère aussi les précédents épisodes. Mais c'est autre chose.<br /> <br /> <br /> <br /> Karagar> Ah, il m'a plu le chat.<br /> <br /> Les culs... et les pifs tous un peu bizarres.
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K
oh dis donc le chat !<br /> <br /> suis d'accord que le tableau fait plus XIXème<br /> <br /> Dans la crucifiction les culs c'est quelque chose !
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P
Alors là du coup ça ne me branche pas du tout, mais pas du tout. Particulièrement l'étalage de bidoche du 1er, beuark !
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Cornus rex-populi
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