Entre Alsace et Maures (12) : cité de l'automobile de Mulhouse, troisème partie
Troisième épisode (sur quatre) au sein de ce musée.
Après la 201, la 202, voici la 203 (je n’ai pas vu d’évolution esthétique majeure) :
PEUGEOT Berline 203 (1950, France) – 4 cylindres, 1290 cm3, 45 ch, 115 km/h
Autres voitures « populaires » en partie contemporaines de mon enfance, mais dont certaines sont en voie de disparition aujourd’hui :
RENAULT Berline 4 CV (1956, France) – 4 cylindres, 748 cm3, 21 ch, 100 km/h
CITROËN Berline 2 CV (1954, France) – 2 cylindres, 375 cm3, 9 ch, 100 km/h
Populaire aussi, mais pour d’autres raisons, une voiture dont les derniers exemplaires vendus étaient plus que dépassés et polluants, d’autant que c’était un moteur deux temps :
TRABANT Coach 601 LS (1986, Allemagne - RDA) – 2 cylindres, 595 cm3, 26 ch, 100 km/h
Quand même plus beau que la 4 CV (à peu près de la même époque, mais plus haut de gamme) :
RENAULT Fregate Berline Transfluide (1958, France) – 4 cylindres, 2141 cm3, 77 ch, 135 km/h
Un protoype de 4L coupé :
RENAULT Coach Bertin (1969, France) – 4 cylindres, 743 cm3, 32 ch, 110 km/h [mes parents en ont eu une « normale »]
On revient chez Peugeot :
PEUGEOT Berline 403 (1958, France) – 4 cylindres, 1468 cm3, 58 ch, 135 km/h
PEUGEOT Berline 404 (1961, France) – 4 cylindres, 1618 cm3, 69 ch, 145 km/h
RENAULT Ondine Aerostable (1960, France) – 4 cylindres, 845 cm3, 31 ch, 115 km/h [mes parents en ont eu une Dauphine – nom générique –, avant la 4L]
RENAULT Berline R16 TS (1968, France) – 4 cylindres, 1565 cm3, 88 ch, 170 km/h [mes parents en ont eu une R16]
L’incontournable « déesse » :
CITROËN Berline DS 23 (1975, France) – 4 cylindres, 2347 cm3, 141 ch, 188 km/h
Là, Citroën a manqué d’inspiration en nommant ce modèle qui fut en son temps la voiture française de grande série la plus puissante et qui sera sacrifiée à cause de sa consommation excessive à l’occasion du premier choc pétrolier :
CITROËN Coupé SM (1971, France) – 6 cylindres, 2670 cm3, 170 ch, 220 km/h
Parce qu’il fallait un cheval cabré :
FERRARI Coupé 250 GT (1964, Italie) – 12 cylindres, 2953 cm3, 240 ch, 240 km/h
Un papillon :
MERCEDES-BENZ Coupé 300 SL (1955, Allemagne) – 6 cylindres, 2995 cm3, 215 ch, 240 km/h
La Bugatti Veyron dont j’ai déjà parlé. Ce monstre, certes fabriqué en Alsace, mais d’inspiration largement germanique, n’est pas forcément une beauté par rapport à ses devancières. D’ailleurs, est-ce bien représentatif de l’esprit des Bugatti de la première moitié du siècle dernier ?
Quelques vues dans la section où on ne trouve que des voitures de course.
Et sans doute la plus laide des Bugatti :
BUGATTI Biplace course Type 32 (1923, France) – 8 cylindres, 1991 cm3, 75 ch, 190 km/h