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Cornus rex-populi
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19 mars 2018

Mes curiosités du musée des Beaux-arts de Tours (1)

Voilà une série des choses qui ont attiré mon regard par intérêt, étonnement, beauté (ou réciproquement le contraire de l’inverse opposé).

Junon dite Junon Richelieu & Appollon dit Appolon Richelieu. Ier-IIe s. ap. J.-C. Marbre.

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11 mars 2018

Triangle 2017-2018 (8 et fin)

Après Tours, direction la base ligérienne parentale. Nous n’aurons eu ni franc beau temps, ni neige, à cause d’une relative douceur. Devant la maison, les seuls photos extérieures prises.

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Pour la Saint-Sylvestre, réédition en forme de buche, d’un dessert fromfromien, à la fois léger et délicieux.

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10 mars 2018

Triangle 2017-2018 (7 ter)

Je reviendrai sur le musée des beaux-arts de Tours dans d’autres notes, mais voici quelques images supplémentaires de la ville. Pour les trois photos qui suivent, je suis sur la passerelle Saint-Symphorien (autrement appelée « pont de fil ») qui traverse la Loire, uniquement pour les piétons et les vélos.

La cathédrale Saint-Gatien et le château de Tours (lequel abritait autrefois un sympathique « historial de Touraine », filiale du « musée Grévin », mettant en scène des personnages historiques grandeur nature du Moyen Âge jusqu’au XIXe s. C’était assez sympa. Mais cet historial a été supprimé au cours de la première décennie des années 2000. Le château abrite désormais d’autres espaces muséaux.

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La Loire avec un îlot de sables et de graviers faisant peau de chagrin avec la montée des eaux. En rive gauche, la bibliothèque municipale (architecture très massive – je m’y étais rendu pas mal de fois au début des années 1990). Au fond, le pont Wilson, autrement appelé « pont de pierre », qui s’était écroulé en 1978, suite au déchaussement de ses piles. Ces dernières reposent en effet sur des pieux de chêne, mais l’incision du lit de la Loire (son surcreusement du fait des extractions massives de graviers et de sables durant des décennies) et peut-être la sécheresse de 1976, les avaient mis à sec et provoqué leur pourrissement. Je parle de cela parce que cet accident a eu, quinze ans plus tard seulement, des répercussions positives dans la volonté de préservation du fleuve, et d’une certaine manière dans les travaux que je mènerai avant et pendant ma thèse. A droite, un « épi » longitudinal boisé, appelé duit (ou dhui), ouvrage de navigation submersible qui servait à orienter la Loire, fleuve en tresses jusqu’au XIXe s., dans un chenal de navigation préférentiel, afin de favoriser le passage des nombreux bateaux. Ces ouvrages ont été construits au milieu du XIXe s sur l’ensemble du cours moyen du fleuve. Nombreux sont ceux qui subsistent aujourd’hui. Nombreux sont ceux qui accueillent des arbres, mais ce n’était pas prévu à l’époque. Compte tenu de l’incision du lit que l’on peut évaluer à Tours entre 1 et 1,5 m, ces duits sont désormais un peu « perchés » ; cela se voit d’ailleurs sur cette photo puisque le débit est assez fort (les derniers bancs de sable sont en train de disparaître) et pourtant le duit est encore loin d’être submergé.

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4 mars 2018

Triangle 2017-2018 (7 bis)

Nous sommes effectivement passé à Tours, pour rendre visite au musée des Beaux-Arts et à la cathédrale. Les œuvres présentées dans la précédente note sont des photos que j’ai prises au musée. J’en montrerai d’autres plus tard. Après avoir visité le musée, nous nous dirigeons à la cathédrale, dans laquelle il ne fait pas chaud. Cette cathédrale, je l’ai connue dès le deuxième jour où j’étais arrivé à Tours pour la rentrée universitaire de 1990. Je n’étais pas rentré dans cet édifice depuis cette époque et je ne me souvenais plus de ce à quoi elle ressemblait. La cathédrale Saint-Gatien actuelle a été initiée au XIIe s., le chœur est du XIIIe s., la nef et les chapelles latérales des XIV-XVe s. et les tours du XVIe s. Ces tours ne mesurent que 68 et 69 m de haut, soit moins que celles de la cathédrale Saint-Croix qui culminent à 88 m. J’ai voulu vérifier cela et cela m’a beaucoup étonné, je pensais que Saint-Gatien étaient plus haute. Cela tient probablement à l’architecture plus élancée de Saint-Gatien, à son positionnement par rapport aux bâtiments environnants et à sa position par rapport à la Loire (très proche du fleuve et pas sur un coteau comme à Orléans). Je préfère le style extérieur de Saint-Gatien par rapport à Sainte-Croix et je trouve la façade et les tours plus gracieuses que celles d’Orléans, bien massives à d’exception des « couronnes » sommitales et pas « raccord ». Comme ou le verra, il ne faisait pas beau.

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Le chœur est décalé vers la gauche par rapport à la nef, surtout du côté gauche, mais la cathédrale n’est cependant pas « tordue » comme Saint-Corentin de Quimper.

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2 mars 2018

Triangle 2017-2018 (7)

Après Suscinio, une autre étape. Le jeu consiste à trouver où nous étions grâce aux trois indices en image suivants. C’est à mon sens très abordable.

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