Juillet butineur (13)
Le lendemain, il était temps d’aborder la dernière étape du programme officiel : je veux bien sûr parler de Conques. Nous ne sommes restés que la matinée, mais je dois dire que j’y serais bien resté plus longtemps si nous n’avions pas été obligés par la suite de notre périple, sans compter que je ne voulais pas forcer mon genou dans les rues en pente (pourtant ce n’est pas l’envie qui me manquait). Calyste ayant présenté l’abbatiale romane Sainte-Foy (XI-XIIe s.) il y a peu (ici et là), je ne recommencerai pas.
Nous étions là-bas avant 9 h 30 ; il y avait donc encore assez peu de monde, ce qui nous a permis de faire le tour de l’édifice en toute tranquillité. En revanche, lorsque nous sommes repartis, il commençait à y avoir foule : pèlerins de tous poils et touristes « ordinaires ».
L’abbatiale, vue de tous les côtés, avec le tympan bien sûr, sans doute à mettre sur le podium aux côtés d’Autun et de Vézelay.
Le cloître, ou plus exactement ce qu’il en reste. Nous avons bien visité le trésor, mais les photos étaient assez scandaleusement interdites.
L’intérieur de l’abbatiale, avec une première vue sombre, avant que les autres vues s’éclaircissent, un peu comme lorsque nous rentrons nous-mêmes dans un tel édifice.
Une Annonciation pour Calyste. J’ignorais à ce moment-là que quelques minutes ou heures plus tard, Calyste serait là.
Puis nous sommes allés manger dans un restaurant recommandé par le guide dans un village voisin. Cette fois, j’avoue, que j’ai mangé du foie gras. Et surtout, chose inconnue de moi, des ris d’agneau. Il m’a semblé que cela avait un goût proche des ris de veau, mais sans doute un peu plus prononcé. Cela a l’air d’être un plat typique de l’Aveyron.
A suivre…