Entre Alsace et Maures (1) : cathédrale de Strasbourg
Je l’avais visitée quand j’étais gamin (une dizaine d’années ?) avec mes parents. J’avais été surtout impressionné par la hauteur de l’édifice (flèche). A l’occasion d’un colloque international organisé à Strasbourg, et parce que l’hôtel qu’on m’avait choisi se trouvait à côté, j’étais venu voir sa silhouette illuminée un soir d’octobre 1997 : la meilleure façon d’admirer les dentelles de pierres que l’on voit ainsi d’une légèreté inouïe. Le lendemain soir, j’assistais à un concert d’orgues privé puisque le mari de celle qui organisait le colloque et qui allait devenir ma co-directrice de thèse, était l’ancien organiste titulaire du grand orgue.
Il était tout naturel de retourner voir cette cathédrale. Nous n’avons hélas pas eu beau temps et on pourra constater que mes photos sont bien ternes. Bien qu’en ce lundi de Pâques, la « parade » complète de l’horloge astronomique soit exceptionnellement d’accès gratuit, nous n’y sommes pas allés tant il y avait foule bien avant l’heure (12 h 30).