Ouverture au jardin
J’en avais déjà parlé : le petit jardin dont nous avons « hérité » avec la maison me (nous) déplaisait, tant tout était l’un sur l’autre et en route pour devenir complètement impraticable d’ici quelques années à peine. Il fut donc décidé de pratiquer :
Une coupe rase du laurier-sauce qui atteignait plusieurs mètres de haut et devenait envahissant (comme il a rejeté de souche, nous ne conserverons que le strict nécessaire pour faire la cuisine) ;
Une coupe tout aussi rase du forsythia : je ne suis pas fan de cette plante même si j’aime bien la couleur jaune (et non les fleurs) qui illumine la fin de l’hiver. Il a aussi rejeté de souche, alors je lui laisse une petite chance ;
La coupe rase d’un bouleau de 6-7 m de haut (arrachage impossible car en limite de propriété) ;
L’arrachage de thuyas sous forme de haie murale ou plus isolés (les thuyas formant un écran à la limite avec la propriété voisine ont été conservés, mais taillés de façon sévère) ;
L’arrachage d’un pieris camouflé sous le forsythia et complètement jaune (le second pieris est conservé pour l’instant, à condition qu’il ne périclite pas dans la mesure où il a été fort mal planté, comme beaucoup d’arbres et d’arbustes dans ce jardin) ;
L’arrachage de divers autres conifères dont un pin noir qui commençait à prendre une sérieuse ampleur et deux dans les bacs de la pergola en plastique qui n’a pas résisté à l’opération ;
Arrachage de deux aucubas, de quatre « lauriers à la con » dont un à feuilles panachées…
Le tout a généré plusieurs mètres cubes de déchets végétaux, soit 5 voyages à la déchetterie (dont 2 grands breaks). Et maintenant, il y a du boulot pour tout remettre en état et envisager quelques plantations automnales. Il reste 3 hortensias qui ne fleurissent pas (sans doute pas tellement étonnant, je pense qu'un ou deux d’entre eux gicleront à terme) et un buis (à voir...).
Voici ce que cela donne. Avant :
Et après :