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Cornus rex-populi
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21 mai 2023

Vacances de fin avril 2023 (2 et fin)

Une première photo de l’étang du dragon prise le 21 avril avant qu’on se décide de partir plus tôt pour RDG de manière un peu précipitée. On voit que l’hiver n’avait pas encore totalement cédé la place au printemps, ce qui sera confirmé par la suite.

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Passage à Sainte-Croix (mon père voulait faire un parcours un peu plus entendu en voiture car il craignait que sa batterie soit déchargée). Je ne suis pas un fan absolu de la chartreuse même si le village pris globalement est joli. Je voulais voir le niveau d’eau (bas) de la rivière (Couzon) qui alimente le barrage de RDG qui était loin d’être rempli. Sur le parking, une famille discutait de cette plante et se demandait ce que c’était et j’ai donc fait un court couplet et je fus copieusement remercié.

L’Alliaire officinale (Alliaria petiolata) est une plante herbacée bisannuelle à odeur d’ail de la famille des Brassicaceae (Crucifères, famille du chou…). Cette plante pousse le long des haies, dans les sous-bois et autres lieux frais et ombragés, sur des sols variés mais non acides pas trop secs. Présente dans toute l’Europe, l’Asie occidentale jusqu’en Inde. En France, fréquente partout. Plante médicinale et comestible (ne pas en abuser toutefois). Photo prise au smartphone.

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Grand retour des couchers de soleil dans la direction de l’étang du Dragon terrassé. Deux jours différents.

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Trois photos montrant des chatons mâles d’un Saule cendré ou à oreillettes (S. cinerea ou S. aurita), impossibles à distinguer à ce stade.

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Sinon, un ensemble de plantes prairiales ou forestières. Je mets des mini-descriptifs personnels.

La Primevère officinale ou Coucou [officinal] (Primula veris) est une plante herbacée vivace de la famille éponyme des Primulaceae. Il s’agit d’une plante des prairies et pelouses, zones rocheuses sur sols pauvres, basiques à neutres et modérément secs. Plante présente dans toute l’Europe, le Caucase et la Sibérie. Elle est très fréquente en France, sauf dans le grand-ouest (hormis les Pyrénées atlantiques) et un large pourtour méditerranéen et en Corse. Plante alimentaire et médicinale.

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La Primevère élevée (Primula elatior) est une plante herbacée vivace de la famille éponyme des Primulaceae. Il s'agit d’une espèce forestière, des haies, des prés ombragés, sur des sols plutôt argileux et non acides. Elle est très fréquente en France, sauf dans le grand-ouest (hormis les Pyrénées atlantiques) et un large pourtour méditerranéen.

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La Cardamine des prés est une plante herbacée vivace de la famille des Brassicaceae (Crucifères, famille du chou…). Plante des prairies humides, des sous-bois humides, bords des eaux… Présente en Europe, surtout centrale et boréale, en Sibérie et en Amérique boréale. En France, présente et assez fréquente partout, sauf sur le pourtour méditerranéen et en Corse. Les feuilles sont consommables (« cressonnette ») mais en très faibles quantités.

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Le Charme [commun] (Carpinus betulus) est un arbre de la famille des Betulaceae (bouleaux, aulnes, noisetiers, charmes). Il pousse dans les bois et les haies sur des sols plutôt neutres et non humides. Arbre d’Europe et d’Asie occidentale. En France métropolitaine, commun dans toutes les régions, sauf dans celles du pourtour méditerranéen et en Corse où il est souvent absent ; absent également en montagne. Arbre souvent planté dans des haies (charmille) mais ne doit pas être confondu avec d’autres espèces (voire d’autres genres proches) ou avec des cultivars.

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L’Orchis bouffon (Anacamptis morio) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae (Orchidées). Plante prairiale (pâtures ou prés de fauche), de pelouses, parfois d’ourlets forestiers se développant sur des sols modérément secs, neutres à modérément basiques est assez pauvres en nutriments. Plante d’Europe et d’Asie occidentale et boréale. En France, la plante est présente dans toutes les régions, mais est plus rare dans le nord, en Champagne-Ardenne, une partie du pourtour méditerranéen et en Corse. Cependant, cette espèce a beaucoup régressé depuis la Seconde Guerre mondiale avec la régression drastique des prairies maigres due à l’intensification agricole ou au contraire à la déprise agricole dans certaines régions peu productives par embroussaillement.

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Le Populage des marais (Caltha palustris) est une plante herbacée vivace de la famille de Ranunculaceae (renoncules, anémones, aconits, ancolies, dauphinelles, clématites, trolles…). Cette plante affectionne les zones humides (marais, prairies humides, bois humides). Présente en Asie, en Europe et en Amérique du Nord, en France on la retrouve dans tous les milieux favorables un peu dans toute la France sauf dans les régions du pourtour méditerranéen et de manière moins abondante sur une large façade ouest du pays.

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L’Anémone des bois ou Anémone sylvie (Anemone nemorosa) est une petite espèce herbacée vivace de la famille des Ranunculaceae (renoncules, anémones, aconits, ancolies, dauphinelles, clématites, trolles…). Elle pousse sur des sols acides à neutres en sous-bois ou le long des haies et à développement printanier avant que les arbres aient complètement déployé leurs feuilles. Elle est présente dans presque toute l'Europe, l’Asie occidentale et l’Amérique boréale. En France, on la trouve partout sauf sur un large pourtour méditerranéen. Celle-ci possède un pétale surnuméraire.

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La Pâquerette [vivace] (Bellis perennis) est une plante herbacée vivace de la famille des Asteraceae (Composées). Elle pousse dans les pelouses (à la fois les formations végétales herbacées subnaturelles à naturelles basses à sols maigres et les gazons artificiels tondus), dans des prairies pâturées, bords de chemins… Présente en Europe et en Orient. En France, présente en grande abondance partout en France, sauf en haute montagne et plus rare sur le pourtour méditerranéen. A ne pas confondre avec d’autres espèces de pâquerettes en région méditerranéenne.

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La Pédiculaire des bois (Peducularis sylvatica) est une plante herbacée bisannuelle ou vivace de la famille des Orobanchaceae (orobanches, rhinanthes, lathrées, pédiculaires, euphraises…). Elle pousse dans les prairies humides (avec parfois des fourrés) et les tourbières sur sols acides. Contrairement à ce que son nom laisse penser, il ne s’agit pas à proprement parler d’une espèce forestière. Plante d’Europe occidentale et centrale. En France métropolitaine, présente dans les régions présentant des sols acides, surtout dans le Massif armoricain, tout le Massif central, les Pyrénées, le Jura et les Vosges.

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La Parisette à quatre feuilles (Paris quadrifolia) est une plante herbacée vivace anciennement classée dans la famille des Lilliaceae (des lys) et actuellement dans la famille des Melanthaceae (regroupant notamment les vératres et les trilles). La plante possède généralement quatre feuilles, mais peut aussi en comporter cinq ou six. Plante forestière d’ombre ou de demi-ombre des sous-bois frais neutres à modérément calcaires sur sols plus ou moins argileux. Plante d’Europe et d’Asie occidentale. En France, la plante est surtout présente dans l’est, dans le Massif central, dans les Pyrénées, dans le nord mais est absente ou presque du tiers occidental du pays et des régions méditerranéennes, corse comprise. Elle est protégée dans plusieurs régions métropolitaines. Elle est toxique, en particulier les baies.

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Quelques photos dans le bois avec plusieurs communautés végétales : hêtraie à houx, boulaie pionnière à Betula pendula, boulaie humide à Betula pubescens et sphaignes.

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Et l’étang et le ruisseau du trop-plein.

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Commentaires
C
Plume> Ah d'accord... Quand je dis "piquent", je parlais bien sûr de "morsures". Mais je comprends bien ce que tu veux dire, je connais bien ces machins là surtout à A. qu'on appelle aussi moucherons et n'entrent effectivement pas dans la maison. Je ne connais en revanche personne d'allergique à ça. Oui, le barbapoum est efficace pour les tenir à distance. Quant aux simulies, ça pique/mort et ça fait mal, mais toujours à proximité de l'eau, de préférence courante.
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P
Cornus > "qui pique", ben justement ce ne sont pas leurs piqûres qui posent problème, d'ailleurs je ne suis même pas absolument certaine qu'ils piquent, mais leur simple proximité en "nuages" . Ils t'effleurent la peau et beaucoup les cheveux même épais, en général les dégâts se limitent à quelques rougeurs sur le front qui disparaissent à l'eau fraîche.. Si tu avais vu les Botmeuriens, tous, faire des moulinets hystériques avec leurs bras :) ...C'est une vraie plaie. Le seul truc bien c'est qu'ils n'entrent jamais dans les maisons. Et sinon, le barbeuk est assez efficace ( ou la lavande ou le géranium).
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C
Plume> Ben ce sont soit des simulies (moucheron, mouche qui pique assez fortement) soit des Culex (une des familles / genre de moustiques) assez classique, mais des moustiques/moucherons, il y en a des tas d'autres... Et justement, c'est pas évident...
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P
La moutarde c'est très très fréquent ! Elle allergise aussi à l'absinthe et au curcuma, apparemment ça va souvent ensemble. Ça complique un peu la vie au restaurant, mais surtout elle doit inspecter à la loupe les ingrédients des conserves et autres plats préparés...En général la moutarde est signalée en gras dans les compos, c'est dire que ça fait partie des allergènes connus.<br /> <br /> Tu me fais rire avec tes simulies et chrironomes ! Moi je ne connais que son nom breton. Je pense que c'est à rapprocher des midges écossais. Peux pas t'en dire davantage.
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C
Plume> Bon, je l'ai déjà raconté aussi, je connais aussi l’œdème de Quincke, mais pas à ce point sur le visage... et les les poumons... L'urticaire géant, aussi, mais selon différentes modalités selon les allergies...<br /> <br /> "c'hwibu" des marais : c'est quoi ça ? Pas célèbre pour moi, je ne sais pas vraiment à quoi tu fais allusion. Une simulie, un chironome, autre chose ? Adolescent, attaqué sans arrêt par des taons qui me filaient soit des allergies soit des infections (ou les deux) et lorsque j'étais à A., je ne portais plus que des manches longues, même à la maison (et à l'étang) et je m'aspergeait régulièrement de répulsifs moustiques / taons et c'était devenu insupportable... Heureusement, cela a passé.<br /> <br /> Quant à la moutarde... des fois elle chauffe intérieurement, mais... C'est fou ces histoires. Qu'allons-nous devenir ? Pour les antibiotiques, je tiens de mon père. Il est allergique à un panel de plus en plus large d'entre eux et les médecins sont parfois un peu démunis.
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P
Cornus > C'est-à-dire Oedème de Quinke. Le visage enflé jusqu'à faire disparaître mes yeux, et même mon nez et mes oreilles, un ballon de foot quoi ! Le dos couvert de pustules urticantes, tout ça en en 5 mn. Étouffement, direction Urgences et traitement à la cortisone à haute dose avant que ça descende aux bronches. Et antihistaminiques évidemment, mais seulement après le désenflement. Mon moucheron, c'est le célèbre "c'hwibu" des marais. Autant te dire que dans les Monts je ne mettais pas le nez dehors ni tôt le matin ni en soirée, ce qui est quand même chiant, et que je ne sortais plus dans mon petit flacon d'essence de lavande. Efficace comme répulsif. Pas eu d'autre alerte.<br /> <br /> Ma nièce a eu le même truc à cause de la moutarde...elle avait passé 40 ans et n'avait jamais eu d'alerte. Elle aussi a fini aux urgences !
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C
Plume> Justement, les allergies, parfois graves, des enfants qui passent à l'adolescence ou à l'âge adulte sont assez monnaie courante. Ton moucheron était sans doute cousin avec mes taons, en tout cas tous sont des Diptères ! 😁 Failli y passer ? C'est-à-dire ?
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P
Bon, puisque chacun étale ses allergies, moi enfant c'était chocolat, fraises, poissons et fruits de mer et oeufs : allergie cutanée. Disparue à la puberté, et depuis je me baffre goulûment de toutes ces choses. Sinon, j'ai eu fait une allergie grave à un moucheron, failli y passer, et je fais très gaffe depuis, mais point de nouvelle alerte, bien qu'ayant vécu près de 30 ans au pays des moucherons.
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C
Karagar> C'est peut-être un peu différent pour le soleil. Mais peut-être, hein. En fait, je n'y pige (plus) rien.
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K
Cornus & Calystee> Réactions allergiques au soleil depuis trois ans seulement.
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C
Calyste> Eh bien oui, c'est bizarre car certaines allergies se déclarent tardivement et d'autres allergies plus anciennes ont tendance à être moisn violentes. Exemple pour moi : les morsures de taons qui ne m'incommodent plus trop (enfin j'espère).
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C
"Pour l'allergie, je savais que l'on pouvait l'attraper tardivement, mais pas à ce point". A lire une phrase pareille, j'aurais pu me vexer !!! 👨👨👨
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C
Karagar> "qu'un vu de c que ut dus des feuilles" : il y a aussi les lettres qui ont dû s'envoler ! 😊 C'est assez étonnant que tu n'aies jamais vu cette plante, même si elle n'est complètement visible qu'au printemps.
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K
encore un comm envolé, l'informatique me rend dingue en ce moment... bref je disais qu'un vu de c que ut dus des feuilles, c'était bien de la cardamine, donc l'alliaire m'est bien inconnu (nom et plante)
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C
Karagar> J’ai un léger doute, mais je me suis dit que je n’avais jamais montré ici la parisette et comme il n’y en a pas dans l’ouest de la France, tu ne devais pas trop connaître. Voilà qui est fait à présent.<br /> <br /> <br /> <br /> Karagar & Plume 3-4-5> Alors oui, les fleurs sont blanches. Toutefois, dans certaines circonstances, la Cardamine des prés peut les avoir presque blanches (voire carrément blanches pour la Cardamine amère ou évidemment les petites espèces de cardamines comme la C. hirsute ou la C. flexueuse…). Mais outre l’odeur, les feuilles de l’alliaire sont simples alors qu’elles sont pennatiséquées chez toutes les cardamines. Autre élément important, la Cardamine est une espèce prairiale, ce qui explique une certaine forme de convergence morphologique puisque les feuilles caulinaires (de la tige) sont appliquée contre la tige un peu à la manière des graminées, alors que l’Alliaire officinale est éminemment une plante d’ourlet et là, les plantes sont généralement bien plus à leur aise pour étaler leur feuilles (et elles en ont davantage besoin car elles sont à l’ombre des arbres). Enfin, il faut quand même dire que la Cardamine des prés a quand même un petit goût entre l’ail et le chou (en manger très peu ou pas du tout).<br /> <br /> <br /> <br /> Plume> Outre le goût dont je ne raffole toutefois pas (sauf pour la soupe), je trouve que les alliaires sont très jolies au printemps et égayent le sous-bois ou les bordures. Ah, les vieux qui savent… Au moins, les pas vieux et jeunes qui j’ai vus à Sainte-Croix ne savaient pas et j’imagine qu’ils sauront le prochain coup !
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P
Comme chacun sait je suis à peu près ignare en végétaux, mais pour celle-ci; j'ai un souvenir net à B, d'une voisine me voyant les dégager et me disant " va pas arracher ça donc mignonne, c'est bon pour la soupe !" par contre, aux jardins de Dahud, une co-jardinière (Sainte Marie-Odile) me voyant en récolter m'avait dit " Tu ramasses ça ? Cette saloperie, faudrait tout raser"...<br /> <br /> Ah les déclarations définitives des vieux qui savent...
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P
Mais si le gisement est compact et qu'il fait chaud, très chaud, pas besoin de toucher, ça sent fort !
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P
Karagar > Si t'en vois (fleurs blanches) tu froisses une feuille et tu renifles tes doigts !
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K
merci pour cet inventaire instructif. Une mention pour la parisette que je ne connais pas et qui me plait bien.<br /> <br /> Je ne connaissais ni populage ni alliaire alors que Plume semble en être familière... Sur l'alliaire je me pose des question, peut être que j'en voyais et le prenais pour de la cardamine...
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C
Plume> Oui, c'était comme ton jardin... Ah, les bouquets de jonquilles !!!<br /> <br /> <br /> <br /> Hélas, la vraie allergie au pollen est bien plus que des éternuements. Le pire observé était une personne qui devant traverser un parc avec quelques pins étaient obligée de mettre un masque intégral avec hublot.
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P
Oui bien sûr, de l'alliaire j'en trouve où je veux, ce que je voulais dire c'est que dans l'ancienne maison en cas de besoin je n'avais qu'à sortir dans mon champ de derrière, en chaussons quoi ! :)<br /> <br /> Sur le chemin des populages à B, de l'autre côté du ruisseau, des champs entiers de jonquilles, tout le village s'y retrouvait (et s'y retrouve toujours je suppose), on faisait des bouquets pharamineux...<br /> <br /> <br /> <br /> Sinon, pour les atchoums, moi j'éternue tous les matins, c'est un rite, été comme hiver, une bonne dizaine de fois, ça dégage les naseaux ! Quand c'est fait c'est fait. 🤩 Mon père faisait pareil, et il les comptait. Son record : 40 ! Mais par contre les pollens ne me font strictement aucun effet.
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C
Plume> Oui, l'Alliaire est plus une plante condimentaire car il ne faut pas trop forcer comme on pourrait le faire avec l'Ail des ours par exemple (même s'il ne faut pas trop forcer non plus, pour des raisons de goût). De l'alliaire tu dois quand même en avoir dans certaines haies ou bosquets pas trop acides, non, en dehors de la ville bien entendu ?<br /> <br /> Le populage est une de mes plantes préférées et je suis d'accord sur le fait qu'il illumine des choses encore globalement ternes. Il succède dans le temps (plus rarement dans l'espace) aux jonquilles (Narcissus pseudonarcissus).<br /> <br /> <br /> <br /> Calyste> La plupart sont "simples", mais pas toutes tant que cela. La parisette par exemple, je l'ai découverte bien avant de devenir botaniste et elle m'intriguait beaucoup parce qu'elle a quand même un aspect très spécial voire un peu inquiétant. Pour l'allergie, je savais que l'on pouvait l'attraper tardivement, mais pas à ce point. Et tu n'as pas d'autres allergies ?
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C
Plantes "simples" mais belles. Mais je passe vite à cause de la première allergie aux pollens de ma vie. Atchoum ....
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P
L'alliaire j'en ai eu utilisé en soupe et en salade, sans exagérer mais bien pratique en dépannage quand ton ail ne s'est pas conservé, dans le terrain des Monts je n'avais qu'à me baisser, mais maintenant je n'y ai plus guère accès.<br /> <br /> Dans les Monts toujours, plus précisément sur les chemins du marais, en bord du Libist (le ruisseau) du populage il y avait et j'aimais bien les rencontrer, car ils mettaient de la couleur à un moment où il n'y en avait pas encore beaucoup.
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Cornus rex-populi
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