24 août 2008
Plouf salé
Comme je le disais ailleurs, il est quelques circonstances où l’on finit par se laisser aller. Où l’on trouve le besoin de céder à une envie. Une vraie envie, car les circonstances n’étaient pas toutes optimales : pas de maillot de bain, soirée déjà bien avancée, eau semblant assez fraîche… Bref, les conditions n’étaient pas réunies sauf le cadre et l’atmosphère nonchalante qui m’y invitait. D’un seul coup, j’ai confié à S. que je voulais y aller. Et j’y suis allé : la preuve en image :
Le lendemain, mieux équipés, nous y sommes retournés en amoureux, mais cette fois, il n’y a pas d’images.
Est-ce que l’hygrophile potamique que je suis serait-il en train d'évoluer vers plus d’halophilie thalassique ?
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