Brèves cornusiennes (20)
Je n’avais jamais rien vendu sur l’internet (ni autrement). J’ai ainsi vendu l’ancien objectif zoom passe-partout que j’utilisais jusque là sur mon reflex numérique, avant que je n’acquière récemment un équivalent, stabilisé et de plus grande ouverture à focale maximale. Quelques heures à peine après la mise en ligne de mon annonce (très détaillée) sur le site le « mauvais angle », je recevais une proposition d’achat au prix indiqué (forme d’argus). Hier, je récidive en décidant de me séparer d’un téléobjectif fixe que j’avais depuis au moins 17 ans et que j’utilisais sur mon reflex argentique, inutilisable sur mon appareil actuel car de marque et monture différentes. Doutant qu’un tel objet, quelque peu dépassé techniquement, puisse se vendre facilement, je le propose à un prix attractif. Et là aussi, j’ai eu un acheteur quelques heures après le dépôt de l’annonce. Je suis assez satisfait de ces opérations, car cela signifie que de tels investissements faits il y a des années conservent une certaine valeur, malgré une utilisation assez intensive.
Vendredi, j’ai été assez ému au travail par le courriel d’une de mes collègues (qui ne travaillait pas ce jour-là) et qui se disait contente de m’avoir comme chef en me trouvant de multitudes qualités. Elle voulait ainsi me remercier de l’avoir aidée à obtenir son temps partiel. La connaissant quelque peu, je sais qu’elle n’a pas dit cela facilement ni à la légère, ce qui ne pouvait que me réjouir. Une réjouissance bienvenue quand il faut négocier avec des partenaires difficiles et malhonnêtes intellectuellement.
Samedi, branches forestières sur ciel bleu grisonnant.
La fin du bouquet de Narcissus de dimanche de la semaine dernière.
Aujourd’hui, beau soleil au travail, permettant d’aller photographier les fleurs exceptionnellement bien épanouies de Eranthis hyemalis (L.) Salisb. (Hellébore d’hiver).