Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Cornus rex-populi

Archives
30 janvier 2016

A comme... (1)

Pendant ces vacances, après notre passage à Condrieu, nous sommes rentrés par Pélussin, à la maison du parc du Pilat, installée dans un ancien moulin où l’on filait la soie. J’y étais déjà passé il y a 15-20 ans, mais cela a bien changé depuis. L’espace « musée » est assez limité, mais il y a quelques dépliants à emporter (le côté office de tourisme) et quelques livres en vente. Je suis tombé sur un livre qui se prétend dictionnaire du français local. Je l’avais à peine ouvert que j’ai découvert des tas mots que je connais. Des mots que je sais locaux, largement* employés dans la vallée moyenne du Gier ou dans ma famille maternelle. Mais aussi des mots que je pensais jusque-là appartenir au français académique. Cela faisait longtemps que je m’étais aperçu de cela, mais là, j’en ai vu énormément et en réalité, c’est assez réjouissant. J’ai donc acheté ce livre dont l’auteur (MARTIN, 1989) était professeur à l’Université Lumière-Lyon 2 et directeur du Centre de recherches et d’études anthropologiques.

J’ai donc décidé de dévoiler ici quelques mots au fil des jours (uniquement ceux que je connais, bien entendu). Voici le premier.

ABOUCHON (EN - ) loc. adv.

  1. face contre terre (en parlant d’une personne).
  2. à l’envers (en parlant d’un verre, d’un bol…).
  3. sens dessus dessous.

Remarques : je ne l’ai jamais entendu précédé de « en ».

MARTIN J.-B., 1989 [réédition 2014]. – Dictionnaire du français régional du Pilat. Éditions Christine Bonneton [réédité aux éditions Visages de notre Pilat, Pélussin], 169 p.

* Il semblerait que ce « largement » ne s’applique que chez les personnes plus âgées que moi, car d’après l’étude universitaire qui fait office d’introduction à ce livre, on pourrait considérer que ma connaissance de ce vocabulaire est largement au-dessus de la moyenne pour mon âge, c’est-à-dire moins de 20 ans à l’époque de la réalisation de l’étude (1989 au plus tard). Ces éléments sont néanmoins à relativiser car l’étude a essentiellement porté sur le canton de Pélussin dont je ne suis pas issu (mais n’en suis pas loin toutefois).

Publicité
Publicité
28 janvier 2016

Serpent à trois têtes

Calyste parlait de serpents chez lui (voir ici), mais on doutait, que sur le tympan du Jugement dernier de Gislebertus de la cathédrale Saint-Lazare d’Autun, il existât un serpent à trois têtes (et non à deux têtes). Voici la preuve en image de la partie du tympan consacrée à la pesée des âmes (rediffusion).

TG0001

25 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (12 et fin)

Pour le repas du jour de l’An passé en compagnie de mes oncle et tante, Fromfrom nous a concocté un très bon et beau gâteau : une horreur, un cauchemar karagarien, car hérissé de petites meringues. Pourtant c’est bon quand elles sont croustillantes à l’extérieur et fondantes à l’intérieur.

G0001

G0002

24 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (11)

Un autre jour, me prend l’idée d’aller quérir quelques bouteilles de Condrieu, ce vin blanc de cépage Viognier de la rive droite du Rhône dont les vignes poussent des coteaux exceptionnellement pentus, correspondant aux derniers contreforts nord-est du Pilat.

Pour y aller, nous avions pris l’autoroute (une autoroute dont la vitesse est en permanence limitée à 90 km/h, est-ce encore une autoroute ?), alors m’est venue l’idée de faire un petit détour pour aller voir l’église de Ternay dont Calyste avait parlé ici au printemps dernier. Le ciel était sérieusement plombé, mes photos ne sont donc pas terribles. Calyste avait fait beaucoup mieux et en plus, il avait déjà tout dit dans sa note.

TE0001

TE0002

TE0003

TE0004

TE0005

TE0006

TE0007

TE0008

TE0009

TE0010

TE0011

TE0012

TE0013

TE0014

TE0015

 

24 janvier 2016

Un lundi que je redoutais

Lundi matin, mon premier rendez-vous était une réunion de recadrage d’un salarié. En effet, en décembre, son chef d’Amiens, excédé à la fois par la très mauvaise conduite d’un important projet et par son comportement « de gamin », il avait fini par l’engueuler violemment, puis sur mes conseils à lui faire une lettre de recadrage, qu’il n’a pas acceptée. Ce salarié s’est fait assister par un délégué du personnel, qui lui possède un vrai talent, réussissant presque à retourner la situation en mettant l’accusateur à la place de l’accusé. Le chef d’antenne a très mal vécu cette période, car ayant de bons rapports avec ses subordonnés et voulant privilégier l’efficacité pour le rendu du projet, il n’avait pas voulu s’attaquer à son collaborateur pour ne pas le perturber avant le rendu effectif. La réunion de lundi était donc minée. J’avais donc en face de moi le salarié, le délégué du personnel, le chef d’antenne et la directrice administrative. En tant que chef de service, j’avais déjà recadré très sèchement un salarié, mais cela n’avait pas fait de bruit, même si lui m’en avait beaucoup voulu après ça (mais bon, que peut-on faire avec des dingues ?). Là, le salarié n’est pas dingue, il a juste un côté enfant gâté auquel on n’a jamais fait de reproches. Et puis sans doute le sentiment que le fait de travailler dans une association, avec des gentils copains qui passent tout. Après avoir planté le décor, la réunion bien que très tendue, s’est finalement bien passée puisque le salarié a fini par reconnaître la totalité de ses torts, y compris son comportement (manque de respect vis-à-vis de certaines personnes avec l’alibi de l’humour) et le chef a pu dire la raison de sa colère accumulée et qui avait explosé. Je pense que l’affaire est résolue, du moins pour l’instant.


Ensuite, c’était la réunion mensuelle de coordination avec les chefs. Là, c’était la récréation, d’autant qu’il n’y avait pas motif à engueulades, comme la plupart du temps, heureusement. Nous avons avalé nos sandwichs entre les diverses prises de parole.


En début d’après-midi, premier entretien d’évaluation avec la chef de Rouen. Là aussi, je n’avais pas que des choses agréables à dire. Quand je suis passé en mode reproches, elle s’est figée, a rougi et je l’ai vue au bord des larmes. Je l’avais déjà largement perturbée lorsque je m’étais sérieusement accrochée avec elle début décembre. Elle est très émotive et prend tout pour elle, même ce dont elle n’est pour rien, ce qui fait qu’elle vit très mal les choses qui ne vont pas. C’est dingue. Elle manque de rigueur « administrative » et d’organisation (ce qui agace tout le monde), ce n’est pas la plus brillante des botanistes, mais elle a beaucoup de talents par ailleurs, notamment pour aller conclure des projets avec différents partenaires. Donc, c’est un très bon élément. J’ai donc décidé de lui demander de faire des points réguliers par téléphone pour la suivre de plus près. Elle doit considérer que c’est une forme d’ingérance, mais c’est la seule solution que j’ai trouvée pour l’instant pour l’aider. A voir à l’usage…


Après ça, c’était l’heure d’aller au à la galette et aux vœux avec l’ensemble des salariés. J’ai dû me fendre d’un petit « discours » pour remercier l’ensemble du personnel pour les réalisations 2015 (je l’avais déjà fait par écrit), nos difficultés financières pour 2016 et néanmoins notre optimisme. C’est à ce moment là qu’est arrivée notre présidente par intérim. Elle a dit un petit mot également, pour la forme, mais elle n’était pas bien à l’aise. Elle a pris un peu peur quand on lui a dit qu’on avait contracté un prêt de 100 000 € à la banque pour payer les charges en janvier et que j’avais signé en son nom. Évidemment, c’est un problème de trésorerie car nous avons de nombreux débiteurs à commencer par l’État et les collectivités territoriales qui ne paient pas ce qu’ils doivent. Ça et l’Europe qui ne paie rien en avance fragilisent des structures comme la nôtre, sommes leurs « banques », ce qui est un véritable scandale, quand on connaît la vulnérabilité du tissu associatif. Les vraies banques, elles, ne nous font pas de crédit à taux zéro et profitent allègrement du système. Heureusement que notre banque nous fait confiance.


Après avoir avalé ma part et bu ma coupe de bulles, je suis retourné avec le chef d’Amiens pour son entretien. Là, je n’avais pas de reproches à faire, mais juste à dialoguer. Ouf.


A 18 h 45, sans avoir totalement terminé, il était temps pour moi de me rendre aux vœux du maire de B. à la salle des fêtes de la ville où j’étais annoncé. J’ai décidé d’y aller, non pas pour l’intérêt que je porte à ce genre d’exercice (c’était ma première fois, y compris à titre personnel), mais pour faire de la « relation publique ». A l’heure dite, la salle était déjà pleine à craquer. Je passe sur la rétrospective de l’année, les associations mises en avant, sur les médailles de la ville remises à trois personnes, sur le discours du maire en images, en partie sécuritaire, paternaliste et réactionnaire (mais pas que, heureusement). L’éloge de Miss Flandre de venue Miss Nord-Pas-de-Calais et finalement Miss France est resté en définitive assez sobre, mais cela fait déjà des mois qu’il bassine tout le monde avec ça. On sait ce que je pense de cette vente télévisuelle de viande noyautée par de vieux gros salopiauds. Presque deux heures plus tard, je pouvais aller saluer mon conseiller municipal préféré membre de notre conseil d’administration, ce qui m’a permis de saluer le maire (bof, pas chaleureux le type, mais bon, il avait beaucoup de chats à fouetter), et deux nouvelles conseillères régionales fraichement élues, et même de discuter un peu avec l’une d’elles qui devrait entrer dans notre conseil d’administration, la décision devant se prendre prochainement au sein de l’assemblée régionale. Sur le ton de l’humour, elle aurait voulu que l’ancienne présidente, désormais à la retraite, fût élue à vie, mais elle, elle s’y voit mal. Moi, si. Nous verrons bien. Il y avait plein d’autres maires et élus de Flandre dans la salle. Après avoir bu un jus d’orange, j’ai dû me faufiler avec grandes difficultés pour sortir de la salle.


Étonnamment, en rejoignant Fromfrom, je n’étais même pas été fatigué par ma journée. Deux amaryllis photographiés il y a peu pour conclure.

Am0001

Am0002

Publicité
Publicité
23 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (10)

A peine arrivés à la base ligéro-ripagérienne, nous réalisons une lessive et en allant étendre le linge dans le jardin ensoleillé, je saute comme un cabri éléphant et vlan, paf, boom, mon pied mord sur une dalle de travers et c’est l’entorse. Je ne suis pas allé voir un médecin, je me suis contenté de pommade, tout en limitant mes déplacements. Impossible dans ces circonstances de circuler en ville ou d’aller au musée, comme cela aurait pu l’être avec Calyste à la confluence sauconno-rhodanienne. Pas de « grande » visite au programme, donc. Et le Pilat sans la moindre neige même à son plus haut sommet a été également en grande partie délaissé.

Direction Veauche (plaine du Forez) pour voir l’église Saint-Pancrace, qui fut un temps une priorale dépendant de l’abbaye d’Ainay de Lyon. Il semblerait que les premiers vestiges de cette église remontent à l’époque carolingienne. Hélas, nous n’avons pu entrer dans l’édifice, uniquement ouvert à l’occasion des offices.

VE0001

VE0002

VE0003

Nous étions un peu énervés par ce principe de laisser les édifices si durablement fermés et nous sommes allés un peu plus au nord, sur le rebord oriental dominant la plaine du Forez. La commune abrite la source d’une des eaux pétillantes les plus connues : Badoit.

La mairie (fin du XIXe s.).

SGM0001

 

L’église (XVe s.) et la Vierge au pilier (début du XVIe s.).

SGE0002

SGE20001

SGE0003

SGE0004

SGE0005

SGE0006

SGE0007

 

Nous passons par la cité des chapeaux de feutre (Chazelles-sur-Lyon) et par Saint-Symphorien-sur-Coise dont nous ne cherchons même pas à aller nous casser une nouvelle fois le nez devant la porte toujours fermée de l’église (voir ici).

SSSCE0001

SSSCE0002

 

Nous décidons de passer par le signal de Saint-André-la-Côte, un des plus hauts sommets des monts du Lyonnais et où je ne me souviens pas d’être déjà allé. Depuis le parking, pas question d’aller au panorama du sommet pour cause de cheville. Mais nous trouvons un autre endroit un peu plus bas pour observer la vue sur une partie de l’agglomération lyonnaise et surtout les Alpes et le Mont-Blanc.

A0001

A0002

 

Après cela, retour par des villages a priori plus connues de moi dont Riverie dont je ne connais cependant pas le centre médiéval (nous n’irons pas non plus car c’est désormais fermé à la circulation automobile). Nous rentrons ensuite en passant sur les terres des mes grands-parents maternels. Je me suis tant promené dans ces lieux quand j’étais gamin, que je suis toujours ému de voir les endroits qui sont restés à peu près en l’état.

22 janvier 2016

Ce matin

Je guettais un lever de soleil acceptable depuis un bon moment. Il est enfin arrivé ce matin. Deux endroits éloignés de plusieurs kilomètres.

C0001

C0002

19 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (9)

La Loire est toute proche (pas de photos, la lumière n’était pas favorable et ce n’était pas au programme, faute de temps). Même s’il ne démérite pas, cette portion du fleuve n’est pas le plus passionnant que je connaisse pour les paysages à cause de la quasi-absence d’îles* et compte tenus de francs-bords** étroits. La Loire paraît dans le Loiret et le Loir-et-Cher, toutes proportions gardées, comme étant assez étroite, morphologiquement assez simple voire un peu monotone, si je mets de côté ce secteur précis les méandres dans lesquelles nous étions en amont d’Orléans (ceux de Guilly, celui de Sandillon étant plus en aval) qui eux sont remarquables à plus d’un titre et d’ailleurs uniques en Loire moyenne. Même si je ne m’étais pas attardé dans ce secteur durant mes travaux de thèse (ou avant), j’y avais fait quelques prospections des plus intéressantes sur la flore et la végétation (pelouses sèches inondables), en compagnie de celui qui fut le meilleur botaniste ligérien et que j’allais visiter régulièrement à La Charité-sur-Loire, à la fois pour ses apports scientifiques et sa sympathie (voir ici).

Mais bien que le lieu soit indissociable dans mon esprit et de cet homme remarquable et de la Loire, nous n’étions pas là pour ça, mais pour aller visiter l’abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire (ou abbaye de Fleury). En cette saison, seule l’abbatiale est ouverte à la visite et encore pas entièrement (chœur) car elle est encore utilisée par des moines bénédictins. Là, ce n’était pas une surprise, je le savais. Avant la visite, nous avons déjeuné dans l’hôtel-restaurant qui donne sur la place. Nous l’avons choisi à la fois par hasard et parce qu’il n’y avait pas grand-chose d’ouvert ce jour là dans le secteur très rural. Cette fois, le hasard n’a pas fait notre bonheur : l’établissement fait de la cuisine très ordinaire et fait payer bien trop cher ses modestes prestations. A éviter, donc.

L’abbatiale date du XIe s. (tour-porche) et des XI-XIIe s. pour l’abside, et Renaissance partiellement gothique (quand ?) dans la nef. La tour-porche est absolument remarquable, constituant une sorte de narthex qui n’est pas, de mon point de vue, sans rappeler Paray-le-Monial. Les chapiteaux historiés y sont nombreux (certains ont été restaurés il y a peu).

SBSLe0001

SBSLe0002

SBSLe0003

SBSLe0004

SBSLe0005

SBSLe0006

SBSLe0007

SBSLe0008

SBSLe0009

SBSLe0010

SBSLe0011

SBSLe0012

SBSLc0001

SBSLc0002

SBSLc0003

SBSLc0004

SBSLc0005

SBSLc0006

SBSLc0007

SBSLc0008

SBSLc0009

SBSLc0010

SBSLc0011

SBSLc0012

SBSLc0013

SBSLc0014

SBSLc0015

SBSLc0016

SBSLc0017

SBSLc0018

SBSLc0019

SBSLc0020

SBSLc0021

SBSLc0022

Et un Sciapode de plus !

SBSLc0023

 

L’intérieur est très lumineux (c’est vrai qu’il faisait particulièrement beau ce jour-là). Encore des chapiteaux. Nous n’avons pu pénétrer dans le chœur, en particulier dans le déambulatoire ce qui est bien dommage, vue sa complexité. Petite déception/frustration de ce côté-là.

SBSLi0001

SBSLi0002

SBSLi0003

SBSLi0004

SBSLi0005

SBSLi0006

SBSLi0007

SBSLi0008

SBSLi0009

SBSLi0010

SBSLi0011

SBSLi0012

SBSLi0013

SBSLi0014

SBSLi0015

SBSLi0016

SBSLi0017

SBSLi0018

SBSLi0019

SBSLi0020

SBSLi0021

SBSLi0022

SBSLi0023

SBSLi0024

SBSLsupp0001

SBSLsupp0002

 

Il y a aussi la crypte avec des reliques de Saint-Benoît, comme il se doit.

SBSLcr0001

SBSLcr0002

SBSLcr0003

SBSLcr0004

SBSLcr0005

 

En définitive, j’ai bien aimé notre visite globalement avec ce couple d’édifices Germigny-des-Prés et Saint-Benoît-sur-Loire.

 

* Une île est un espace de « terre » situé entre deux bras du fleuve.

** Un franc-bord est un espace de « terre » situé entre le pied de la levée (digue) et le bras principal du fleuve ou de l’un de ses bras secondaire.

18 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (8)

Nous sommes partis le soir du jour de Noël, en faisant une courte escale nocturne hôtelière près d’Angers. Nous ne nous sommes pas pris les puces aux côtes de lendemain pour nous diriger dans le Loiret, d’abord pour l’église de Germigny-des-Prés. Il s’agit en fait d’un oratoire carolingien (début du IXe s.) en croix grecque. Cet oratoire est devenu priorale au XIe s. puis église paroissiale deux siècles plus tard. Elle a été dotée d’une nef aux XV-XVIe s. Dans le cul-de-four de l’abside, on trouve une mosaïque byzantine (anges entourant l’Arche d’alliance), la seule de France, dit-on. Les autres décors de l’abside semblent avoir été profondément restaurés ou refaits. Pour les statues, de remarquables sainte Anne du XVe s. et une piéta du XVIe s.

GDPe0001

GDPe0002

GDPe0003

GDPe0004

GDPi0001

GDPi0002

GDPi0003

GDPi0004

GDPi0005

GDPi0006

GDPi0007

GDPi0008

GDPi0009

GDPi0010

GDPi0011

17 janvier 2016

Séjour armorico-ligérien 2015-2016 (7)

Après cet épisode capiste qui m’a guéri de mon rhume, nous sommes retournés à la Lande à genêt pour le réveillon avec la duchesse-mère bien entendu et le vicomte Spluseger et pour, la journée de Noël, avec la vicomtesse Seurez et sa fille benjamine, et dans l’après-midi avec les deux aînées.

Le 24 au soir, passage rapide au Cabelou à Concarneau.

C0001

C0002

 

Le 25 au matin, la Pointe de la Jument, déjà sur la commune de Trégunc. Les photos ont été prises avec le petit appareil de Fromfrom (je n’avais pas les miens), qui s’avère assez décevant à l’utilisation : difficultés pour trouver la bonne exposition, notamment quand les contrastes sont forts, surexposition, couleurs fadasses, sauf quand on active un module qui les ravive de manière caricaturale. A l’extérieur, pour les photos de paysage, l’utilisation de cet appareil est d’usage délicat, d’autant que les réglages sont brutaux voire carrément inexistants. Voici quand même ce que cela donne.

PJ0001

Une madeleine géante !

PJ0002

PJ0003

PJ0004

PJ0005

PJ0006

Publicité
Publicité
Cornus rex-populi
Publicité
Derniers commentaires
Publicité