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Cornus rex-populi

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29 mai 2013

Brèves cornusiennes (3)

Un soulagement, très relatif, en apprenant en fin de semaine dernière que mon collègue est atteint d’un cancer moins grave et évolutif que ce que j’avais imaginé.


Hier, j’étais encore à Paris pour la journée, une nouvelle fois dans la grande arche de la Défense, dans l’une de ses épouvantables salles de réunions sans fenêtres au 19e étage de la pile sud. Les bureaux des fonctionnaires du Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie ne sont guère mieux lotis puisque les immenses couloirs ont un aspect très froid et n’invitent pas à la convivialité. Depuis environ cinq fois que je viens là, je n’ai jamais observé d’interactions un peu sympa entre les occupants des bureaux, mais juste des gens qui font la gueule. Les fenêtres ne s’ouvrent pas non plus. Si on veut prendre l’air et respirer le bon air parisien, il faut prendre l’ascenseur, passer les sas de sécurité. La cantine est quasiment en sous-sol. Une horreur également. Il y a bien un espace interne, non accessible de l’extérieur où l’on peut prendre l’air ou fumer, mais encore une fois, c’est 100 % minéral et moche. Je ne parle pas des RER et autres métros bondés, des couloirs crasseux, des gens fourmis pressés, excités. Tout cela est absolument hideux et inhumain. J’ai commencé à me rendre à Paris pour des raisons professionnelles en 1997 et depuis 7-8 ans, j’y vais bien 5-6 fois minimum par an. Et à chaque fois, je suis stressé, même si j’essaye d’arriver suffisamment tôt pour ne pas avoir à me précipiter comme un fou dans les couloirs du métro. Toutefois, la réunion d’hier a été intéressante et fructueuse, ce qui n’est déjà pas mal. Je suis néanmoins rentré fiévreux et épuisé.


Dans le jardin du boulot lundi soir avant notre soirée pour fêter le printemps (!!!).

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Dans notre jardin, une variété de tulipes se maintient bien malgré plusieurs semaines de floraison et la pluie. Nouvelle floraison de l’hybride d’Ancolie des Alpes qui ressemble bien plus maintenant à Aquilegia vulgaris L. (Ancolie commune).

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Leucanthemum vulgare Lam. (Marguerite), forcément.

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Heureusement aujourd’hui, je ne travaillais pas. Nous avons pu emmener la voiture au garage pour le passage de l’expert. En même temps, j’ai reçu confirmation écrite de l’assurance que ma responsabilité n’était pas engagée. Il faut encore attendre le rapport d’expertise pour envisager la réparation. Le garage m’a quand même rendu la voiture en sécurisant ce qui pendouillait.


Ce matin, petit passage en forêt sur un futur terrain de jeu. Ce n’est que le début de la floraison d’Iris pseudacorus L. (Iris faux-acore).

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24 mai 2013

Brèves cornusiennes (2)

J’ai encore eu un accident de voiture ce soir en rentrant du travail. On m’a « tout simplement » fait un refus de priorité gros comme une maison. Heureusement, je ne roulais pas très vite (sur une route limitée à 90 km/h) et comme j’ai freiné de façon extrêmement puissante, les dégâts sont somme toute limités, même s’ils sont significatifs (pare-chocs, aile, phares). Et surtout aucun blessé. Je me suis aperçu que le conducteur de l’autre voiture, qui soi disant était pressé d’aller voir sa femme qui vient d’accoucher, n’était pas très finaud si j’en juge par son comportement, ne sachant pas quel était le nom de son assurance, ni la façon de remplir le constat…


Hier réunion à Paris à la Société nationale d’ho*rti*culture de France. Je ne connaissais presque aucun des intervenants. J’y ai repéré un homme, la cinquantaine, très élégamment vêtu, avec un complet gris et un nœud papillon et une moustache comme on n’en voit jamais, sorte de synthèse bouclée entre Salvator Dali et Hercule Poirot.


 

Ce soir, dans un jardin du boulot, Iris albicans Lange (Iris blanchissant).

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23 mai 2013

Il paraît que nous sommes en mai

Quelques images du jardin prises entre le week-end dernier et hier soir entre les gouttes de pluies.

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Notre façade avec pensées blanches et oranges et lys en devenir. Personne ne nous a déménagé nos jardinières depuis bientôt un mois qu’elles sont là. Nous restons les seuls à avoir disposé des jardinières sur le trottoir. Est-ce que cela suscitera des vocations ?

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L’azalée japonaise, après quelques traitements de choc a réussi à fleurir malgré ses nombreuses branches mortes.

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Une palette de roses.

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Les aulx sont désormais trois.

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Et hier, Convallaria majalis L. (Muguet de mai) était à son optimum pour la cueillette. Il était temps.

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22 mai 2013

Hier, c'était concert

Hier soir, nous sommes allés écouter l’orchestre symphonique de Lille qui officie depuis à peine quelques mois dans une salle refaite à neuf et qui est, selon les spécialistes, une très belle réussite. Depuis le début de l’année, j’avais proposé à Fromfrom d’aller à ce spectacle « must du classique » sans en connaître véritablement le programme. Seuls quelques compositeurs étaient vaguement cités, et cela nous avait suffi pour réserver nos places. Pour une première dans une salle de concert d’un orchestre symphonique, il me paraissait important de viser des « valeurs sûres » d’œuvres ou de compositeurs que j’étais à peu près certain d’apprécier. C’est sans doute un des aspects de mon caractère prudent, voire conservateur, mais le but était bien avant tout de se faire plaisir par l’écoute d’un véritable orchestre symphonique. De plus, j’avais la claire intention de réserver des places de premier choix dans le « carré d’or » s’il y avait encore de la place. Effectivement, il y avait de la place et je m’attendais à payer en conséquence. Eh bien non, au tarif normal, c’était moins cher qu’une place de cinéma à tarif réduit ! Quelle bonne surprise. Nul doute que ce genre de prestation est faite pour attirer du monde, en particulier des personnes a priori assez peu habituées à la musique « classique » ou des amateurs peu cultivés dans mon genre. A la nuance près que le prix n’était pas rentré dans mes critères.

Les musiciens qui n’étaient pas déjà en train d’accorder leurs instruments sont rentrés pile à l’heure prévue, suivis du premier violon, puis du chef, l’incontournable Case-à-dessus.

La première œuvre jouée, « Fanfare pour précéder La Péri » de Paul Dukas, assez courte, montrait déjà de belles choses, mais sollicitait essentiellement les cuivres. L’originalité de ce concert (quatre représentations en tout) était aussi que quatre des œuvres étaient choisies par les spectateurs internautes (il y a une quinzaine de jours nous avions voté).

Le deuxième morceau, « Bacarolle » (« Les Contes d'Hoffmann ») de Jacques Offenbach fut un ravissement pour moi puisque je n’ai pas pu retenir des larmes d’émotion. Les choses ne se sont pas beaucoup apaisées avec « La marche hongroise » (La damnation de Faust) d’Hector Berlioz, l’introduction de « La chauve-souris » de Johann II Strauss, « Tableaux d’une exposition » de Maurice Ravel d'après Modeste Moussorgski, le « Boléro » de Maurice Ravel.

Que dire en forme de conclusion provisoire ? Je n’ai pas d’éléments de comparaison, je n’ai pas l’oreille apte à entendre ce que peut capter une oreille experte, mais j’ai trouvé l’acoustique plus qu’excellente. La respiration d’un tel orchestre a une telle profondeur, un tel souffle, que l’on ne pouvait que succomber, d’être parcouru par des fourmillements de bonheur. Et puis les musiciens étaient particulièrement bons, le chef aussi. Ce n’était pas de la soupe. Avec Fromfrom, nous avons trouvé le concert bien trop court (une heure), mais ça a été si intense pour moi que j’en suis presque ressorti épuisé. Il me (nous) tarde de recommencer avec un programme qui nous conviendra. Pourquoi ny étions pas allés avant ?

18 mai 2013

Débat pour tous

Comme le disait le célèbre évêque d’Autun, tout ce qui est excessif est insignifiant. Mais cette insignifiance peut s’avérer sacrément emmerdante voire quasi criminelle dans certains cas. Ainsi en va-t-il, des formes aiguës de certaines oppositions excitées au mariage pour tous. Je me réjouis que la loi soit enfin promulguée et mise en application très prochainement.

Jusqu’à présent, les médias n’ont quasiment relayé les positions que des opposants politiques ou des opposants religieux ou dogmatiques caricaturaux, qui ont surtout montré les différentes facettes de leur homophobie, parfois inavouée, souvent exacerbée. Nous avons peu entendu ceux qui avaient véritablement des choses pas idiotes à dire (philosophes, chercheurs en sciences biologiques, médicales ou humaines). Pas des choses à dire sur le mariage en tant que tel, mais sur les conséquences sur l’adoption des enfants ou la procréation médicalement assistée. Évidemment, débattre intelligemment de cela dans les grands médias, c’était sans doute pas assez vendeur. Je ne dis pas que le débat n’a pas eu lieu, notamment dans les premières phases de consultation avant le premier examen de la loi, mais cela fait bien longtemps que ces aspects ont disparu de l’horizon politico-médiatique alors que ce sont les seuls qui auraient mérité que l’on en discute.

Encore une fois, j’étais pleinement favorable à cette loi, y compris la problématique de l’adoption. Cependant, jusqu’en 2004-2005, je m’interrogeais sur le devenir des enfants dans les couples homosexuels, mais la confrontation avec la réalité des faits et des témoignages avaient eu raison de ma frilosité qui n’était qu’un manque cruel de culture et de connaissances. On n’a jamais fini d’apprendre des autres…

Toutefois, je me pose toujours la question de la procréation médicalement assistée. Si elle paraît assez « aisée » (tout est relatif) pour les couples de femmes, elle est, sauf erreur, bien plus difficile pour les couples d’hommes. Il y a bien ici, sinon une inégalité, au moins une différence essentielle dont il faut bien tenir compte d’une manière ou d’une autre. Je suis loin d’avoir tout vu, lu, entendu, mais cette problématique n’est pas parvenue jusqu’à moi dans le cadre des discussions. Et pourtant, il faudrait bien en parler, non ?

La problématique de la « gestation pour autrui », pour ne pas dire de « mères porteuses » me pose un problème, qu’il s’agisse de l’arrivée d’enfants pour des célibataires, des couples hétérosexuels ou homosexuels. Le problème de la marchandisation du corps, implicite ou explicite ne me paraît pas acceptable en l’état, même si certains disent que tout va bien à ce sujet, que c’est un choix, un « contrat ». Moi, j’y vois surtout des dérives possibles, parfois inavouables, dans lesquelles c’est bien finalement le plus faible qui est lésé. Je ne vois pas comment aborder le problème surtout quand on constate que le recours aux « mères porteuses » est toléré voire légal dans certains pays. Je crains que là aussi les débats intelligents sur le sujet soient peu audibles.

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14 mai 2013

Jardin cornuso-fromfromien le 14 mai

Sauf à faire de grands développements pour lesquels je n’ai pas le courage de me lancer, je n’ai pas grand-chose à dire. Alors voici de nouveau des photos de notre jardin. Des photos prises depuis deux jours. Avec encore des tulipes.

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Mais aussi des nouvelles du successeur de ‘Sneezy’ dont les fleurs finissent par tirer nettement sur le blanc.

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Alors que ‘Tina Heinje’ se pare de fleurs très « sneezyennes ».

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9 mai 2013

Brèves cornusiennes (1)

Jai plus d'une fois traité de choses qui nétaient pas particulièrement légères ou sans importance dans mes « Presque rien sur pas grand-chose », mais cela pouvait passer. Cette fois, cela mest impossible, doù le changement de titre.


Il y a une semaine, j’ai appris de manière indirecte qu’un collègue serait probablement atteint d’un cancer. Le conditionnel est de rigueur, mais si cela s’avérait, cela serait très préoccupant compte tenu de sa gravité particulièrement redoutable. Je n’ose y penser, d’autant que j’ai une certaine proximité avec ce collègue.


Une collègue, nous a bien fait rire en ce début de semaine lorsqu’elle s’est insurgée devant le fait qu’il y avait désormais des concurrents sérieux qui répondaient aux mêmes appels d’offres qu’elle. Elle a du mal à comprendre que c’était la situation qui existait jusque là qui lui était exceptionnellement favorable (dans son domaine). De là à ce qu’elle veuille dégommer tous les concurrents potentiels…


Des photos de lundi et mardi soirs aux jardins du boulot.

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8 mai 2013

Vacances armoricaines avrilesques 2013 (5 et fin)

De retour de Perros-Guirec, passage éclair par Morlaix pour boire un verre à une terrasse près de l’église.

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Et nouveau franchissement des Monts d’Arrée enfin sous le soleil.

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Le lac de Saint-Michel, ses abords et sa centrale nucléaire (Brennilis) en devenir.

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La chapelle Saint-Michel-de-Brasparts sur son mont.

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Le lendemain, nous sommes allés au musée bigouden de Pont-l’Abbé. On nous y explique, entre autres, l’histoire de la fameuse coiffe, phénomène qui au-delà du cliché plus qu’éculé, reste à mes yeux assez incroyable.

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Destination ensuite le Guilvinec pour y voir rentrer les bateaux, notamment langoustiniers, aux alentours de 17 heures. Mon père qui avait raté ça il y a cinq ans et demi (pour cause de grève – celle où un pêcheur perché avait interpellé l’ancien Président), a été ravi de voir ça. C’est vrai, que les bateaux font un peu la course pour rentrer. En revanche, à moins d’aller à la criée, il n’est absolument pas intéressant d’aller acheter ses langoustines aux poissonneries du port. C’est une véritable arnaque. On ne s’est pas fait avoir.

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Enfin, après le repas, direction la Pointe de Trévignon pour le coucher de soleil.

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Le lendemain, sur invitation de la duchesse mère, retour à Pont-Aven pour un restaurant toujours aussi bon (c’était notre troisième visite). Après le repas, des larmes fromfromiennes : la déprime habituelle en quittant sa mère qu’elle ne reverra pas avant les vacances d’été.

Le soir, invitation du Seigneur de Karagar en son château, qui nous avait réservé un menu d’hôtes de marque. C’est tout juste si je ne me suis pas pris pour le comte Pornus. Visite guidée dans le jardin et ses différentes annexes. Je constate que nombre de plantes exotiques se portent fort bien, paraissant singulièrement en avance sur la flore indigène ou spontanée. Le menu, en partie plumien, était excellent. Le dessert, une belle innovation. Pas que belle, d’ailleurs, surtout exquise. Je constate avec gourmandise que les desserts kararagiens sont à chaque nouvelle visite, des nouveautés fort réussies. Nous aurions bien causé toute la nuit, mais il a fallu que nous rentrions car le lendemain, nous devions rendre les clés du gîtesdans les temps et il nous fallait quand même un peu dormir.

Dîtes, les amis, en particuliers les Bretons, quand est-ce que vous venez nous voir dans notre Septentrion ? Vous nous manquez tant...

6 mai 2013

Vacances armoricaines avrilesques 2013 (4)

Mes parents avaient exprimé l’idée de faire un tour de bateau. Pour l’estuaire de l’Aven, c’était visiblement trop tôt en saison. Pour l’estuaire de l’Odet, cela intéressait moyennement Fromfrom qui connaissait déjà. Et puis nous avons découvert qu’il existe désormais une autre croisière dans l’estuaire de l’Aulne depuis Landévennec qui avait l’air pas mal. Mais j’ai finalement trouvé quelque chose qui me plaisait davantage et qui présentait de plus l’intérêt de faire découvrir du même coup la côte de granite rose : les Sept-Îles au large de Perros-Guirec.

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Avant d’aller embarquer en tout début d’après-midi, nous sommes allés pique-niquer à Ploumanac’h où nous étions déjà allés en 2007 (voir ici).

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Nous sommes donc allés entre les îles, en commençant par l’Île Rouzic, dite « île aux oiseaux », celle qui accueille la plus importante population de Fous de Bassan nicheurs en France (23 000 couples aux dernières nouvelles) et la deuxième d’Europe après l’archipel de Saint-Kilda, à l’ouest au large de l’Écosse. De loin, on a l’impression que l’île possède des roches blanches, ce que la nature géologique du secteur interdit pourtant.

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Une île fortement approchée en bateau (une grosse vedette accueillant près d’une centaine de personnes). Un vacarme incroyable des Fous de Bassan (père et mère relayent pour couver se selon un cycle de près de 24 heures). Mais il y a aussi ceux qui n’en sont pas encore à la couvaison et confectionnent ou renforcent le nid avec des algues. Pas de place visiblement pour les individus immatures comme nous en avions vus de retour de l’Île de Sein (voir ici). Nous n’en avons vu aucun (pourtant, j’ai été attentif).

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Sinon, il y avait Albert le Goéland argenté qui nous suivait partout.

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L’Huîtrier pie.

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Le Fulmar boréal.

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Le Pingouin torda.

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Le Cormoran huppé.

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Et le Phoque gris que Fromfrom a été la première à apercevoir parmi les passagers du bateau, ce qui lui a valu d’être l’interlocuteur privilégié du guide durant le reste du parcours. Un guide intéressant d’ailleurs qui indiquait fort bien ce qu’il y avait à voir sans jamais entrer dans une approche infantilisante. Les phoques n’ont pas été vus comme souvent sur les rochers car il y avait un fort coefficient de marée et l’eau montait.

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Pas de Macareux moine car nous étions un peu trop tôt en saison (nous aurions eu une chance de les apercevoir plus tôt le matin ou plus tard le soir). Cependant, mon père a aperçu quelque chose de façon furtive qui aurait pu être ça.

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Retour par la côte de granite rose.

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5 mai 2013

Entracte jardinier

Quelques photos prises entre la semaine dernière et ce dimanche. Évidemment, ceux qui n’aiment pas les tulipes… devront patienter.

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