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Cornus rex-populi
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30 juillet 2021

Musée de Picardie (2)

Suite de la visite.

Paléolithique inférieur (800 000 à 300 000 ans).

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Pointes de lances. Âge du bronze final (env. 1000 av. J.-C.). Provenances inconnues.

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Amulettes égyptiennes (période gréco-romaine ?).

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Maître de l’Épiphanie de Fiesole ? La Vierge et l’Enfant entre deux anges. Florence, vers 1480-1490. Détrempe sur panneau de bois (peuplier).

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Attribué à Francesco Traballesi (Florence, 1544 – Mantoue, 1588). Portrait de femme avec sa fille. Vers 1550. Huile sur bois.

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Vénus Anadyomène (surgissant des eaux). Fin du Ier s. après J.-C. Terre cuite blanche dite de l’Allier.

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Masque funéraire de jeune homme ayant appartenu à un plastron. Vers 150 après J.-C. (période gallo-romaine). Provenance inconnue.

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Figurine d’Harpocrate. Égypte, Basse Époque (env. 664 à 332 av. J.-C.). Bronze.

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Espagne, vers 1480. Épisode de la vie de saint Thomas ? Tempera sur panneau de bois. Ce panneau était autrefois intégré dans un retable, ce qui explique le côté fragmentaire de la scène.

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Maître des Heures Collins (actif à Amiens vers 1430-1440). Puy de 1437 – Digne vesture au prestre souverain dit Le Sacerdoce de la Vierge. Huile sur panneau de bois. Tableau normalement visible au Louvre (Paris).

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Jusepe de Ribera (Jàtiva, 1591 – Naples, 1652). Saint Jean Baptiste dans le désert. Vers 1640-1642. Huile sur toile.

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Domenikos Theotokopoulos dit El Greco (Candie, île de Crête, 1541 – Tolède, 1614). Portrait d’homme. Vers 1600. Huile sur toile.

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John Scarlett Davis (Leominster, 1804 – Londres, 1845). Interior of the cathedral at Amiens. Vers 1841. Huile sur toile.

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Attribué au Maître des Portraits princiers, Jean Beugier ? Vierge de tendresse. Vers 1490-1500. Huile sur panneau de chêne, cadre original.

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Picardie, vers 1530-1540. Retable de la Passion du Christ. Pierre calcaire sculptée et polychromée.

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Augustin-Alexandre Dumont (Paris, 1801 – 1884). L’Amour tourmentant l’Âme. 1827. Marbre.

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Paul-Louis-Émile Loiseau-Rousseau (Paris, 1861 – 1927). Salem, nègre du Soudan. 1897. Marbre et bronze.

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Louis-Léon Cugnot (Paris, 1835 – 1894). Corybante étouffant les cris de Jupiter enfant. 1867. Bronze. Copie de l’œuvre originale en marbre située au musée d’Orsay à Paris.

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Georges Henri Guittet (Cholet, 1871 – Paris, 1902). Porteur d’eau africain. 1901. Marbre gris.

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Stephan Balkenhol. L’homme sur sa bouée. Bois. 1993.

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24 juillet 2021

Musée de Picardie (1)

Le jour du quatorze juillet… nous ne sommes pas restés dans notre lit douillet, nous sommes allés à Amiens, au musée de Picardie, le grand musée d’arts de la ville et un peu plus que cela. Un peu avant le premier confinement, il était fermé pour travaux et je pense qu’il avait eu le temps de rouvrir, mais nous n’avions pas pu en profiter. Voici quelques vue du musée.

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Pierre-Désiré Guillemet (Lyon, 1827 – Constantinople, 1878) et Étienne-Antoine-Joseph-Eugène Ronjat (Vienne, 1822 – ?, 1912) d’après Théodore Géricault. Scène de naufrage dit Le Radeau de la Méduse. 1859-1860. Huile sur toile. Copie fidèle de l’originale réalisée à la demande de l’État car l’œuvre originale, réalisée avec de mauvais matériaux se dégradait et avait besoin d’être restaurée. Par peur que la restauration se solde par un échec, cette copie de sauvegarde a été réalisée.

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21 juillet 2021

Encore trois devinettes !

La première est une peinture dont le style semble assez représentatif du style de l’auteur (encore que).

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La deuxième est une sculpture dont le style n’est pas forcément représentatif de l’auteur (encore que).

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La troisième est le lieu dans lequel on trouve les deux précédentes, mais n’est pas représentatif du lieu (encore que).

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15 juillet 2021

Devinette texturée

Qui devinera de quoi il s’agit ?

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13 juillet 2021

Brèves cornusiennes du mardi 13 juillet 2021

Mon père est rentré hier à l’hôpital en fin d’après-midi pour se faire opérer cet après-midi pour son hernie abdominale et il était éventuellement question de retirer une partie du colon et donc de pratiquer une colostémie aboutissant à un anus artificiel provisoire, ce qui ne manquait pas d’inquiéter mon père. Il m’a appelé 45 min après son réveil et visiblement, il n’a pas subi de grands travaux à l’intérieur (même s’il n’a pas eu d’informations précises). Il semblerait que cela soit de bonnes nouvelles, à commencer par le fait qu’il ne soit pas en soins continus, ce qui tend à montrer qu’il a fort bien réagi à l’anesthésie.

La situation de ma mère, en revanche, ne s’améliore pas, bien au contraire. Mon oncle et ma tante s’occupent d’elle. Elle a perdu toute notion du temps et elle a un comportement ingérable dès qu’on lui demande quelque chose. Il est désormais étonnant de l’entendre réagir normalement ou répondre correctement à des questions complexes (fin mai, nous l’avons entendu répondre correctement à une question de Questions pour un champignon avant les candidats, alors que je n’avais moi-même aucune forme d’idée de la réponse). Je n’épilogue pas.


Je suis personnellement favorable à la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 depuis qu’il y a des vaccins et que les personnes auraient pu avoir des rendez-vous. J’aurais imposé la vaccination de tous les soignants au printemps. Je suis sidéré d’entendre autant de bêtises de la part des soignants ou des autres personnes qui ne veulent pas se faire vacciner pour des questions de crainte vis-à-vis du vaccin (oui, le risque nul n’existe pas) ou vis-à-vis de leur prétendue liberté. Alors sous prétexte de liberté d’une minorité, on enferme tout le monde ? Après, je ne jette pas la pierre à ceux qui ne se sont pas encore fait vacciner pour diverses raisons, mais à présent, il faut y aller !

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11 juillet 2021

Fleurs estivales

Un peu plus d’un mois de fleurs entre le 1er juin et le 9 juillet. Du sauvage indigène, du sauvage d’un peu plus loin et quelques cultivars. Photos prises au travail, plus rarement à la maison. J’ai classé les plantes par famille et par genre.

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9 juillet 2021

Peinture calystéenne

Calyste a montré ce tableau dans sa série du jour consacrée aux villes italiennes. Et je connaissais ce tableau : la preuve (photo prise le 24 février 2017).

Luc-Olivier Merson (Paris, 1846 – 1920). Le loup d'Agubbio. Salon de 1878. Huile sur toile. Musée des Beaux-Arts de Lille.

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4 juillet 2021

Vacances éduennes de mai 2021 (4 et fin)

Nous terminons ces vacances avec une inquiétude : mon père a encore mal au ventre. Il est allé voir le médecin. Après cette semaine éduenne, mes parents sont rentrés à RdG afin d’être présent pour les travaux d’isolation des murs par l’extérieur et le ravalement complet de la façade (c’est fromfrom et moi qui avons choisi la couleur). Les problèmes intestinaux de mon père n’ont fait que s’agraver, et après avoir vu son médecin habituel à plusieurs reprises, elle l’a finalement envoyé aux urgences pour y faire plusieurs « scopies ». Résultat des courses : rien à l’estomac, mais nécrose partielle du colon, probablement du fait de son hernie abdominale (forme de pincement). Aux alentours de 1983, il avait été opéré de son ulcère à l’estomac et après l’opération, alors qu’il forçait au travail, cela avait déjà cassé une première fois, il avait alors été réopéré pour réparer, mais cela a cassé une nouvelle fois plus tard et n’avait plus voulu recommencer, ce qui lui l’ennuyait quand il avait des soucis gastriques ou intestinaux, mais il s’en accommodait). Cette fois, ce n’est plus possible. Il va être opéré le 13 juillet pour la hernie et peut-être couperont-ils un morceau de colon si celui-ci est en trop mauvais état (cela se régénère, mais jusqu’à une certaine limite).

Des photos de la maison à RdG faites avec le smartphone de mon père par la femme de ménage. Je n’ai pas touché au cadrage et au reste.

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Et deux photos de l’étang du Dragon terrassé (assemblages panoramiques).

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2 juillet 2021

Télétravail et confinement

Je viens de terminer ma troisième semaine avec 0 % de télétravail. Fin mars, j’avais installé mon PC (nouveau portable depuis février) à la maison avec un grand écran complémentaire et la chaise de bureau qui va bien. Et en conséquence, le jours où je retournais au bureau avec mon seul portable, j’étais moins bien installé car je ne pouvais pas transporter tout le total à chaque fois.

Au mois de septembre 2020, j’avais mis en place une charte du télétravail avec la possibilité de prendre un jour de télétravail par semaine et avec quelques garde-fous. Et puis dès la fin octobre, les mesures de confinement ont repris en autorisant le télétravail à nouveau de manière plus ou moins importante. Au dernier trimestre 2020, je n’avais quasiment pas été en télétravail pour diverses raisons, en particulier pour « surveiller » certaines personnes.

Le 9 juin, conformément aux consignes gouvernementales, on est sorti progressivement du télétravail dominant pour un retour à la « normale » le 30 juin. Mais je voyais que cela allait coincer, beaucoup de personnes se sont accommodées du télétravail, de la visioconférence, du partage de documents. Il faut dire que depuis un an, j’ai tout fait indirectement pour aller dans ce sens (enfin pas que moi, beaucoup de monde allait dans ce sens). Heureusement que nous avions pu, de justesse avoir un raccordement à la fibre dans les locaux au début de l’année 2020. Le premier confinement de 2020 avait été compliqué avec l’impossibilité d’accéder à notre serveur professionnel et ce n’est qu’en mai 2020 qu’une solution (payante et pas donnée) fut trouvée pour y accéder depuis chez soi, ce qui nous permit de rebasculer en télétravail de manière sereine en octobre. Donc, un jour hebdomadaire de télétravail ne suffirait plus. Il s’avère que le télétravail semble permettre plus de productivité (ce n’était pas gagné et je ne dis pas que c’est forcément bien/mieux et surtout cela n’est pas valable pour tout le monde) surtout en l’associant avec de bons outils comme T*e*a*m*s (ce n’est pas pour faire de la pub, mais c’est aussi le prolongement de nos suites de logiciels bureautiques). Nous venons donc de valider une charte de télétravail à deux jours hebdomadaires. Les représentants du personnel ne s’attendaient pas à cette nouvelle car ils pensaient que la direction ne bougerait pas. Bon, en même temps, c’est une forme de réciprocité en termes de responsabilités et c’est le sens de l’histoire. Il y a quand même d’autres intérêts : moins de transport et de stress lié aux déplacements et au temps perdu, moins de pollution… Bien sûr, il y a toujours des postes pour lesquels le télétravail est impossible ou très compliqué et des personnes pour lesquelles on ne le permettra pas ou qui ne le veulent en aucune manière. Nous avons la chance d’avoir des locaux suffisamment vastes.

Plus que le télétravail, le confinement et les règles sanitaires imposées par certaines collectivités à leurs fonctionnaires ont permis de multiplier les réunions en visioconférence. Et ça, quand cela fonctionne, je trouve que c’est un véritable confort : beaucoup moins de déplacements à l’autre bout de la région (ou dans les régions voisines) et ça aussi, c’est bien. Certains disent qu’il y a la convivialité en moins, mais dans 75 % des cas au moins, personnellement je trouve ça mieux car je n’ai aucune envie de voir certaines personnes (et les gestes barrière m’interdisent avec bonheur de les embrasser ou leur claquer la bise comme c’est trop la mode par ici, alors que l’on ne s’aime pas). Et là, que de temps gagné et de stress en moins ! Je crains que beaucoup reviennent trop à des réunions physiques : c’est dommage. La vraie convivialité oui, les bises des faux-culs, non !

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