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Cornus rex-populi
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30 mars 2017

Musée des arts anciens de Bruxelles : une œuvre, un jour (2)

Certaine sait comment entrer dans un tableau.

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Dirk Bouts. Haarlem 1410 ? – Louvain 1475. Panneaux de la justice de l’empereur Otton : Le supplice du comte innocent & L’épreuve du feu.

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28 mars 2017

Musée des arts anciens de Bruxelles : une œuvre, un jour (1)

Il n’y a pas que Magritte : dans la vie et à Bruxelles. Il y aussi le Musée d’art ancien (entre autres). C’est là où nous sommes allés l’après-midi, sans pour autant avoir le temps de faire le tour de la question.

Et on commence avec du solide. En tout cas, moi jaime beaucoup.

Maître de Moulins (Jean Hey ?). Actif en France entre 1480 et 1500. Vierge à l’enfant adorée par les anges.

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Jean Hey. Ecce homo. 1494.

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28 mars 2017

Palais des beaux-arts de Lille : une œuvre, un jour (37)

Eugène-Louis Lequesne. Camulogène. 1872. Plâtre. Camulogène était un chef gaulois ayant défendu Lutèce contre César.

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Auguste Rodin. Grande Ombre. 1880. Bronze.

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27 mars 2017

Palais des beaux-arts de Lille : une œuvre, un jour (36)

Magritte, j’aime bien. Mais revenons à des œuvres tombées dans le domaine public en reprenant un peu (juste un peu pour le moment) a visite du musée de Lille pour des sculptures du XIXe s.

Denis Foyatier. Cincinnatus. 1834. Plâtre.

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Denis Foyatier. Spartacus brisant ses liens. 1847. Bronze fondu à Paris.

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Jean Jacques dit James Pradier. Satyre et bacchante. Vers 1833. Groupe en plâtre surpeint.

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Ernest-Eugène Hiolle. Narcisse. 1868. Plâtre.

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26 mars 2017

Musée Magritte à Bruxelles (8 et fin prématurée)

Parfois, je ne sais pas ce qui me passe par la tête. Je ne souhaite en aucun cas publier des photos qui ne seraient pas libres de droit. Quand il m’arrive de publier des photos qui ne sont pas de moi (ce qui est rare), je me sers sur Ouiqui dont la licence Creative Commons mentionne l’obligation, tout à fait normale, de citer l’auteur de la photo quand l’auteur est identifié (c’est généralement le cas, même si le nom a parfois un caractère exotique), ce que je fais depuis plusieurs années. Les droits patrimoniaux (uniquement eux) des œuvres tombent dans le domaine public 70 ans après la mort de leur auteur. Très bien. Mais bêtement, je n’avais pas songé qu’avant ces 70 ans, mes photos de peintures ou d’autres œuvres constituent des copies illégales dès lors que je les diffuse sur l’internet, même si rien ne m’interdit de faire ces photos pour mon usage personnel. Du coup, j’ai effacé toutes les photos d’œuvres qui n’étaient pas dans les clous sur ce blog, à l’exception des deux dernières publications sur Magritte, que j’effacerai donc très prochainement. Donc, en définitive, la visite du musée Magritte se termine là, afin d’être conforme avec le droit et mes principes.

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25 mars 2017

Musée Magritte à Bruxelles (7)

Une petite série classée X. Enfin, si on veut.

Sans titre (La Pipe-sexe). 1945.

Le Galet. 1948.

La Magie noire. 1945. Ma préférée.

Lola de Valence. 1948.

Sans titre. 1948.

25 mars 2017

Erreur bientôt corrigée

Voici une note que j’avais écrite en janvier, mais que je n’avais pas publiée. L’énervement étant passé, je la publie quand même, moyennant quelques ajustements.

Début 2015 est arrivée au boulot une nouvelle personne (pour remplacer la précédente partie dans le Gard) dont la fonction était double : « gestionnaire du personnel » (chargée d’établir les bulletins de paie et tout ce qui gravite autour de ça) et aide comptable (instruction des factures émises ou reçues…). La personne qui assurait précédemment ces fonctions était rigoureuse et efficace et s’était rapidement formée sur ce qu’elle ne connaissait pas. Il s’est vite avéré que l’actuelle était molle, indolente et surtout d’une rigueur peu orthodoxe sur le volet comptabilité, raison pour laquelle elle avait été envoyée en formation. Nous avions noté peu d’améliorations en comptabilité, un certain je-m’en-foutisme face aux récriminations du chef comptable, mais aussi de plus en plus de plaintes de la part des salariés à propos de leur compteurs de jours fériés ou de RTT. Deux jours avant Noël, elle avait demandé à la directrice financière une augmentation, alors que le chef comptable notait de plus en en plus d’irrégularités, des retards dans le travail, des pauses qui s’éternisaient, du travail laissé en plan. Elle se plaignait du chef comptable, disant qu’il la fliquait, mais n’avait jamais tenté de s’en expliquer avec lui. Nous savions que les deux ne s’appréciaient pas, que la rigueur du chef comptable s’accommodait mal de la « poésie » de la dame. Elle l’a fait passer pour un psychorigide. Soyons honnête, il l’est, mais c’est aussi consubstantiel à sa fonction et à sa personnalité, et en réalité indispensable pour son boulot, très complémentaire avec la directrice financière. Et en définitive, c’est un champion dans son travail et on peut comprendre qu’il puisse en avoir marre de découvrir des erreurs et autres errements. Quand ma directrice financière m’avait dit ça, j’en avais été ahuri : comment peut-on réclamer une augmentation de salaire substantielle alors qu’on ne fait pas son travail correctement ? Autrement dit : « payez-moi davantage pour que je fasse mon travail correctement et que je ne fasse plus d’erreurs ». Pour moi, il était inacceptable de renverser à ce point la situation et c’était surtout injuste vis-à-vis de l’ensemble des autres salariés, auxquels on peut demander beaucoup par ailleurs et qui ne sont pas forcément merveilleusement bien payés. Comme il était évident qu’elle s’en irait tôt ou tard, nous nous sommes faits à l’idée d’une rupture conventionnelle de contrat d’ici fin mars (nous y sommes), pour au moins assurer un minimum de choses pour organiser les relais en comptabilité et pour la paie. Le travail sera à terme assuré par des salariés actuels en temps partiel. On verra bien, mais c’est aussi de bon augure par rapport à la baisse annoncée de notre budget.

Et puis un vendredi, alors que la salariée en question n’était pas là (pur hasard), ma directrice financière a mis son nez dans les compteurs de congés et de RTT et s’est aperçue de nombreuses erreurs. Elle a commencé par moi : un report d’heures de RTT 2015-2016 qui passe de 45 à 54, des salariés à temps partiel qui ont droit à plus de congés que ceux à temps plein, des 108 qui se transforment en 180, sans que cela inquiète la salariée le moins du monde. Du coup, on s’est lancé dans une vérification systématique tant il y a des erreurs. Notre commissaire aux comptes va faire des sauts au plafond. Les salariés risquaient de faire la gueule quand ils allaient découvrir les erreurs en leur défaveur, mais on les a rapidement avertis. On a eu très peur, mais les dégâts sont heureusement limités. Globalement, on a finalement constaté autant d’erreurs dans un sens que dans un autre, sauf pour les femmes de ménage qu’elle a systématiquement défavorisé, sans doute parce qu’elle ne les apprécie pas (ça, c’est vraiment scandaleux). On ne va pas la regretter, celle-là. Et pour notre pomme, erreur manifeste d’embauche, même s’il est parfois difficile de se rendre compte de ces choses là en entretien.

Conclusion : on ne la remplace pas, on redéploye son boulot sur trois postes existants dont on augmente le temps de travail de temps partiel (50 à 80 % pour l’une et de 90 à 100 % pour les deux autres), avec à la clé une augmentation de la productivité et une petite économie. Si on avait été large financièrement, on aurait peut-être procédé autrement, mais là, c’est compliqué avec les baisses de subventions (injustes la plupart du temps) que nous subissons.

Karagar va pouvoir redire que c’est affreux, que je n’ai à mes côtés qu’un ramassis de nuls ou je ne sais quoi encore. Bon, il faut dire que je ne parle que des personnes ou des choses qui posent problème et pas de tout ce qui se passe bien et il est vrai avec la cinquantaine de personnes qui composent les effectifs, il y a des tas de gens qui présentent des aspects très positifs. Et dans la tempête dans laquelle nous sommes, je trouve qu’on s’en sort bien. On vient d’embaucher deux botanistes en CDD pour le reste de l’année (dont une ex stagiaire et ex service civique chez nous). Ce n’est pas le Pérou, les perspectives sont très incertaines, mais pour un débutant, il me semble que c’est pas mal.

24 mars 2017

Musée Magritte à Bruxelles (6)

L’Intelligence. 1946.

 

La Bonne Fortune. 1945.

 

Le Lyrisme. 1947.

 

Shéhérazade. 1948.

 

Les Rencontres naturelles. 1945. Voilà qui me rappelle des sèche-cheveux ou des personnages de La guerre des étoiles.

23 mars 2017

Musée Magritte à Bruxelles (5)

Le Retour. 1940. Une œuvre ou issue d’une série d’œuvres très connue(s) je pense (enfin je parle pour moi au moins). Dommage, ça brille encore un peu.

 

Les Compagnons de la peur. 1942.

 

L’Île au trésor. 1942.

 

La Cinquième Saison. 1943.

 

L’Incendie. 1943. Les feuilles deviennent des arbres.

 

Les Mille et une Nuits. 1946. Un tableau qui me rapelle ceux dautres auteurs...

22 mars 2017

Musée Magritte à Bruxelles (4)

Quelques portraits.

Hommage à Eric Von Sroheim, invitation pour l’Écran du Séminaire des Arts, Bruxelles. 1957. Pour moi, le souvenir de l’acteur dans La Grande illusion, film que je nai vu quune seule fois il y a longtemps et qui ma beaucoup marqué.

 

 

Le cinéma de Raymond Queneau, invitation pour l’Écran du Séminaire des Arts, Bruxelles. 1964.

 

 

Portrait d’Adrienne Crowet. 1940.

 

Portrait de la famille Giron. 1943.

 

Portrait du baron Joseph van der Elst et de sa fille. 1962.

 

Portrait d’Irène Hamoir. 1936.

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