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Cornus rex-populi
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28 septembre 2016

Pages aoûtiennes (3)

Puis, nous sommes retournés à la cathédrale Saint-Gervais-et-Saint-Protais de Soissons. Selon Ouiqui (mais j’imagine que Karagar pourra corriger ou préciser), la cathédrale de Noyon est chronologiquement la deuxième cathédrale gothique, et Soissons la troisième, la première étant Sens et les quatrième et cinquième étant respectivement Laon et Paris. Mais où place-t-on Saint-Denis dans cette chronologie ? C’est que cet édifice, contrairement aux autres n’a jamais été cathédrale avant le XXe s. La chronologie précise est délicate à établir, d’autant que cela dépend de quoi on parle (parties), sans compter l’étalement dans le temps et les retours en arrière ou modifications éventuels en cours de route. J’en reste pour ma part à l’ordre suivant : Saint-Denis – Sens – Noyon – Laon – Paris – Soissons, mais peu importe car ces premières grandes cathédrales gothiques sont toutes différentes et intéressantes.

La cathédrale de Soissons nous a plu d’emblée. Ce qui nous a le plus enthousiasmé, c’est le bras sud du transept. Noyon a ses deux bras de transept arrondis, ce qui donne un certain air de famille à ces deux édifices, mais là il y a ce déambulatoire et cette chapelle dans le prolongement. Fromfrom et moi sommes tombés sous le charme, il est vrai accentué par un soleil généreux qui baignait l’édifice, contrairement à la grisaille du matin à Noyon.

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Et pour terminer, L’Adoration des bergers de Rubens. Un gros travail de post-traitement pour cette photo

prise dans des conditions très difficiles.

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25 septembre 2016

Pages aoûtiennes (2)

Puis nous repartons pour la seconde ville étape picarde, cette fois dans l’Aisne. Nous piqueniquons en chemin avant de parvenir à Soissons. Nous sommes en avance, alors la cathédrale n’est pas encore ouverte. Nous nous rendons donc un peu plus haut pour voir l’autre édifice que je voulais absolument aller voir : l’abbaye Saint-Jean-des-Vignes, dont j’avais fait la découverte des deux tours de sa façade lors d’une session de terrain au cours de l’été 2009 (voir ici). Karagar, lui, en avait parlé ici, mais n’a pas montré beaucoup de photos.

Inutile de dire que cette façade est très impressionnante. Les tours, gothiques, comme l’était l’ensemble de l’abbatiale sont des XVe et XVIe s., ce qui ne doit pas faire oublier que l’abbaye (rattachée aux Augustins) fut fondée au XIe s. (début des constructions). Les parties gothiques ont succédé à l’édifice roman antérieur à partir du XIIIe s. Aujourd’hui, ne subsistent que les fondations de l’abbatiale (détruite à l’occasion de la Révolution, comme souvent), un morceau de cloître, le réfectoire et ses soubassements et le pavillon d’entrée.

La salle sous le réfectoire, je ne sais pas quelle était sa fonction. Le réfectoire a été un choc (Fromfrom et moi ne nous attendions pas à voir un bâtiment aussi sympa). Visiblement, il a été restauré il y a peu et j’ai trouvé qu’il y avait une ressemblance avec l’église du couvent des Jacobins de Toulouse, avec des « palmiers » en modèle réduit.

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20 septembre 2016

Pages aoûtiennes (1)

Cela ne va pas être une surprise, mais j’avais décidé de mettre quelques bricoles au menu du trajet aller aoûtien en Bourgogne. Le premier plat était donc la cathédrale de Noyon dans le nord-est de l’Oise. Cette cathédrale gothique (gothique débutant puisque commencée avant le milieu du XIIe s.), j’en connaissais l’existence et l’intérêt depuis quelques années et Karagar en avait parlé ici (je croyais que c’était plus ancien que cela). Donc, je n’en dis pas davantage, tout est dit chez Karagar. J’ajoute juste que j’ai aimé cette cathédrale, pourtant à l’abord rude (phénomène amplifié par le temps gris). Fromfrom a été moins enthousiaste au départ sans doute par la rudesse, mais en fin de visite de l’intérieur, a considéré bien plus positivement l’édifice.  Nous, nous n’avons pas eu accès à la salle capitulaire. Voici mes photos.

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Peinture murale du XVIe s. : L’apparition de Jésus à Marie-Madeleine.

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Un saint Éloi tout neuf (2015).

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18 septembre 2016

One, two, tourte !

Jamais deux sans trois, voici l’apple-pie la tourte aux pommes de Fromfrom.

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14 septembre 2016

Brochet au beurre blanc à la mode du dragon terrassé

Cette note n’est pas nouvelle, puisqu’elle a été publiée pour la première fois le 1er octobre 2006 et avait un succès fou via les moteurs de recherche lorsque ces pages étaient facilement accessibles de l’extérieur. Voici donc une mise à jour.

Il s’agit d’une recette nantaise (paraît-il), revue et corrigée par mes soins. Ce n’est pas particulièrement simple (mais pas compliqué non plus), ni rapide à réaliser, mais il s’agit bien de l’une des plus belles façons de cuisiner le brochet.

 

Ingrédients

  • Un ou plusieurs beaux brochets : c’est le plus problématique dans cette recette ; il est indispensable de disposer de brochets ultra frais ou de brochets congelés « maison ». L’optimum est quand même d’aller le pêcher soi-même. Et bien entendu, le meilleur du monde vient de l’étang du Dragon terrassé.
  • Une grosse poignée d’échalotes (ou davantage selon la quantité de poisson).
  • Un ou deux sachets (selon la quantité de poisson) de court bouillon du commerce (rien n’empêche de faire son propre court bouillon, bien entendu).
  • Un verre de vinaigre de vin blanc.
  • Vin blanc sec pour le fumet : 1-3 bouteilles de vin blanc sec : un bon vin blanc sec de table comme « Lichette » est très bien, sinon utiliser un Bourgogne Aligoté.
  • Vin blanc sec pour la réduction d’échalotes : une bouteille de « Lichette » ou de Bourgogne Aligoté.
  • Beurre salé : 250 à 500 g selon la quantité de poisson.

 

Préparation du poisson (à faire la veille du repas)

Le poisson doit être vidé, écaillé et lavé correctement. Couper les nageoires. Lever les filets en conservant la peau du brochet. Couper les filets en morceaux et conservez-les dans un récipient au réfrigérateur. Conserver tête(s) et épine(s) dorsale(s) pour la réalisation du fumet.

 

Fumet (à faire la veille du repas)

Verser le contenu d’un ou deux sachets de court bouillon dans une grande casserole ou une marmite. Ajoutez le vin blanc (une ou deux bouteilles). Ajouter tête(s) et épine(s) dorsale(s). Couvrir la casserole ou la marmite. Porter à ébullition. Puis, réduire à feu doux et laisser mijoter 30 à 45 min minimum. Arrêter le feu et passer le fumet avec une passoire fine. Remettre le fumet à bouillir à feu doux pour le réduire un peu plus. A la fin, vous devez avoir une quantité suffisante de fumet pour couvrir les filets de brochet dans un plat qui ira au four.

 

Réduction d’échalotes (à faire le jour même)

Éplucher les échalotes. Les hacher finement. Les faire revenir très légèrement dans une grande poêle, puis ajouter sans tarder le verre de vinaigre de vin blanc. Laisser réduire le tout de moitié à feu vif, puis ajouter la bouteille complète de vin blanc sec. Quand les ¾ de vin se sont évaporés, filtrer les échalotes dans une passoire fine en s’assurant de bien presser les échalotes pour en extraire tout le suc. Remettre à chauffer (dans la même poêle nettoyée) le reste du liquide jusqu’à n’obtenir à la fin que la quantité approximative d’une cuillère à soupe de liquide. Utiliser immédiatement ce précieux liquide pour le beurre blanc (voir ci-après).

 

Cuisson du brochet (à réaliser en même temps de la réduction d’échalotes)

Disposer des filets de brochets dans un plat allant au four. Les recouvrir du fumet préparé la veille. Enfourner dans un four préchauffé à environ 180 °C. Laisser cuire 20 à 30 min.

 

Beurre blanc (à commencer en même temps que la réduction d’échalotes)

Sortir le beurre du réfrigérateur suffisamment à l’avance pour le laisser ramollir. Le couper en petits cubes. Le mettre dans un récipient qui pourra aller dans une casserole au bain marie. Le bain marie doit être tiède car le beurre ne doit en aucun cas fondre. Malaxer le beurre à l’aide d’un fouet manuel ou électrique. Et toujours en prenant soin que le beurre ne fonde pas, incorporer la réduction d’échalotes (l’idéal est que cette dernière soit encore, chaude). Continuer à bien malaxer au fouet. Normalement, vous obtenez à ce moment là votre beurre blanc.

 

A cet instant, le poisson est cuit et peut être servi (il trempe encore dans le fumet). Il peut donc être accompagné de la sauce au beurre blanc. Et normalement, c’est le moment de se régaler.

A servir avec par exemple avec un Bourgogne blanc au choix. Rien n’interdit non plus d’opter pour des appellations plus prestigieuses. En revanche, ce n’est pas parce qu’il s’agit d’une recette nantaise (enfin plus tout à fait), qu’il faut se croire obligé de servir un Muscadet qui ne s’accorde pas avec la douceur du beurre.

 

La photo est aussi mise à jour (août 2016).

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11 septembre 2016

Grand concours de septembre

Trouver les réponses à ce jeu étant d’une difficulté inégale pour les protagonistes, Karagar n’est pas autorisé à consulter les indices qui figurent ici. au moins pour les trois premières questions. Néanmoins, si Karagar trouve la quatrième sans indice, je serai d'accord pour ériger une statue en son honneur.

1) Quel est cet édifice (commune) ?

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2) Quel est cet édifice (commune et ville) ?

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3) Quel est cet édifice (commune et ville) ?

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4) Quel est cet édifice (commune) ?

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5) Quels sont ces fruits (nom commun ou scientifique de la plante) ?

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9 septembre 2016

Brèves cornusiennes (61)

Mercredi de la semaine dernière avait lieu une réunion « politique » importante pour parler de notre programme d’activités régional avec le Délé*gué à l’environn*ement et à la biodiversité de la Ré*gion Hau*ts-d*e-Fra*nce, autrement dit un con*seiller ré*gio*nal qui n’a pas le grade de vice-président, mais qui s’en rapproche. C’est aussi un ch*as*seur, également membre de notre CA. Ce type n’est pas quelqu’un de brillant. Le budget de l’environnement-biodiversité doit baisser de 57 % d’ici la fin du mandat (autrement dit une purge). Il a accepté la chose sans chercher à défendre une autre option. Facile de mettre sur le dos de l’environnement les déficits budgétaires généraux, alors même que l’environnement-biodiversité représente presque rien dans le budget en question. D’autres associations ou structures sont déjà fortement touchées dès 2016 (nos budgets ont été maintenus intégralement pour notre part), je crains des resserrements de ceinture dès 2017. Bon, il dit nous soutenir, faire ce qu’il peut, mais je ne lui fais pas confiance, même si je pense qu’intrinsèquement, ce n’est pas un homme fondamentalement mauvais, contrairement à certains des siens. Dommage que notre présidente était partie au moment où il a parlé de budget (il faut dire que la réunion avait largement débordé – pas de mon fait – et qu’elle avait dû partir).

Ma directrice administrative et financière était très préoccupée par cette réunion. Personnellement, cela n’était pas tellement le cas. En y repensant, je trouve que je suis très calme et assez peu perturbé par de telles réunions. C’est assez inespéré. Je pensais qu’en devenant directeur, j’aurais une tendance bien plus aiguë au stress. Je ne dis pas que je ne suis jamais stressé ni que rien ne me préoccupe, bien au contraire, mais je trouve que je m’en sors plutôt bien (il faut que je touche du bois car j’espère bien qu’immédiatement après avoir écrit ça, il n’en sera pas autrement). C’est donc une bonne chose, à la fois pour moi et pour les autres, car rien ne serait pire que ce stress contamine les autres.

En définitive, malgré ce que j’ai écrit plus haut, la réunion s’est bien passée, même s’il y a eu des passages difficiles à négocier. J’avais convié cinq « chefs » qui m’ont heureusement épaulé. Plusieurs ont été ravis d’être invités à cette réunion « politique » d’un genre nouveau par rapport à ce qui se passait auparavant (nous ne rencontrions que des techniciens). Et contre toute attente, alors que je me sens toujours assez moyen à mauvais en réunion, un collègue m’a félicité (je précise qu’il n’est pas du tout adepte de la flagornerie). Ce qui laisse penser, s’il en était encore besoin, que bien souvent, on ne renvoie pas l’image que l’on croit. Dans un autre ordre d’idée, on m’a déjà fait remonter l’idée que dans certaines réunions, j’étais assez dur, voire difficile à interrompre. C’est assez incompréhensible, parce que j’ai la notoire impression, la plupart du temps, d’être assez concis, au contraire de beaucoup d’autres personnes qui se perdent en verbiages et considérations inutiles (et je ne parle pas même pas des politiques).

7 septembre 2016

Juillet butineur (15 et fin)

Après Valence, nous sommes rentrés en pays éduen pour une petite semaine de vacances supplémentaire au cours de laquelle nous n’avons rien visité de particulier. Au programme : jardinage, débroussaillage, pêche infructueuse et repos. Au bilan, une bonne semaine dans le sud-ouest orientale et les Pyrénées centrales. Je m’aperçois au passage (en fait, ce n’est pas du tout une découverte) que je suis personnellement très adepte des voyages assez courts, avec plein d’étapes différentes, sans passer plus d’une nuit dans le même hôtel/hébergement. Et en cela, Fromfrom et moi avons, sans calcul, adopté le même mode de fonctionnement que celui longtemps utilisé par mes oncle et tante dont je parlais dans l’épisode précédent.

Pour terminer, des plantes très classiques mais je n’en déteste pas les photos. La première fleur comporte une anomalie (cinq pétales pour cette espèce au lieu de quatre, d’où la photo de cette Potentilla erecta (L.) Räuschel (Tormentille).

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6 septembre 2016

Juillet butineur (14)

Ma tante, la sœur de mon père dont le mari (mon parrain) est décédé l’hiver dernier, ayant appris que nous devions aller dans le sud (elle habite près de Valence), elle souhaitait qu’on passe la voir. Cette étape ne faisait pas partie du parcours optimisé que j’avais imaginé. Or CERTAIN(S) ayant vendu la mèche, s’étai(en)t laissé(s) aller à penser que nous pourrions faire une halte là-bas. Tant que je n’ai pas arrêté une décision, je suis ouvert à toutes les suggestions (les bonnes suggestions, cela va sans dire). Quand il s’agit de faire de la cartographie vacancière, je ne puis compter sur Fromfrom, qui il est vrai, me fais une confiance totale sur les lieux à aller voir. Donc, quand le parcours est arrêté, les hôtels ou autres hébergements sont réservés dans la foulée, et comme nous ne nous y prenons pas énormément en avance, on ne peut pas toujours aller exactement là où nous aurions voulu, mais dans l’ensemble, on s’en tire plutôt bien. Donc, quand ON m’a presque mis devant le fait accompli d’aller voir ma tante après Conques et qu’ON ne s’imaginait pas du tout quelle distance et surtout quel temps de parcours il y a entre Conques et Valence (cinq heures de route au bas mot), cela m’a mis, je l’avoue, dans une vraie colère. Une telle réaction me rapproche énormément d’un des traits de caractère de mon grand-père maternel et je n’en ai pris réellement conscience que depuis sept ans. Mais il faut savoir que comme mon grand-père, après avoir déclenché tempête, orage et foudre, je sais aussi me rallier à la majorité et j’ai fini par considérer que c’était une bonne idée d’aller voir ma tante. Qu’on n’aille néanmoins pas penser que je ne fais que « gueuler » pour la forme et que je finis toujours par tout accepter, d’autant qu’il faut savoir survivre à l’orage initial, ce qui est parfois difficile pour Fromfrom (je lui demande de nouveau pardon).

Nous sommes donc allés voir ma tante, finissant le parcours entre Montélimar et Valence sous un orage. Et j’ai même conduit un peu sans douleur significative au genou.

Nous fûmes accueillis comme des princes par ma tante. Il faut dire que la tradition familiale n’y est pas pour rien : il vaut mieux trop que limite (pas assez n’est même pas imaginable). Je ne vais pas raconter le menu des deux repas, mais plutôt celui de la visite du dimanche matin à Valence, organisée par ma tante. Cela l’avait occupée pas mal et c’était une bonne chose, ne serait-ce que pour rassasier son hyperactivité.

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L’église Saint-Jean-Baptiste et son clocher néo-roman du XIXe s.

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Porte Saint-Ruf (XVIIe s.), correspondant au portail d’une ancienne abbatiale.

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Le Pendentif, à côté de la cathédrale, est un monument funéraire de la Renaissance. Pas moyen d’y pénétrer.

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La cathédrale Saint-Apollinaire dont les premières pierres remontent au XIe s. J’ai surtout été intéressé par le chevet. L’intérieur ne m’a pas intéressé le moins du monde.

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La Maison mauresque (XIXe s.) en béton moulé.

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L’édifice qui a fait l’unanimité a été incontestablement la Maison des Têtes, ancien hôtel particulier, de styles gothique et Renaissance (autour des années 1530).

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A suivre.

4 septembre 2016

Juillet butineur (13)

Le lendemain, il était temps d’aborder la dernière étape du programme officiel : je veux bien sûr parler de Conques. Nous ne sommes restés que la matinée, mais je dois dire que j’y serais bien resté plus longtemps si nous n’avions pas été obligés par la suite de notre périple, sans compter que je ne voulais pas forcer mon genou dans les rues en pente (pourtant ce n’est pas l’envie qui me manquait). Calyste ayant présenté l’abbatiale romane Sainte-Foy (XI-XIIe s.) il y a peu (ici et ), je ne recommencerai pas.

Nous étions là-bas avant 9 h 30 ; il y avait donc encore assez peu de monde, ce qui nous a permis de faire le tour de l’édifice en toute tranquillité. En revanche, lorsque nous sommes repartis, il commençait à y avoir foule : pèlerins de tous poils et touristes « ordinaires ».

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L’abbatiale, vue de tous les côtés, avec le tympan bien sûr, sans doute à mettre sur le podium aux côtés d’Autun et de Vézelay.

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Le cloître, ou plus exactement ce qu’il en reste. Nous avons bien visité le trésor, mais les photos étaient assez scandaleusement interdites.

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L’intérieur de l’abbatiale, avec une première vue sombre, avant que les autres vues s’éclaircissent, un peu comme lorsque nous rentrons nous-mêmes dans un tel édifice.

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Une Annonciation pour Calyste. J’ignorais à ce moment-là que quelques minutes ou heures plus tard, Calyste serait là.

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Puis nous sommes allés manger dans un restaurant recommandé par le guide dans un village voisin. Cette fois, j’avoue, que j’ai mangé du foie gras. Et surtout, chose inconnue de moi, des ris d’agneau. Il m’a semblé que cela avait un goût  proche des ris de veau, mais sans doute un peu plus prononcé. Cela a l’air d’être un plat typique de l’Aveyron.

A suivre…

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