Musée de la Chartreuse de Douai (5 et fin)
On termine avec l’église dans laquelle on trouve la sculpture. Les chapelles accueillent des objets liturgiques, de petites œuvres et de la faïence.
Jean-François Legendre-Héral (1842). Giotto dessinant sur le sable, bronze.
Jean-Baptiste Carpeaux (XIXe s.). Pourquoi naître esclave, terre cuite patinée.
Constantin Meunier (XIX-XXe s.). L’ouvrier, bronze.
Charles-Henri-Joseph Cordier (1853). La Nymphe des eaux, marbre.
Auguste Rodin (XIX-XXe s.). L’enfant prodigue, bronze.
Louis-Edmond Laforesterie (1875). Rêverie, marbre.
Louis Desprez (XIXe s.). L’Innocence ou Jeune fille jouant avec un serpent, bronze
Angleterre, Nottingham (v. 1450). L’Annonciation, albâtre polychromé et doré. Pour Calyste, bien entendu !
Lille (2e moitié du XVIIIe s.). Paire de pots Jacqueline, faïence stannifère de grand feu.
Dans la galerie du cloître, dalle funéraire de Jacques de Lille et de Jacqueline de Ligne (1528), pierre calcaire.
En conclusion, un musée très riche et globalement assez bien fait, même si la muséographie est perfectible, tout comme les éclairages (même si on voit bien pire dans beaucoup d’endroits). En tout cas, la région a de riches et intéressants musées et c’est bien ainsi.