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Cornus rex-populi
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30 septembre 2014

Maupassant avec encore un peu d'été

Fromfrom n’aime pas Maupassant (elle aime peu les auteurs du XIXe s. en général, à part quelques exceptions). Moi, je gardais du collège et du lycée, d’assez bons souvenirs de nombreuses nouvelles, même si certaines pouvaient me paraître assez déconcertantes à l’époque. J’ai bien aimé aussi les adaptations en téléfilms passées à diverses reprises, en particulier ces dix dernières années. Mais je n’avais jamais lu Bel-Ami. Il a fallu qu’une collègue rapporte des bouquins de sa fille (qu’elle donne à qui en veut) pour que je mette la main dessus. Je n’en connaissais absolument pas l’histoire et je dois dire que dès le départ, ça m’a plu. Le héros paraît presque sympa au début. Il devient de moins en moins fréquentable au fil des pages, mais on espère néanmoins un peu sa réussite (si on peut dire). Le style est simple, direct, avenant, léger, rythmé (accélérations brutales, jamais d’ennui dans la lecture) et je pourrais dire moderne pour un roman de 1885. Maupassant semblait être très loin d’un parangon de vertu dans ses rapports avec les femmes, mais ce qu’il dépeint dans ce roman décrie quand même clairement le héros séducteur impénitent, manipulateur et profiteur. Certaines situations sont un délicieusement datées, mais peuvent être très facilement transposées dans notre univers actuel, en particulier le pouvoir manipulateur des médias et les affaires politico-financières. Donc, un très bon moment et en tout cas bien meilleur que ce que j’aurais pu imaginer.


Sinon, quelques photos prises en fin de semaine dernière au boulot.

Rosa rugosa Thunb. (Rosier rugueux)

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Meconopsis cambrica (L.) Vig. (Pavot du Pays de Galle)

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Papaver dubium L. (Coquelicot douteux)

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Silene armeria L. (Silène à bouquets)

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Et une « sauterelle » pour ne pas dire un orthoptère dont j’ignore le nom.

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29 septembre 2014

Brèves cornusiennes (29)

Mercredi dernier, j’avais rendez-vous pour la visite périodique à la médecine du travail. En passant avec l’infirmière pour le contrôle de la vue, je me suis rendu compte que pour la vue de près de l’œil droit, je n’arrivais plus à lire la plus petite ligne à 12/10. L’infirmière a néanmoins conclu que ma vue était normale. Réaction d’enfant gâté, mais j’ai néanmoins perdu. Quelques minutes plus tard, sans que je n’évoque la chose, le médecin s’étonne de ma vue encore bonne à mon âge.


Davantage au titre de délégué du personnel qu’à titre individuel, j’évoque ensuite la problématique de la maladie de Lyme dont plusieurs de mes collègues ont été touchés depuis quelques années, dont trois ces derniers mois (érythème migrant). L’homme a l’air de vouloir minimiser la chose et ne doute pas que la maladie serait reconnue comme maladie professionnelle si un cas venait à être avéré (ce dont on peut néanmoins douter, quand on est courant de certaines affaires où les économies prennent largement le pas sur la science et la prévention de santé publique). Chez les forestiers publics, la maladie est reconnue, mais nous n’avons pas la même envergure. Il m’a dit qu’ayant travaillé dans le cadre agricole, il n’a jamais été confronté à une telle obsession vis-à-vis de la maladie de Lyme et nous traite d’intellos. D’une part, il n’a pas compris que le monde agricole est beaucoup moins exposé (il n’y a pas de tiques dans les cultures intensives, d’ailleurs, il n’y a rien). D’autre part, les élagueurs sont sans doute moins exposés et moins informés des risques. Par parenthèse, un de nos collègues a été victime d’un syndrome ayant été présumé comme celui de la maladie de Lyme (avec hospitalisation et séquelles non consolidées) sans que l’on puisse le démontrer. Et certains collègues ont gagné des antibiothérapies post-érythème qui n’ont pas été que des parties de plaisir. Mais on intellectualise. Il doit venir faire une réunion d’information, mais doit se renseigner avant. Il a intérêt, parce qu’il ne sait pas ce qui l’attend, car à ce stade, on est plus informé que lui. Pour information, même s’il y a des progrès récents du corps médical, il y a encore un sacré déficit de connaissance de la part de nombre de praticiens et les tests sanguins officiels ne sont pas opérationnels. Mais les choses sont en train d’enfin bouger.


26 septembre 2014

Dimanche patrimonial (3/3) : Wimereux et Colembert

Puis, nous poussâmes jusqu’à Wimereux pour voir les maisons colorées en front de mer.

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Au retour, à l’intérieur des terres, je voulus voir le « Versailles du Boulonnais » à Colembert du dernier quart du XVIIIe siècle, mais il commençait à se faire tard, et la vue sur le chateau était à l’opposé de ce que je m’imaginais (doù lhorrible lumière). A l’occasion des journées du patrimoine, il était exceptionnellement ouvert, mais l’heure trop tardive ne nous permettait plus d’aller le voir de plus près.

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24 septembre 2014

Dimanche patrimonial (2/3) : Boulogne-sur-Mer

Après Condette, nous retournons à Boulogne-sur-Mer. De nouveau pour voir l’ex cathédrale (voir précédent passage ici). Je suis toujours fasciné par la vue intérieure de la coupole (XIXe s.), à la fois si proche et haut perchée.   La voûte « cloisonnée », « percée » et à « double niveau » reste aussi étonnante pour moi. La crypte (IIIe-XIVe s.) est réputée comme l’une des plus vastes de France, mais est encore fermée car en travaux.

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Je voulais aussi voir le beffroi (du XIIe s. à la base au XVIIIe s. au sommet), mais il n’était pas forcément très photogénique car l’hôtel de ville est en travaux. Foule d’un dimanche patrimonial et genou fromfromien obligent, nous n’avons pas pris part aux visites qui semblaient être proposées.

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Devant la mairie, des jardins thématiques, très récents qui sembleraient être renouvelés régulièrement. Des faïences et autres bricoles plutôt sympathiques. Les plantes « méditerranéennes » étaient au rendez-vous.

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23 septembre 2014

Dimanche patrimonial (1/3) : Chateau d'Hardelot

Au début du mois, alors que j’accompagnais un collègue, nous étions passés près du château d’Hardelot à Condette (Pas-de-Calais, tout près de la côte au sud de Boulogne-sur-Mer) en faisant des investigations sur la végétation dans la réserve naturelle régionale toute proche (voir le château de la semaine). Je connaissais l’existence de cet édifice depuis un certain temps, mais je n’avais jamais eu l’occasion d’aller le visiter. Je fais un rapide l’historique. La première « place forte » remonte au XIIe s., le château fort au XIIIe s., renforcé au XVe s. Il devient domaine royal sous Louis XI. Il est en grande partie détruit au XVIIe s. Il est vendu comme bien national en 1791. A partir du milieu du XIXe s., le château fut la propriété de plusieurs Anglais et il fut rebâti dans un style néo-Tudor (le sens m’échappe un peu, dès lors que le style Tudor est déjà complexe à saisir). Il fut même le centre d’une station balnéaire à partir de 1898. En 1934, il devient la propriété d’un curé radiesthésiste. Il revient à la commune en 1986 et à partir de 2001, la mérule menaçant, le Conseil général en reprend la gestion. Après une première phase de travaux, le château devient en 2009 le centre culturel de l’Entente cordiale. De nouveaux travaux ont été achevés en 2014 (mais ce n’est pas fini, des choses sont encore à venir).

A l’occasion de ce dimanche « patrimonial », nous sommes allés le visiter (mais il est ouvert toute l’année et gratuitement). Nous y avons même perdu, puisqu’en dehors des journées du patrimoine, on peut avoir droit, le dimanche à des visites guidées gratuites. Nous avons néanmoins pu avoir la chance d’accéder aux intérieurs, car nous étions arrivés suffisamment tôt car le nombre de visiteurs est limité à 19.

Que retenir ? Un château très « anglais » dans l’allure générale, un aspect très neuf qui peut surprendre, mais qui n’est pas déplaisant non plus. Et les intérieurs sont très « cosy ». On a l’impression de remonter dans le temps et de se retrouver dans un château qui serait resté figé dans le passé, dans un état neuf. Les jardins sont aussi « Tudor » paraît-il. Nous avons vu qu’un certain nombre d’ifs et surtout de buis, probablement plantés depuis peu, étaient sub-claquants, voire complètement claqués.

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21 septembre 2014

Dessert du jour

Cela faisait des mois que je demandais à Fromfrom de me faire un Paris-Brest. Mais elle y allait à reculons, trouvant toujours des prétextes pour ne pas s’y mettre. C’était soi-disant trop compliqué, on ne trouvait pas de praline et je ne sais quelles excuses… Du coup, elle s’y est enfin mise hier, en réalisant elle-même son praliné, en torréfiant ses noisettes et en les caramélisant avec des amandes. Et elle a repris la façon de faire d’un grand pâtissier (roue sous forme de choux soudés individualisables recouverts de craquelin) et voici ce que cela donne. Je ne vous dis qu’une chose : on se lèverait pour en manger.

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20 septembre 2014

Bouquet tardi-estival

Pour commencer, quelques espèces botaniques du jardin des plantes médicinales du boulot. La première espèce a été prise début août, alors que les autres datent de fin août à maintenant.

Tamarix ramosissima Ledeb. (Tamaris très ramifié)

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Viola tricolor L. (Pensée sauvage)

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Calendula officinalis L. (Souci officinal)

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Cimifuga racemosa (L.) Nutt. (Bugbane). Une plante de la famille des Ranunculaceae, parfois classée parmi les Actaea.

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Anemone hupehensis (Lemoine) Lemoine (Anémone du Japon)

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Ensuite, à la maison, on commence par une botanique et on termine avec des choses un peu plus « bricolées », dont des classiques déjà vues. Je précise pour Plume que les derniers Gladiolus se terminent seulement en ce moment.

Rudbeckia fulgida Aiton (Rudbeckie limineuse)

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La même variété que ci-dessus mais « piolée »

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Trois roses du même rosier le même jour à trois stades différents.

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Et pour finir, le bouquet final dessert de dimanche dernier : le Saint-Honoré fromfromien aux fraises.

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19 septembre 2014

Rage du jour

Cette semaine, au boulot, nous avons dû faire un travail en urgence. Plutôt que de remplir ma copie dans mon coin, j’ai voulu associer les intéressés, les laisser s’exprimer sur les volumes financiers. C’était tout ce qu’il y avait de plus normal, logique quand on bénéficie d’un cerveau et qu’on travaille à peu près intelligemment en équipe. Première erreur : quand on associe certaine personne, elle gueule parce qu’elle pense qu’on aurait dû en causer avant. Banane, on ne savait pas, sinon on n’aurait pas fait le boulot en urgence et en plus tu as sûrement des leçons à donner puisque tu fais tout en urgence et souvent trop tard, pour ne pas dire que tu ne fais pas du tout (c’est pratique de planquer la poussière sous le tapis). Une fois que nous nous fûmes entendus sur les enveloppes budgétaires, j’ai estimé les temps à affecter dans les grandes lignes aux différentes personnes et chefs de projets en 2015. Et j’envoie le tout hier soir par courriel à tous les intéressés pour qu’ils puissent proposer des ajustements ultérieurs, si besoin. Deuxième erreur : il ne faut pas communiquer à tout le monde ses décisions, aussi futiles soient-elles. Car en effet, ce matin, j’ai retrouvé le courriel de la certaine personne qui me fait des reproches de ne l’avoir pas consultée hier (entendez, lui avoir demandé sa bénédiction) alors qu’elle était absente et qu’elle est encore absente aujourd’hui. Et elle ose proposer des modifications plus que marginales qui n’intéressent qu’elle ou presque. Et surtout, elle ne communique pas aux principaux intéressés les modifications unilatérales qu’elle veut imposer. Certes, c’est une « directrice », et elle fait ce qu’elle veut. J’étais noir de colère en lisant ces inepties. Je n’ai pas envoyé la première version de ma réponse qui était incendiaire, mais une autre qui l’était un peu moins. Je l’aurais assassinée verbalement si elle avait été là (elle était chez elle). De toute manière, je la connais par cœur, quand elle en veut à une personne, elle s’arrange pour dire du mal d’elle quand elle est absente ou le fait par écrit quand elle sait qu’elle ne la croisera pas pendant au moins une semaine (elle part à Brest la semaine prochaine). Là, elle s’est prise une volée de bois vert, sans compter qu’elle ne peut espérer aucune compassion du reste de la direction, tant ils sont fatigués de se la coltiner. Je suis patient et compréhensif, mais il y a des limites. J’ai été énervé toute la journée, heureusement que nous sommes vendredi.

17 septembre 2014

Louvre-Lens estival (4 et fin)

Après avoir mangé un casse-croûte chaud sur place (pas envie de ressortir et de devoir refaire la queue pour le passage sous le portique et aux détecteurs de métaux), nous sommes allés voir l’exposition permanente (gratuite jusqu’à la fin de l’année) où quelques œuvres ont été changées (10 % par an si mes souvenirs sont bons). Voir nos précédents passages ici et .

Civilisation de l’Oxus, Asie centrale (Afghanistan actuel), 2300-1700 av. J.-C., Femme vêtue d’une robe-manteau (kaunakès) : figure protectrice des vivants et des morts ?, chlorite verte, calcaire.

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Karnak, Égypte, v. 1725 av. J.-C., Le vizir Néferkarê-lymérou, haut fonctionnaire du roi, grès.

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Égypte, 1391-1353 av. J.-C., La reine Tiy aux côtés du roi Aménophis III : fragment d’un groupe royal dont il ne reste que la reine, stéatite glaçurée.

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Cosa, Italie, 290-300 ap. J.-C., Sarcophage : concours musical entre le dieu Apollon et le satyre Marsyas, marbre.

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Venise, Italie, v. 1050-1100, Tête d’ange : fragment d’un décor de la Basilique de Torcello représentant le Jugement dernier, mosaïque.

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Géorgie ?, 1000-1100, Plaque d’un coffret : La Vierge à l’Enfant entre deux anges, ivoire d’éléphant. Pourquoi elle fait la gueule la Marie ?

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Nolay, duché de Bourgogne (France), v. 1400-1425, Retable de l’église Saint-Martin : la Vierge et l’Enfant entre les douze apôtres, calcaire polychrome.

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Anvers (Belgique actuelle), 1515-1520, Élément de retable : la Déploration du Christ, chêne polychrome.

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Colinjn de Coter, La Sainte Trinité avec Dieu le Père soutenant le Christ (v. 1510-1515), huile sur bois.

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France, v. 1550-1600, L’Empire du Temps sur le monde, la Fortune tenant la voile et la Mort le gouvernail, marbre.

 

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Ispahan, Iran, v. 1650-1700, Panneau de revêtement mural : procession de la communauté arménienne à Ispahan, céramique à décor de lignes noires et de glaçures colorées.

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Iran, v. 1700-1800, Panneau de revêtement mural : hommes au bord d’un ruisseau, céramique à décor de lignes noires et de glaçures colorées.

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Manufacture de Maissen, modèle de J. J. Kaendler, Le Baise-main (1737), porcelaine dure.

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Joseph Vernet, Vue du golfe de Naples (1748), huile sur toile.

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Inde, v. 1780-1815, Begum Sombre (1778-1836), souveraine de la principauté indienne de Sardhana, huile sur cuivre. Cela n’avait pas l’air d’être une marrante, la dadame !

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Jean-Auguste-Dominique Ingres, Œdipe explique l’énigme du sphinx (1808, retouché pour le Salon de 1827), huile sur toile. Déjà vu et photographié au « grand » Louvre ici. La seconde photo est donc une rediffusion. Cette œuvre a remplacé la grande vedette précédente La Liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix.

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16 septembre 2014

Louvre-Lens estival (3)

On poursuit avec la guerre d’Espagne.

Robert Capa, Mort d’un soldat républicain près de Cordoue, Espagne (5 septembre 1936), épreuve gélatino-argentique. On pense que cette photo, particulièrement célèbre et reproduite, a probablement été posée. Je l’avais appris peu de temps avant de la voir.

 

André Masson, La gloire du général Franco (1938), plume et encre de chine sur papier vergé.

 

Seconde Guerre mondiale.

Édouard Goerg, Le Parachutiste bonne année (1939-1940), huile sur toile.

 

Markus Lüpertz, Exekution [Exécution] (1992), huile sur toile, métal. Encore une œuvre qui rappelle clairement celle de Goya.

 

Marie Cerminova dite Toyen, Cache-toi guerre ! (publication en 1944-194?), série de 9 dessins.

 

Arie Van de Giessen, Buchenwlad (1945), crayon sur papier.

 

Raymonde Thys, Première mouche en cellule (1946), gravure sur cuivre.

 

Guerre d’Algérie.

Jean-Jacques Lebel, Enrico Baj, Guðmundur Guðmundsson dit Erró, Roberto Crippa, Gianni Dova, Antonio Reclati, Grand tableau antifasciste contre la torture (exposé en 1961 à Milan), technique mixte sur toile. Le tableau a été immédiatement censuré par les autorités italiennes et n’a été rendue à ses propriétaires qu’en 1987.

 

André Fougeron, Sakiet – Étude [pour le massacre de Sakiet Sidi Youssef] (1958), huile sur toile.

 

Guerre du Vietnam.

Guðmundur Guðmundsson dit Erró, Goodbye Vietnam [Au-revoir Vietnam] (1975), huile sur toile.

 

Guerres de notre temps.

Robert Combas, Terrible feu d’artifice (2004), acrylique sur toile.

 

Hors champ.

Rudolf Schlichter, Blinde Macht [Puissance aveugle] (1937), huile sur toile.

 

Voilà pour l’exposition temporaire, très riche en réalité, et qui, je le répète, n’a pas été sans nous émouvoir.

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