Brèves cornusiennes (27)
Mes collègues de Rou*en vivent mal ce qui leur arrivent. Je le savais depuis un bon moment déjà, mais j’ignorais la réelle gravité de la situation. Eux n’ont pas su exprimer leur souffrance. Alors que je m’agaçais, avec d’autres, d’un certain manque de professionnalisme de leur part, j’ai pris conscience en creusant un peu de l’étendue du problème. En tant que délégué du personnel (oui, j’ai finalement été réélu, j’ai remué les choses, au départ un peu malgré moi, puis de façon plus directe. J’ai été à la fois un peu énervé et ému par leur situation. J’espère que le processus lancé permettra d’améliorer les choses.
Jeudi soir en sortant de mon bureau.
La fleur du Vladimir de Damas.
Des roses botaniques.
D’autres bricoles.
Un jour de la semaine, le canard était toujours au jardin.
Ce matin.