La vérité sur la marquise et le comte

Non, ce n’est pas un mystère, la marquise de Fromulus a toujours voulu monter sur le trône.

Quant au comte, il fut le disciple de Jacques de Molay, mais a survécu aux geôles de la forteresse chinonaise.

Comments

[Cornus]

Karagar> On regarde si elle va prendre racine.

[karagar]

Moi la marquise, j'crois bien qu'il nous l'a embaumée, elle n'a pas bougé d'un poil depuis 5 jours !

[Cornus]

Plume> Si si, on contraire, c'est prévu. C'est moi qui suis presque un peu trop grand pour la chose.



Calyste> Si si, au royaume Plantagenêt et de France, il n'y avait pas de problème, contrairement à d'autres régions moins bien évoluées.

[calystee]

Plume :on n'avait pas encore inventé le tabouret à cette époque ?

[plumequivole]

Mais c'est prévu que pour les grands ! Pas juste !

[Cornus]

Plume> Pas mal, n'est-ce pas. Eh bien je me dois de préciser que ma tenue n'a en réalité aucun relief, mais est un panneau complètement plan.

[plumequivole]

Et il est sur son 31 le sieur de 130 !

[Cornus]

Karagar> Tout à fait cher grand écuyer Karagar.

[karagar]

Mais ne serait-ce pas le chevalier de 130 sur la deuxième?

[Cornus]

Calyste> Oui, j'ai regardé le début. J'a notamment appris l'influence de Yolande d'Aragon, belle-mère de Charles VII, dans les histoires avec Jeanne d'Arc. C'est la première fois que j'entendais cette thèse, qui ne semble pas dominante, mais qui semble se tenir.

[calystee]

As-tu vu ce soir l'émission sur les châteaux de la Loire, dont Chinon, et leurs dames ?

[Cornus]

Plume> Si si, la marquise a son costume d'époque. C'est le comte qui reste accroché au passé. Une cuisson ? Aucune chance : trop mouillé, viande trop coriace.



Calyste> de Molay, oui. Que veux-tu, c'était un tendre, lui.



Karagar> Ben oui, je sais, heureusement que je suis là.

[karagar]

gare à vous

[karagar]

Ah, enfin des idées pour finir mon histoire...

[calystee]

Fais attention : de Molay a mal fini.

[plumequivole]

Eh quoi, la marquise n'a même pas droit à son costume d'époque ? Cette disparité dans le traitement est tout simplement odieuse. Le preux chevalier d'opérette mériterait une bonne cuisson !